Posts tagged: Pix’n Love

Concours: gagnez le mook Pix’n Love N°19 (édition limitée)

By neocalimero, 31 mars 2012 14:52

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Pour ceux qui ne le sauraient pas encore, Pix’n Love est une maison d’édition créée en 2007 proposant de nombreux ouvrages sur l’histoire du Jeu Vidéo. Editeur précurseur en France dans ce genre d’entreprise, Pix’n Love diversifie son travail passionné par la création régulière d’un Mook (magazine/book) focalisé sur le rétrogaming, mais également l’édition de biographies de personnalités du jeu vidéo, d’histoires de machines/ludothèques emblématiques, de Cahiers du Jeu Vidéo, etc. Mais aujourd’hui, vous allez pouvoir remporter via un concours le dernier numéro du Mook Pix’n Love N°19 gratifiée d’une couverture en édition limitée à 800 exemplaires (destinée aux abonnés de Pix’n Love).

Plus de 130 pages de rétrogaming dont un dossier de 12 pages sur la saga Panzer Dragoon

Je suis fidèle au travail ultra qualitatif des éditions Pix’n Love et suis donc abonné à leur Mook, mais il y a deux semaines j’ai reçu accidentellement 2 exemplaires du dernier numéro dans deux enveloppes adressées à mon nom. Après avoir contacté plusieurs fois l’éditeur pour les informer en totale transparence de l’erreur, je n’ai pas eu de réponse de leur part. Je me permets donc de vous offrir l’exemplaire de trop. Mais avant d’évoquer les modalités du concours, permettez-moi de vous évoquer une partie du sommaire de ce numéro 19:

  • Une interview exclusive de Yukio Futatsugi au sujet du célèbre jeu de tir Panzer Dragoon
  • Cauldron II, entretien avec Richard Leinfeller
  • Des révélations sur Daytona USA avec les propos inédits de Toshihiro Nagoshi
  • Les confessions de Gwenaël Godde au sujet d’un des RPG les plus ambitieux sortis sur Mega Drive, Pier Solar
  • Un dossier sur les boxeurs dans les jeux de baston

Couverture en édition limitée du Pix'n Love N°19 et extrait de quelques articles

Bon, passons aux choses sérieuses, pour remporter ce Mook Pix’n Love N°19 il va falloir faire preuve d’un petit peu de créativité:

  1. Laissez libre cours à votre imagination en mettant dans votre commentaire (1 seul commentaire/participation accepté) un lien vers une photo/image de votre crû, mettant en scène dragon et jeu vidéo. Logique puisque la couverture rend hommage à la saga Panzer Dragoon, les photomontages sont acceptés mais pas indispensables, mais je vous rassure mon avis totalement subjectif dans le choix du gagnant ne tiendra pas compte exclusivement de la technicité de votre travail. Le maître mot sera originalité, ça peut être humoristique ou pas, bref lâchez-vous. Wink
  2. Je vous laisse héberger vous-même votre image, vous devrez mettre un lien vers cette dernière dans votre commentaire dans lequel vous pourrez brièvement m’expliquer votre travail et/ou m’expliquer pourquoi vous souhaiteriez gagner ce Mook.
  3. Le concours sera clôturé le samedi 14 avril 2012 à minuit.
  4. N’hésitez pas à re-twitter le texte suivant: RT @neocalimero – Concours Remportez le mook Pix’n Love 19 (couverture collector) sur neocalimero.fr

Sommaire détaillé du Pix'n Love N°19

Voilà, je vous souhaite à tous bonne chance, j’espère que ce concours vous plaira et je suis plus qu’impatient de découvrir vos œuvres et commentaires, n’oubliez pas de faire circuler le concours via Twitter ou autres réseaux sociaux. J’oubliais, pour les puristes, le Mook à gagner est bien évidemment accompagné de son marque page métallique tout aussi collector auquel j’ajouterai le traditionnel post-it personnalisé par mes soins. Wink

Si vous avez des questions sur le concours, n’hésitez pas à me les poser via mon Twitter.

Mon Toulouse Game Show 2011

By neocalimero, 9 janvier 2012 0:11

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Généralement quand on est très jeune, on n’espère qu’une chose, devenir majeur pour pouvoir accéder à tout ce qui nous est interdit enfant (permis de conduire, cinéma, littérature, etc.) et puis à 40 ans pas mal de personnes regrettent ces années insouciantes où les semaines n’étaient rythmées que par loisirs, scolarité et potes. Pour ma part l’âge adulte est une bénédiction, car depuis pas mal d’années j’ai réalisé pas mal de rêves de gamin, des fantasmes souvent liés aux univers cinématographiques, vidéoludiques ou musicaux.

