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God of War: Ascension

By neocalimero, 23 mars 2013 16:46

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Pour moi, la licence God of War s’était achevée en apothéose sur PlayStation 3 avec le 3ème épisode qui concluait cette époustouflante trilogie (si l’on ne comptabilise pas les deux bons opus PlayStation Portable). Après la fin du défilement des crédits, une petite vidéo teaser très cliffhanger de secours laissait au studio Sony Santa Monica l’opportunité de produire ou non une suite forcément commerciale. J’étais rassuré puisqu’il n’en fut rien… jusqu’à l’annonce en avril 2012 d’un nouvel opus PlayStation 3. Il s’appellerait “God of War: Ascension” sans être suivi du chiffre romain IV. L’idée même d’une suite directe fut un scénario impensable puisque Kratos avait massacré la quasi totalité des dieux de l’Olympe et contrarié Athéna en mettant fin… à sa vengeance personnelle. La préquelle était donc l’alternative la plus envisageable même si les épisodes PlayStation Portable avaient déjà pris cette voie avec succès.

La situation dans laquelle se trouve Kratos dans les premières secondes du jeu

Mais comment intéresser les joueurs avec une nouvelle histoire intéressante et créer de nouveaux enjeux scénaristiques alors que la trilogie PlayStation 2/3 se suffisait à elle-même? La réalisation technique autant que l’intensité de l’action de l’épisode 2 sur PlayStation 2 étaient de haute volée, il suffit de regarder cette critique de Yannick Dahan en vidéo pour s’en convaincre…


Quant au 3ème épisode sur PlayStation 3, il reprenait le flambeau avec du “bigger, faster, louder” vraiment pas mensonger avec cette fois l’appui de la haute définition et des performances techniques de la nouvelle console de Sony. Un déluge émotionnel pour le joueur que je n’avais alors jamais ressenti dans un jeu (sinon au cinéma) et qu’une fois encore, seul l’enthousiasme de Yannick Dahan fut capable de retranscrire via cette vidéo…


Bref, pour ne pas perdre son public avec une séquelle injustifiable Santa Monica Studio décide de situer son histoire juste avant le 1er épisode PlayStation 2, opposant Kratos aux trois Erynies dont le rôle est de faire respecter les serments faits aux dieux (Kratos décidant de rompre son pacte avec Arès le dieu de la guerre). Ce qui est dommage, c’est que le joueur en sait déjà suffisamment sur l’histoire de Kratos grâce aux précédents épisodes et cette nouvelle intrigue n’arrive jamais à impliquer le joueur malgré de louables intentions de détailler les origines du guerrier. Et pourtant, dans son genre God of War: Ascension est un beat’em all abouti techniquement, les environnements sont détaillés, démesurés et somptueux, les musiques symphoniques et martiales, le gameplay (et la gestion des armes/pouvoirs) amélioré par rapport au précédent épisode jusqu’aux Q.T.E. qui intègrent des notions d’esquive manuelle… Mais alors, pourquoi ce “mais”?

Les lames du Chaos de Kratos demeurent vraiment les armes les plus jouissives à manipuler

C’est très simple, Santa Monica Studio nous propose un God of War classique, sans réelle originalité parce qu’il souffre de la comparaison avec les précédents opus PlayStation 2/3 ayant mis la barre tellement haut (et de surcroît clôturé intelligemment l’histoire de Kratos) que l’épisode Ascension en devient bien fade. Cependant, pour qui ne connaitrait pas cette licence et s’initierait avec cet épisode le constat est évident, Ascension fait tout de même partie de ces rares jeux AAA exclusifs aux machines de Sony obligatoire pour tout fan de beat’em all épique saupoudré de plateforme et de puzzle.

