C’est la dernière ligne droite, j’ai accepté l’invitation à la projection en avant-première de La Horde avec l’équipe du film et tous les figurants qui comme moi ont passé une journée inoubliable à faire le zombie affamé. Toutes mes impressions et photos de l’évènement prochainement sur le blog. Tiens tiens, je pense qu’un des Tshirts achetés dernièrement sur Threadless pourrait être de circonstance, à vous de trouver lequel…
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De nos jours, et principalement grâce à nos politiciens, travailler dans le commerce (voire la grande distribution) rime avec travail dominical. Une idée louable pour démultiplier ou rattraper le retard d’un chiffre d’affaire traumatisé par une certaine crise économique, mais en totale contradiction avec des valeurs familiales françaises d’une époque qui semble révolue. Ce qui est sûr c’est que dimanche 20 décembre, ma femme comme moi, tous deux responsables dans des magasins différents de la grande distribution avons dû faire face à ça…
… et j’avoue avoir été surpris de voir cette année encore autant de monde de 9h00 à 19h30, pas de répit pour les vendeurs et des passages en caisse de sommes conséquentes. Pour moi le dimanche est sacré, seul vrai jour de repos de la semaine, et je n’irai certainement pas faire du shopping ce jour-là dès 9h00. Mais il faut croire que je suis un extra-terrestre, et que des gens ont trouvé un intérêt certain à venir s’agglutiner les uns aux autres dans les rayons. Seule consolation de la journée, le chiffre d’affaire. Allez hop je prends un advil pour calmer ma migraine
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Excellente et surprenante série que ces “Sons of Anarchy“. Je ne pensais pas être réceptif à une série sur l’univers des bikers, mais vu le buzz international autour de la série et l’annonce de sa diffusion sur M6 pour le 9 octobre dernier, toute résistance fut inutile. Il faut croire que tout sujet peut devenir intéressant à partir du moment où tous les talents sont rassemblés pour œuvrer dans le même sens (écriture, casting, bande son… ).
Même si l’on retrouve de nombreux points communs avec d’autres séries très réussies comme Les Soprano (la famille shakespearienne, le choix entre le bien et le mal) et the Shield (Kurt Sutter y était scénariste avant de créer S.O.A. ) cet univers rock’n roll narrant l’existence d’un club de bikers est furieusement addictif. On y suit la vie des membres de S.A.M.C.R.O. (Sons of Anarchy Motorcycle Club Redwood Original), de leurs trafics et rivalités avec d’autres gangs, mais surtout de Jackson Teller (fils de John Teller fondateur du club). Ce dernier découvre secrètement les idéaux humanistes et pacifistes que son père avait pour S.A.M.C.R.O. qui n’ont pas été respectés après sa mort par le nouveau président du club Clarence Morrow qui les dissimule aux autres membres et épouse Gemma la mère de Jackson.
De nombreuses intrigues parallèles se grefferont à la trame principale, développant la psychologie des personnages secondaires sur seulement 13 épisodes (un format court parfaitement adapté qui ne laisse jamais de temps mort). La saison 2 vient de se terminer aux U.S.A. et je ne vous cache pas mon impatience de la découvrir, la faute aux importants évènements du dernier épisode de la première saison.
Pour information, la saison 1 vient de sortir en DVD et en Blu-ray
(Blu-ray qui ne contient que la version originale sous-titrée en français)
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La réponse dans le spoiler juste en dessous
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Le dernier épisode de la saison 4 a enfin été diffusé, concluant dans une apothéose scénaristique d’une justesse telle qu’elle en est bouleversante. Soyez certains que je ne vous spoilerai aucune information, vous pouvez lire sans crainte, mais bon dieu qu’est-ce que j’aimerai vous parler de ce que je sais. Car malgré une saison 3 légèrement décevante (par rapport aux précédentes) surtout pour des questions de rythme elle ne fut pas exempte de qualités. Cependant, son final assez joyeux sur fond de marriage et de naissance nous laissait perplexe sur l’évolution de notre tueur en série préféré. Mais il faut croire que les scénaristes de la série donnent le meilleur d’eux-même dans la difficulté car cette saison 4 est un modèle de perfection sans jamais faire de concession dans le politiquement correct.
Il faut voir le premier épisode détournant ironiquement le générique de la série, car oui Dexter Morgan est désormais un père confronté à l’éducation d’un bébé 24h/24h, cohabitant tant bien que mal avec les pulsions de son “passager sombre”. Mais plus que tout, c’est la qualité du jeu des acteurs et l’évolution des personnages secondaires (Debra Morgan, Maria Laguerta, Angel Batista, Vince Masuka, Joey Quinn, Frank Lundy) qui fait la force de cette incroyable saison, et la continuité psychologique (logique, evidente et crédible) des protagonistes. Les révélations seront nombreuses, des coeurs seront brisés, Dexter suivra de moins en moins le code et fera des erreurs irrécupérables en espérant trouver des réponses chez un autre tueur en série, le plus terrible (selon moi) qu’il ait jamais rencontré: “le tueur de la trinité” magistralement interprété par l’inquiétant John Lithgow.