Me croirez-vous si je vous dis que c'était blindé de monde?

Bref, le dernier week-end de novembre j’étais à Toulouse pour un marathon de 48 heures dans le but de rencontrer quelques-unes de mes idoles vidéoludiques au Toulouse Game Show 2011. Je ne suis pas coutumier de ce genre de conventions, car bien que non agoraphobe j’appréhendais du haut de mes 36 ans bien tassés d’être bousculé par une foule surexcitée de jeunes (et moins jeunes) cosplayeurs et autres geeks intégristes (du genre de ceux qui philosophent sérieusement sur des détails de série que même leurs créateurs n’ont jamais réfléchi). Je n’étais pas trop loin de la vérité mais tout cet enthousiasme faisait plaisir à voir et je relativisais en me disant qu’adolescent (25 ans plus tôt) j’aurais apprécié ce genre de manifestation.

Conférence de Michel Ancel (au milieu) et Christophe Héral (à droite)

Donc même si le TGS2011 faisait la part belle au manga et à l’animation japonaise, les invités les plus prestigieux du salon étaient liés au monde du jeu vidéo. Cette affiche exceptionnelle accueillait cette année rien de moins que Yu Suzuki (Hang On, Out Run, Virtua Fighter, Shenmue), Katsuhiro Harada (Tekken, Soulcalibur), Michel Ancel (Rayman, Beyond Good & Evil) & Christophe Héral (Beyond Good & Evil, Rayman Origins). Gros dilemme donc pour choisir parmi ma collection les articles à emmener avec moi pour tenter de me les faire dédicacer… et ne pas craquer mon sac à dos pour cause de sur-poids. Oui car au final, chargé comme un mulet je me suis détruit le dos tout un week-end pour avoir en permanence sur moi stylos, 2 appareils photos, un stick arcade Tekken 6, des jaquettes de jeux vidéo et autres ouvrages vidéoludiques. Je sais ça faisait une bonne dizaine de kilos, je suis très prévoyant.

Christophe Héral (à gauche) et Michel Ancel (à droite) en pleine séance de dédicaces sur le stand de Pix'n Love

Ce week-end à Toulouse fut pour moi de vraies montagnes russes ponctuées par quelques déceptions/frustrations et d’inoubliables rencontres qui éclipsèrent après coup les mauvais souvenirs. Grosso modo samedi 26 j’ai pris la route en voiture à 6H du matin pour arriver à 10H10 au salon. Là j’ai fait 1H40 de queue pour acheter un billet par une température de 5°C. A 12H10 j’arrive enfin à rentrer dans le salon mais la foule étant tellement importante et compacte il est très difficile de progresser. Pour faire simple je décide de faire l’impasse sur le déjeuner car je réalise que pour la conférence de Michel Ancel & Christophe Héral à 13H, il y a déjà une file d’attente. En fait durant cette première journée je ne visiterai pas le salon car pour assister à 2 conférences je vais passer mon après-midi à faire la queue et entre les 2 conférences je vais malheureusement oublier celle de Katsuhiro Harada, la faute à de passionnantes discussions avec le staff des éditions Pix’n Love, Console Syndrome, et une séance de dédicaces de Michel Ancel & Christophe Héral.

La conférence de maître Yu Suzuki (à gauche de sa traductrice)

La deuxième journée fut moins éprouvante (même si la foule semblait deux fois plus importante que la veille), peut-être parce que je fus accompagné tout ce dimanche par un ami (Cyril) et quelques personnes de son entourage. De plus seule la conférence du soir rassemblant autour d’une table Yu Suzuki, Katsuhiro Harada, Michel Ancel & Christophe Héral m’intéressait, me laissant toute la journée pour flâner autour des différents stands.