Les environnements démesurés sont toujours aussi beaux et détaillés

Ajoutez à cela, et c’est une première pour cette licence, un mode multi-joueurs surprenant mais assez bien pensé réutilisant le gameplay du mode solo. Le joueur crée un personnage ayant prêté serment à l’un des 4 dieux proposant des avantages respectifs, choisit une classe et part guerroyer à travers des modes vraiment fournis tels que “Combat des champions”, “Capture de drapeau”, “Faveur des dieux”, etc. L’enjeu est simple, monter graduellement son XP pour mieux s’équiper et atteindre les rangs supérieurs. Une vraie bonne surprise qui ajoute du contenu au mode solo, mais qui flirte souvent avec du PVP très bourrin car la non précision des coups et les “hit box” approximatives qui ne gênaient en rien dans le mode solo peuvent rapidement devenir pénalisantes avec des enjeux de compétition.


Bref ce God of War: Ascension m’a déçu malgré ses indéniables qualités, mais demeure un vrai bon jeu pour qui ne connaît pas la licence God of War. Cela dit, quitte à découvrir l’univers de Kratos, on ne peut que conseiller de jouer chronologiquement à la trilogie PS2/PS3 d’autant que les 2 premiers épisodes sont désormais disponibles sur PlayStation 3 (en compilation version boîte et version dématérialisée) remasterisés en haute définition. A noter que le menu du jeu intègre un lien direct à la démo jouable du très attendu “The Last of US” dès qu’elle sera disponible.

Sega Vintage Collection (Xbox Live Arcade)

By neocalimero, 28 mai 2012 10:29

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Vous le savez déjà si vous me lisez depuis quelques temps (ou me connaissez personnellement), j’ai beau apprécier à leur juste valeur les jeux vidéo proposés sur la dernière génération de consoles, je reste plus que jamais un indécrottable “retrogamer”. J’ajouterai même,  un fan de Sega de l’époque Master System à la Dreamcast (en passant par l’arcade), sans oublier de chérir d’autres machines mythiques telles que la Neo Geo ou la PC Engine. Mais aujourd’hui, l’actualité de Sega me fait prendre la plume, pas pour évoquer une nouvelle licence pour console HD, mais bien la sortie sur Xbox Live Arcade de  plusieurs compilations dédiées à des classiques de la Master System, de la Mega Drive et de l’Arcade.

Sega Vintage Collection: Alex Kidd & Co (menu de sélection des jeux)

En général les portages de vieux jeux sur consoles HD sont paresseux et scandaleusement mauvais pour plusieurs raisons: simple et imparfaite émulation (visuelle et sonore), graphismes “baveux” sur des écrans HD non retouchés et dépourvus des scanlines qui embellissaient ces jeux sur écran cathodique, absence de bonus ou d’historique sur la création du jeu, prix prohibitif (pour un jeu amorti depuis très longtemps) et portage facile pour un coût minimal profitant de la fibre nostalgique des joueurs trentenaires.


Faut-il croire que l’ère des portages moisis et purement mercantiles est révolue? Peut-être. Capcom l’a initié avec ses excellentes versions XBLA de Final Fight: Double Impact et Street Fighter III: Online Edition, et Sega après des essais peu concluants (la compilation Dreamcast Collection ou Altered Beast) semble prendre le relais avec la “Sega Vintage Collection” (connue au Japon sous le nom Sega Ages Online) en nous proposant pour 800 Microsoft Points (9,79€) chacune, quatre compilations de trois jeux.

Disponibles le 23/05/12 pour 800 Microsoft Points:

  • Alex Kidd & Co: Alex Kidd in Miracle World (SMS), The Revenge of Shinobi (MD), Super Hang-On (AC)
  • Monster World: Wonder Boy in Monster Land (AC), Wonder Boy in Monster World (MD), Monster World IV (MD)

Disponibles le 30/05/12 pour 800 Microsoft Points:

  • Streets of Rage: Streets of Rage (MD), Streets of Rage 2 (MD), Streets of Rage 3 (MD)
  • Golden Axe: Golden Axe (AC), Golden Axe 2 (MD), Golden Axe 3 (MD)