La saison 4 débute sur les chapeaux de roue et conservera sa vitesse de pointe jusqu’aux derniers épisodes qui vous achèveront, mais je ne peux vous en dire plus. Sinon que la série est une des meilleures jamais réalisées, calibrée aux petits oignons (la musique, la photo, les acteurs, la mise en scène, le scénario… ), une série pour laquelle il faudrait inventer un nouveau mot car le mot “série” est réducteur et ne lui rend pas honneur (on dit bien graphic novel pour certains comics) car à sa vision on oublie qu’on est devant un poste de télévision… et de nombreux réalisateurs de films devraient s’en inspirer.
Cette saison 4 est juste indispensable, à voir absolumment et vous êtes tout excusés si comme moi vous la visionnez avant sa diffusion sur Canal Plus. Et je concluerai en espérant que les 3 premières saisons sortent enfin en blu-ray en France, car pour des problèmes de droits nous en sommes privés depuis 2 ans (alors qu’elles sont sorties aux U.S.A. ). Espérons que l’éditeur français prendra de bonnes résolutions pour 2010.
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Comme vous le saviez déjà, mon chien Dexter est le gamer canin (soucieux de sa ligne) le plus célèbre de la sphère Internet, et à peine j’avais ramené à la maison mon dernier achat compulsif que j’ai surpris mon chien en train de s’exercer à DJ Hero avant moi.
Du coup il a déjà assimilé les techniques avancées du jeu, m’a débloqué 9 succès et jongle avec facilité entre les effets, scratchs et rewinds… Il va falloir que je lui prête ma DS pour qu’il lâche la platine.
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J’ai déjà dû vous le dire, j’adore les jeux musicaux. J’ai même acheté récemment le très “Hannah Montaniesque” Band Hero juste pour jouer “Let’s Dance de David Bowie” (moi qui suis fan de metal, de rock et de Guitar Hero). Et aujourd’hui l’espace culturel du magasin dans lequel je suis responsable faisait 25% de remise sur le rayon jeu vidéo, l’occasion pour moi d’utiliser mon bon d’achat de 70,00 euros et d’investir dans ce “DJ Hero” qui me faisait de l’œil depuis sa sortie (surtout grâce aux tests très positifs), mais dont le gameplay très original refroidissait mon enthousiasme.
Je vous ferai part très prochainement de mes impressions
(ainsi que de Legend of Zelda: Spirit Tracks et Maestro! Jump in Music).
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Il faut croire que les belges fêtent Saint Nicolas le 12 décembre puisqu’aujourd’hui j’ai reçu cette enveloppe bien remplie envoyée par mon alter ego Bruxellois Gee23. En fait on avait décidé sur un coup de tête de mêler joyeusement anniversaire respectif & fêtes de Noël histoire de commémorer “temporairement” l’armistice de la blague belge et de la frite.
En ouvrant la pochette surprise je découvre pour mon plus grand plaisir le kit complet du petit belge (de 6 ans de moyenne d’âge) intégrant dessin à colorier Bob l’éponge, billes et cartes Nickelodeon dont la majorité à l’effigie de l’éponge de mer à la réputation internationale (y’avait aussi du Dora et de l’Avatar mais je ne t’en veux pas).
Mais la cerise sur le gâteau, outre un petit mot sur des cartes postales illustrées par Loisel & Guarnido, c’est la bande dessinée “Le Blog de Franquin”. Un excellent album de Piak & Turalo dont l’aventure commença vraiment sous forme de blog et racontant la vie du dessinateur Franquin (Gaston Lagaffe, Marsupilami, Idées Noires, etc. ) après sa mort. Piak & Turalo décident finalement d’en faire un album via l’éditeur Foolstrip commercialisé en octobre 2009 mais vite retiré des ventes par la société Marsu Productions qui gère les droits de l’œuvre d’André Franquin. Merci à toi mon p’tit Gee23.
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Pix’N Love Editions a réussi un vrai tour de force, me réconcilier il y a un peu plus d’1 an avec la presse jeux vidéo. J’étais fidèle au magazine Joypad jusqu’à son changement de ligne éditoriale qui causa le départ des chroniqueurs responsables de la notoriété du magazine depuis sa création. Ces mêmes journalistes (Trazom, Greg, Kendy, Rahan, etc.) créèrent le 29 octobre 2003 l’excellent mag “Gaming” mais qui ne connut que 6 numéros suite à des problèmes financiers et un incident “technique” qui leur fit perdre une grande quantité d’exemplaires destinés à la vente. Après cela, en quête de news jeux vidéo je me suis rabattu sur le Net, la presse française ne me convenant plus.
Et puis Pix’N Love est arrivé avec son format inhabituel de mook (magazine/book), son contenu rétrogaming, ses dossiers de qualité et sa mise en page agréable… Que du bon, y compris pour les autres ouvrages tels que L’histoire de Nintendo vol.2 ou Japan Arcade Mania dont je viens de faire l’acquisition.
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