Alex Pilot (à gauche), Le joueur du grenier et son acolyte (en haut à droite), Marcus (en bas)

D’ailleurs je tiens à insister sur un point : le temps peut paraître très long pour un fan qui fait la queue pendant 1H30 pour avoir une dédicace, mais j’ai été bluffé par la patience et la disponibilité du Joueur du Grenier (et son acolyte) qui a passé 48H à dédicacer sur son stand (quand il n’était pas en conférence à l’amphithéâtre). Sa file d’attente était continuellement infinie, beaucoup plus longue que pour Nerdz, Ancel, Marcus ou toute autre superstar invitée à la convention. Bref, malgré une première impression très mercantile j’avoue qu’il se dégageait une bonne humeur générale et de quoi contenter les fanboys de tout univers (science fiction, jeux vidéo, animation/manga, Arcade, cosplay, vie japonaise, etc.) via des conférences, expositions, concours et autres manifestations.

Séance de dédicaces pour Yu Suzuki (à gauche) et Katsuhiro Harada (à droite)

Ce TGS 2011 se termina pour moi (vraiment) à la fermeture du salon le dimanche soir vers 19H30, j’étais donc vraiment éreinté par ce week-end marathon et n’avais plus qu’à reprendre la route vers mon domicile pour environ 4 heures de trajet. Je suis arrivé chez moi peu avant minuit mais n’ai pu me coucher immédiatement, trop impatient de re-sortir de mon sac toutes les belles acquisitions faites sur le salon : plein de dédicaces de Michel Ancel, Yu Suzuki, Christophe Héral et Katsuhiro Harada sur leurs jeux/ouvrages respectifs… et même Nicolas Courcier & Mehdi El Kanafi (de Console Syndrome) pour Zelda: Chronique d’une saga de légende et quelques Pixmen (Sébastien Mirc & Marco). Après un petit bisou à ma femme somnolente, je me suis couché des étoiles plein les yeux oubliant que 5 heures plus tard je devrai me lever pour aller travailler.

Le stand des éditions Pix'n Love, à droite Sébastien Mirc

Juste avant de conclure ce billet par un petit récapitulatif des points positifs et négatifs de ce Toulouse Game Show 2011 (bien évidemment cela n’engage que moi), il fallait que je partage avec vous en photos quelques bricoles ramenées du TGS (photos ci-dessous). Et puis je tenais à remercier à nouveau Mehdi El Kanafi & Nicolas Courcier, Sébastien Mirc & le staff de Pix’n Love, Kenji-kun & son amie, Cyril & ses potes et bien évidemment les guest stars pour qui je me suis déplacé, Yu Suzuki, Katsuhiro Harada, Michel Ancel & Christophe Héral (qui ont vraiment joué le jeu des questions/réponses et mis le feu au TGS). Un grand merci à vous tous.

Points positifs :

  • Une convention vraiment complète et riche en invités de qualité qui ne se déroule (enfin) pas à Paris
  • Une conférence extraordinaire (passionnante et hilarante) de Michel Ancel & Christophe Héral qui ont fait le show malgré un interviewer un peu mal à l’aise aux questions pas toujours pertinentes car très cliché.
  • De très intéressantes discussions avec Julo (Gameblog), Mehdi El Kanafi (Console Syndrome), Carta (Console Syndrome), Sébastien Mirc (Pix’n Love), Kenji-kun (Shenmue Master) et son amie.
  • Table ronde avec Yu Suzuki, Katsuhiro Harada, Michel Ancel & Christophe Héral, quelques petites surprises dont un affrontement entre Yu Suzuki et Katsuhiro Harada sur Virtua Fighter 5 et Tekken 6 (Xbox 360) enchaînée avec une grosse séance de dédicaces
  • Michel Ancel mimant Yu Suzuki (et inversement) suite aux parties de billard qu’ils avaient fait dans la nuit de samedi à dimanche
  • Les délirants commentaires (sous acides) de Katsuhiro Harada à Michel Ancel et Yu Suzuki (par exemple : Katsuhiro Harada and Yoshinori Ono se déguisent en Shun Li et constatent qui est le plus ressemblant et a les plus belles jambes en collants)

Points négatifs

  • La conférence d’un Yu Suzuki désabusé, voire blasé et gêné envers son public à chaque fois que quelqu’un lui parlait de Shenmue. Même son diaporama détaillé exposant toute sa carrière a été survolé en occultant nombres de classiques dont il est le créateur. De plus 80% des questions du public étaient inappropriées, dignes de geeks intégristes ou irrespectueuses
  • Trop de visiteurs par rapport à l’espace disponible sur l’ensemble du salon
  • Des horaires de conférences inversées sans prévenir
  • Il va falloir attendre 1 an pour le prochain TGS, ça va être dur… surtout si les futurs invités “Jeux Vidéo” sont aussi mythiques