Paramètres et autres réglages/bonus sur Revenge of Shinobi

A l’heure où j’écris ce billet, seuls Alex Kidd & Co et Monster World sont disponibles sur le Xbox Live Arcade, mais après quelques minutes de jeu pour chacun d’entre eux le verdict est plus que positif. Sega a enfin pris l’initiative d’inclure un peu de contenu dans ses portages de vieux titres et de ne plus moins prendre ses joueurs/clients pour des vaches à lait: interface de sélection des jeux en 3D assez travaillée, manuel de jeu, choix de la version du jeu (JAP/EUR/USA) modifiant le contenu des jeux, ajout de filtres à l’écran (scanlines), redimensionnement de l’écran et choix d’image de fond, juke-box, paramétrage des commandes avec auto-fire, choix entre différents modèles de borne (Super Hang On), enregistrement de replays, compatibilité lunettes 3D-relief (Super Hang On), défis/épreuves et classements en ligne, sauvegarde à tout moment du jeu, etc.

Ajout possible de convaincantes scanlines pour votre écran HD (pas bien visibles sur cette image)

Vous l’aurez noté, c’est le jour et la nuit par rapport aux jeux (vides de contenu) proposés à l’unité par Sega il y a quelques années sur XBLA (Altered Beast, Phantasy Star II, Sonic the Hedgehog, Shinobi, Altered Beast) toujours sous le label Sega Vintage Collection. Même s’il y a toujours moyen de faire mieux, surtout pour des jeux ayant entre 20 et 30 ans, c’est la première fois que je ne me sens pas complètement lésé en dépensant 800 MS Points (9,79€) par compilation, soit environ 3,00€ par jeu. De plus la compilation Monster World propose un excellent épisode jusqu’alors jamais commercialisé en dehors du Japon et enfin traduit en anglais: Monster World IV.

Chaque jeu propose plusieurs épreuves chronométrées avec classements en ligne

Ajoutez à cela une sélection de jeux assez pertinente (même si on aurait aimé trouver Wonder Boy III: The Dragon’s Trap dans la compilation Monster World), des détails qui confortent la fibre nostalgique du fan de Sega comme le choix de la nationalité du jeu changeant le titre (The Super Shinobi/The Revenge of Shinobi) ou le logo de la console (Sega Mark III/Sega Master System). Une vraie bonne surprise pour profiter des évidentes qualités de ces jeux dans de bonnes conditions pour qui ne possède plus de TV cathodique d’époque. Même si Sega Megadrive Ultimate Collection (Xbox 360/PlayStation 3) et Sega Megadrive Collection (PlayStation Portable/PlayStation 2) proposaient près de 40 jeux avec quelques bonus et interviews, l’option lissage des graphismes (et donc l’absence de scanlines) comme l’étirement de l’image ne rendaient vraiment pas honneur aux jeux, le problème est désormais corrigé avec ces nouvelles compilations Sega Vintage Collection.

Choix de la version/nationalité du jeu The Revenge of Shinobi (Super Shinobi au Japon)

J’attends donc impatiemment mercredi prochain la disponibilité des 2 dernières compilations Streets of Rage et Golden Axe pour pouvoir, je l’espère, constater les mêmes qualités d’émulation (visuelle et sonore), et de contenu que sur Alex Kidd & Co et Monster World. Pour information, la Playstation 3 va également accueillir les jeux de ces 4 nouvelles compilations Sega Vintage Collection, mais malheureusement les titres ne seront vendus qu’à l’unité sur le PSN pour 4,50€ chacun, l’offre de Sony étant plus chère et moins intéressante que les 800 MS Points pour 3 jeux sur Xbox Live Arcade. Faites votre choix. Wink

Quel pied, enfin un jeu Mega Drive sur console HD avec scanlines et respect des dimensions de l'écran d'origine