La conférence de clôture du TGS: table ronde avec Yu Suzuki, Michel Ancel, Christophe Héral et Katsuhiro Harada

L’Histoire de Nintendo Vol.3 de Florent Gorges (éditions Omake Books)

By neocalimero, 29 avril 2011 16:48

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Le très attendu volume 3 de la collection L’Histoire de Nintendo est enfin arrivé à la maison. Comme pour le déballage des 2 volumes précédents je constate qu’en plus d’être un pavé d’informations copieusement illustré, l’ouvrage est un très bel objet avec sa couverture transparente. Et puis je réalise d’un coup que son auteur (Florent Gorges) confirme une fois de plus tout son talent d’écriture autant que d’investigation qui lui a pris un peu moins de 2 ans. Je ne vous ferai pas de critique de l’ouvrage car je l’ai juste commencé, et je pense que de nombreux autres sites et blogs ont déjà partagé leurs impressions sur la toile. Un excellent podcast dédié à la sortie du mook est également disponible sur ce lien.

L'Histoire de Nintendo Vol.3 : 1983-2003 Famicom/Nintendo Entertainment System (de Florent Gorges)

Cependant, dans le but de promouvoir cet extraordinaire ouvrage dédié à la NES/Famicom et de soutenir la nouvelle entreprise de Florent Gorges (pour rappel auteur de l’Histoire de Nintendo et créateur des éditions Omake Books), n’hésitez pas à aller sur ce lien découvrir une partie du contenu du mook (et pourquoi pas le commander avec les précédents volumes) ou de cliquer sur les images ci-dessous.

Je ne sais pas si Florent Gorges réalise qu’il est en train de se créer une renommée au minimum européenne (sinon internationale) auprès de la profession du jeu vidéo et des joueurs occidentaux qui rêvaient de pouvoir acheter ce genre de collection “encyclopédiesque” pour parfaire leur culture vidéoludique. Si vous voulez tout savoir sur Nintendo, de ses origines à la NES/Famicom en passant par les Game & Watch, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Et je conclurai en remerciant sincèrement Florent Gorges de m’avoir fait la surprise de me citer dans les remerciements divers de l’ouvrage, c’était vraiment inattendu. Flo, je t’attends pour boire un coup à la maison et inaugurer mon petit musée du jeu vidéo/gaming room. Wink

Un grand merci à Florent Gorges, p'tit bonhomme bourré de talent et incroyablement humble

Pour information, les éditions Pix’n Love (en partenariat avec Omake Books) proposent une couverture alternative du Vol.3 de l’Histoire de Nintendo présentant une Famicom (contre une NES chez Omake Books).

Pré-commande: Bible & Histoire de Nintendo

By neocalimero, 15 avril 2011 18:23

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Mardi dernier (oui je sais, nous somme vendredi et je suis à la bourre), grâce au tweet de YomeNetSan j’ai appris l’existence (tenue secrète jusqu’alors) d’une bible Nintendo éditée par Pix’n Love et entièrement consacrée à la Famicom/NES. En me rendant sur le site je découvre également une édition limitée à 300 exemplaires proposant une reproduction de boîte NES avec un vrai fourreau en plastique noir sérigraphié accueillant une bible de 432 pages scindée en 2 ouvrages complémentaires. Ma commande a été passée à 10h21, mais il faut croire que peu de temps après cette édition collector était épuisée, déchaînant les passions des joueurs n’ayant pu commander le Saint Graal. Marc Pétronille désolé explique très bien d’ailleurs sur le blog de Pix’n Love à quel point leur équipe a été dépassée par les évènements et que jamais ils ne s’étaient attendu à un tel succès.

J’ai donc eu beaucoup de chance de pouvoir pré-commander cette édition spéciale ultra collector et déjà épuisée avant même son édition et commercialisation. Encore merci à YomeNetSan. Et puis parce que je suis fidèle à Florent Gorges qui m’a réconcilié avec la presse vidéoludique (grâce au mook Pix’n Love) j’ai pré-commandé chez Omake Books cette fois le volume 3 de l’Histoire de Nintendo qui propose une couverture différente du même ouvrage distribué et édité chez Pix’n Love Editions. Cette Histoire de Nintendo Vol.3 arbore en couverture une familière NES chez Omake Books et une Famicom chez Pix’n Love, choisissez votre camp. In Love