Déballage d’un stick arcade Q4RAF Qanba

By neocalimero, 5 avril 2012 15:31

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Aujourd’hui un énooooorme colis m’a été livré par mon facteur, tellement gros que je me suis demandé si j’étais bien le bon destinataire. Ça je le dois à Mr.AZ (l’expéditeur du stick arcade Q4RAF Qanba que je lui avais commandé) qui avait protégé, rembourré, renforcé l’intérieur du colis et même doublement filmé la boîte d’origine du stick. Il va sans dire que je le remercie pour son sérieux et son professionnalisme, le paquet ayant pu résister à une attaque nucléaire. J’étais donc impatient de partager en images ce nouvel accessoire et de vous donner mes impressions jusqu’à ce que j’ouvre le colis et découvre l’écrin dans lequel était conservé le stick. Tellement agréablement surpris devant tant de finition et d’emballage luxueux à l’image des qualités vantées de l’accessoire, il était impératif que je vous expose en détails chaque étape de l’ouverture de la boîte (et même si le stick est bien plus important que son écrin). In Love

Mais que cache le très joli couvercle de cette boîte?

La boîte qui renferme le stick fait environ 47cm x 30cm pour une hauteur de 16cm, autant dire qu’elle est imposante puisqu’elle pèse dans les 4kg. Ses finitions sont superbes puisque les idéogrammes du couvercle sont imprimés d’une couleur rouge chromée qui tranche avec la blancheur de la boîte. Quand le couvercle est retiré, il faut ouvrir 2 volets dont l’intérieur de chacun laisse apparaître une illustration de combattant dans le style d’une estampe chinoise (à l’image du style graphique de la cinématique d’intro en cgi de Street Fighter IV). Une photo de la team eLivePro est même posée sur la dernière protection en mousse qui recouvre le stick et différents accessoires rangés dans des sachets en plastique (manuel d’utilisation, oreillette/micro, cache-boutons, lingette).

Ouverture de la boîte du stick

Ça y est, la bête est sortie de sa cage, presque aussi imposante que la boîte et presque aussi lourde (environ 3kg). Le fabricant Qanba prend ses clients au sérieux, les soins apportés à l’emballage de l’accessoire ne faisaient que préparer le joueur à la découverte des excellentes finitions et qualités du stick: lourd, stable, solide et dans un plastique translucide bleu du plus bel effet. L’illustration qui orne le stick (celle du joueur RF) n’est pas en reste et forcément en harmonie avec la couleur des boutons, de la boule et du corps de l’accessoire. Du bel ouvrage. Grin

Magnifique objet sorti de son écrin

En faisant le tour du stick on constate et apprécie la présence d’une poignée de transport (pour les gamers fighters itinérants), une trappe discrète située sur le côté gauche renfermant un câble USB d’environ 3 mètres, une prise casque sur le devant (forcément compatible avec l’oreillette filaire fournie dans la boîte), ainsi qu’un bouton START situé sur la tranche droite (dont l’emplacement est bien pensé puisque sur les anciens modèles il était situé à droite des 8 boutons). A noter que le dessous du stick est entièrement recouvert d’une surface feutrée surmontée de 4 solides pieds en caoutchouc anti-dérapant.

Petit tour d'horizon du stick vu de différents côtés

En plus des indispensables et traditionnels contrôles, le stick propose en haut à droite une interface très complète de commandes: un switch 2 positions permettant de basculer entre compatibilité Xbox 360 et PlayStation 3/PC (mais également Mac) plus 4 boutons distincts (Home, Turbo, Mode, Select).

Interface de configuration et paramétrages du stick

Comme je l’ai déjà évoqué plus haut, le stick est accompagné de plusieurs accessoires comme une micro/oreillette filaire (principalement destinée aux joueurs Xbox 360), une petite lingette pour nettoyer la surface de l’accessoire, de 2 cache-trous (pour peu que vous souhaitiez retirer 2 boutons) et d’un manuel d’utilisation. Bref, on en a pour son argent.

Accessoires fournis avec le stick

Pour conclure je vous rappelle que ce stick arcade est une édition limitée produite à 300 exemplaires (je possède l’exemplaire 116/300), son numéro de série étant identifié via un sticker officiel sur l’accessoire et également sur la boîte. Il est entièrement équipé de boutons et manette de marque Sanwa et est compatible avec les consoles Xbox 360/PlayStation 3, PC et même non officiellement Mac (via un petit tuto d’installation de pilotes que je vous prépare).

Photo de la team eLivePro, lignes assymétriques de la boîte et numéro de série du stick

Voila pour ce petit tour d’horizon du “QanBa Q4 RAF 3in1 Joystick (eLivePro|RF) Limited edition“, et pour ce qui est du côté fonctionnel c’est juste du pur bonheur. J’ai eu l’occasion de le tester sur plusieurs shmups et autres VS fighting games et les premiers superlatifs qui me viennent à la bouche sont confort et ergonomie. J’étais pourtant amplement satisfait de mon stick Hori Tekken 6, mais il va désormais rester en vitrine (la faute à sa dédicace de Harada Katsuhiro) car posé sur mes genoux comme sur une table je préfère la stabilité et l’ergonomie du QanBa.

Comparatif entre mes sticks QanBa Q4RAF et Hori Tekken 6

Je ne connaissais que Hori et MadCatz comme fabricants reconnus pour leur sticks arcade, mais force est de constater que les différents conseils et avis positifs que l’on m’a fait sur la qualité des produits faits par le fabricant chinois QanBa ont été confirmés après l’avoir testé personnellement sur plusieurs jeux via ce superbe stick arcade. Je vous conseille donc ses différentes itérations si vous êtes férus de VS Fighting ou autres Shmups et que vous cherchez à investir dans du bon matériel. Maintenant, impossible d’incriminer un éventuel dysfonctionnement du stick à chaque défaite, il va falloir que je trouve de nouvelles excuses. Wink

Informations au dos de la boîte du stick

Rocksmith: l’arlésienne?

By neocalimero, 29 janvier 2012 13:14

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Annoncé début 2011 par Ubisoft pour une commercialisation planifiée le 18 octobre 2011, Rocksmith est un jeu musical (pédagogique) hors norme à tout point de vue. Vous allez me dire “mais nous sommes en janvier 2012 et je n’ai jamais entendu parler de ce jeu”. Vrai. Tout d’abord, Rocksmith est le premier jeu ayant pour vocation de permettre au joueur d’utiliser une vraie guitare électrique reliée à sa console Xbox 360/PlayStation 3 (ou PC) via un câble jack 6,35mm/USB fourni avec le jeu. L’interface du jeu similaire à un Rockband ou Guitar Hero fait cependant défiler de vraies tablatures contrairement à ses concurrents, qui n’en sont pas d’ailleurs (des concurrents) car Rocksmith ne joue pas dans la même cour (et même si Rockband 3 avait proposé un mode “Pro” qui s’en rapprochait un peu).

Jaquette des versions Xbox 360 & PlayStation 3 commercialisées le 18 octobre 2011 sur le marché américain

Mais venons-en à la mystérieuse discrétion de ce titre et sa nébuleuse commercialisation sur notre territoire hexagonal. Mis à part de non officiels et obscures problèmes internes (non vérifiés) chez Ubisoft liés au développement du titre, Rocksmith a connu un bête problème de copyright à cause d’un groupe anglais portant le même nom. Kris Ford, batteur de Rocksmith et apparemment leader du groupe aurait fait une proposition à Ubisoft en apprenant la création du jeu, faire sa promotion en étant intégré dans la tracklist du titre. On imagine mal Ubisoft accepter et laisser le pas très populaire Rocksmith (le groupe) côtoyer Lynyrd Skynyrd, The Rolling Stones, Muse, Incubus, Stone Temple Pilots ou autre David Bowie. Bref vous l’aurez compris, Ubisoft répondit par la négative à Kris Ford qui s’empressa d’évoquer son problème à l’European Union Agency bloquant jusqu’à ce jour la commercialisation du jeu en Europe.


Mais cette guerre juridique semble sur le point de se terminer, non pas grâce à un accord entre les 2 parties mais parce que le groupe aurait déposé le nom “Rocksmith” en 2003 et pour une durée de 8 ans logiquement arrivée à terme. De plus Ubisoft a confirmé officiellement à Gamespot UK en octobre 2011 que le jeu serait commercialisé en Europe début 2012 (voir cet article). Cette arlésienne va finalement prendre fin pour le plus grand plaisir des fans de rythm games et/ou musiciens, d’autant plus que les tests de la version US sont apparemment très positifs.

Les conditions optimales pour jouer à Rocksmith, ça ressemble à votre salon?

Je vous conseille d’ailleurs de vous rendre sur le blog ENFINLA pour lire le test très complet de la version américaine sur une console PlayStation 3 (PAL) proposant boîte, notice et jeu intégralement en français. Attention cependant, les DLC disponibles sur le marché américain ne sont toujours pas accessibles sur le PSN européen et la version Xbox 360 américaine est incompatible avec les consoles PAL. Pour les intéressés par l’import, le jeu est disponible chez Planet Axel ou encore VideoGamePlus.


Je ne vous cache pas mon impatience de m’essayer à Rocksmith car je possède déjà une Explorer ainsi qu’un ampli Marshall 30 watts. Pour ceux qui ne possèderaient pas déjà de guitare électrique, il me semble qu’Ubisoft avait communiqué début 2011 d’un possible bundle jeu+guitare pour un coût attractif. En attendant une date officielle de commercialisation sur le marché européen voici quelques liens utiles:

Splatterhouse: le retour du press kit

By neocalimero, 14 janvier 2011 17:26

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Il y a quelques temps, je vous avais concocté un billet sur le remake next gen de Splatterhouse et du press kit que j’avais reçu. J’étais content de mon acquisition, jusqu’à ce que je réalise que mon press kit était comment dire… reconstitué. Le jeu inclus sous blister n’était pas le jeu d’origine (devant arborer un bandeau “promotionnel” ), il manquait le DVD d’assets ainsi qu’une lettre accompagnant le Tshirt. Bref, je m’étais fait avoir.

Et puis à force d’investigations, j’ai réussi à trouver un autre press kit mais version PlayStation 3 enfin complet (du moins presque car il manque encore la lettre). Gros point positif, je l’ai acheté à un anglais pour moins cher que le jeu commercial, et ça m’a permis de revendre mon exemplaire incomplet (mais en précisant à l’acheteur les pièces manquantes, tout le monde n’est pas malhonnête).

Du coup, à moi le jeu promotionnel de Splatterhouse sur PlayStation 3 ainsi qu’un nouveau numéro pour ce press kit: 135/666. Cependant j’aimerais bien savoir si ce nombre correspond à 666 exemplaires pour l’Europe ou au niveau mondial (sachant que le disque d’assets incluait les langues italienne, française et anglaise). Pour la lettre manquante, lettre expliquant l’utilisation du Tshirt et de la réalité augmentée, je vais encore devoir chercher un peu, mais une simple photocopie saura me satisfaire si je ne trouve pas mon bonheur.

J’ai donc pu profiter du contenu du disque d’assets ( voir l’image ci-dessus) incluant bandes annonces, images, dossier de presse et jaquettes (dans différentes langues). Un DVD que j’ai trouvé intéressant principalement pour les vidéos car elles compilent de nombreux trailers et/ou teasers, dont ceux des premières annonces officielles du développement du jeu. Du coup on peut réellement constater les changements opérés graphiquement (sur le logo, le personnage principal et les ennemis) avant que Namco Bandai insatisfait du résultat ne retire le développement du jeu au studio BottleRocket. Et puis il y a ce teaser filmé en prise de vue réelle. Wink

En plus des quelques vidéos de gameplay, et très nombreuses captures d’écran du jeu, on peut trouver 6 ridicules artworks, certes vraiment bien fichus, mais pas de quoi me rassasier et pourtant je suis vraiment fan de la personne qui a réalisé tous ces artworks (ils sont d’ailleurs certainement plusieurs). Je pense même faire quelques recherches dans un avenir proche car j’aimerais bien trouver un artbook sur le jeu.

Voila, le psychopathe que je suis, fan de Splatterhouse a finalement presque oublié sa déception passée pour le précédent kit presse malhonnêtement vendu pour complet alors qu’il n’en était rien. Mais le dieu des gamers m’a entendu et aidé dans ma quête vers le Saint Graal vidéoludique “gorement” bourrin. Ma patience a payé. Wink

God of War Collection

By neocalimero, 29 mars 2010 15:41

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Cruel dilemme en écrivant cet article pour choisir la bannière à thème appropriée. Pourquoi ça? parce que je viens de recevoir God of War Collection, compilation re-masterisée en haute définition des 2 premiers épisodes de la franchise (originellement sortis sur Playstation 2, mais aujourd’hui stockés sur un blu-ray pour la Playstation 3). Alors, rétrogaming ou gaming? un peu des deux en fait, mais dans tous les cas deux jeux vraiment indispensables pour joueurs en manque d’action (et d’un peu de réflexion, mais alors juste un peu).

God of War Collection

Et cette compilation arrive à point nommé puisque j’ai fini il y a quelques jours God of War III et je ne m’en suis pas encore remis (bon dieu mais quelle claque!). Comme je le disais dernièrement sur un forum après écoute d’une interview de David Cage (non je ne me cite pas par mégalomanie, mais par paresse de re-argumenter Wink ), “God of War III  ne révolutionne rien mais est une vraie bombe H de sensation de puissance manette en mains, d’aventure épique“, loin de certaines déclarations prétentieuses et dénigrantes du créateur d’Heavy Rain.

God of War Collection a

Le fait de n’avoir pu trouver de Pandora’s Box n’est qu’un lointain (mauvais) souvenir, car je souhaitais principalement en faire l’acquisition pour ce God of War Collection en version française (pis aussi les 3 OST, la boîte, l’album Heavy Metal… rien d’important en fait) que j’ai pu trouver grâce à Linanounette qui m’a proposé l’adresse du site VideoGamePlus.ca sur ce lien. Une super opportunité pour environ 26 euros frais de port inclus, et des textes et voix bien françaises (et pas québécoises).

God of War Collection b

Après avoir inséré la galette dans la Playstation 3 et lancé le jeu, un menu propose de choisir entre les 2 épisodes ainsi que des contenus bonus de GOW II (mais visibles uniquement dans l’option vidéo du menu XMB… ne me demandez pas ce que ça veut dire). Soyez rassurés, tous les bonus/trésors à débloquer dans chaque épisode sont toujours présents, et en commençant une partie avec Kratos dans les deux jeux le constat est rapide: c’est toujours ultra nerveux et ça a bien vieilli même si le 2ème épisode (plus récent) est beaucoup plus beau. Sur la photo du dessous, de gauche à droite vous pouvez découvrir Kratos dans le 1er puis 2ème épisode, ça reste bien détaillé pour des jeux Playstation 2.

God of War Collection c

Bien qu’ayant déjà fini ces jeux sur la Playstation 2 à leurs sortie officielle, je vais me faire un plaisir certain à les terminer à nouveau en HD entre 2 parties de Final Fantasy XIII (PS3) et de Sonic & SEGA All Star Racing (qui m’éclate vraiment sur Xbox 360). Grin

Campagne publicitaire Playstation 3

By neocalimero, 15 octobre 2009 10:32

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