Parce qu’on est en plein dans le rétrogaming, je voulais vous signaler que suite à mon dernier arrivage de jeux PlayStation 2, je viens de créer sur le blog une nouvelle section entièrement dédiée à la série SEGA AGES 2500 qui devrait rapidement s’étoffer. Pour y accéder directement cliquez sur la bannière ci-dessous. Bonne lecture Wink

Game & Watch: Ball

By neocalimero, 22 novembre 2010 16:25

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En avril 2010, le Club Nintendo japonais proposait aux joueurs de l’archipel (et membres Platinum du club) la reproduction exacte du Game & Watch “Ball”, qui n’est autre que le premier Game & Watch créé par Nintendo et commercialisé le 28 avril 1980. Un jeu emblématique ancêtre des consoles portables et bien sûr du Game Boy créés par le même génial Gunpei Yokoi. Pour cette reproduction commémorative, Nintendo a rajouté un interrupteur on/off pour le son du Game & Watch (absent sur le modèle original) et a bien évidemment “tatoué” le logo Club Nintendo au dos de l’appareil.

Avec la réception de ce colis, je viens de faire un bond de 30 ans en arrière (oui oui, j’étais né et j’avais 5 ans), me remémorant la période de Noël dans le rayon jouet d’hypermarchés exposant Game & Watch, Table Top et autres figurines Star Wars, Ulysse 31, X-OR, Albator, etc. Une belle madeleine de Proust que ce Game & Watch “Ball”, enfin, pour moi en tout cas, à vous de me dire si c’est réciproque.

Pour ceux qui l’ignoreraient ou l’auraient oublié, le but de ce petit jeu LCD est simple mais addictif: faire jongler un personnage sans manquer les balles. Un concept basique mais universel, compréhensible en 2 secondes, et à la difficulté croissante mettant à rude épreuve réflexes et dextérité. En fait tout ce que l’on recherche dans un jeu, même aujourd’hui quand les Xbox 360 et PlayStation 3 s’affrontent à coups de 3D et haute définition 1080p.

Je conclurai en vous conseillant l’excellent L’Histoire de Nintendo vol.2 (dédié aux Game & Watch) ainsi que Gunpei Yokoi: vie et philosophie du Dieu des jouets Nintendo #3 (papa du jeu LCD révolutionnaire). Wink

Neocalimero is back!

By neocalimero, 19 juillet 2010 12:18

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Non je ne suis pas mort. C’est juste que j’ai enchaîné mes vacances avec la reprise du boulot qui ne m’a pas vraiment laissé de temps libre… et en plus, j’ai encore du mal à m’acclimater à la reprise des horaires de ma profession (ce qui ne m’empêche pas d’être ponctuel). Y’a pas à dire, les vacances c’est juste obligatoire, surtout pour décompresser. Bref depuis mon départ en vacances, le mot d’ordre fut juste: farniente.

Entre deux séances de piscine et bronzette, j’ai pu me rendre 2 fois au ciné, jouer sur consoles portables, continuer le visionnage de la saison 2 de The Big Bang Theory et regarder en famille quelques blurays sur mon notebook. En fait, juste quelques habitudes d’un geek loin de son home sweet home technologique mais malgré tout heureux de se prélasser en famille. Bien entendu ça ne m’a pas empêché de trouver près de mon lieu de repos le CD de la bande originale de Metal Gear Peace Walker ainsi qu’un gros badge à l’effigie de cet incroyable jeu.

Mais de retour à la maison (et le sevrage terminé), découverte (entre autre) dans la boîte aux lettres du Mad Movies d’été, du dernier Pix’n Love et de quelques avis de passage du facteur. Après une petite visite au bureau de poste de ma commune, j’ai pu récupérer un colis renfermant des romans (Kodansha novels) reprenant les licences Tengai Makyô Ziria, Zero & Apocalypse IV (de quoi exercer mon japonais pour… hum très longtemps).

Mais la pièce maîtresse de ce colis est sans équivoque la boîte à outils offerte à l’époque de la sortie du Pachi Slot Tengai Makyô Manji Maru. A quand les préservatifs Far East of Eden? du coup, à force d’écumer le Net, et surtout les sites d’enchères japonais, il ne me reste plus beaucoup d’articles à récupérer pour “clôturer” ma petite collection sur la série… enfin, une collection n’est jamais vraiment terminée. Wink

A mon retour de vacances j’ai également remporté l’enchère pour une illustration de Tales of Monkey Island dédicacée par Steve Purcell, je ne vous cache pas mon impatience de la recevoir d’autant plus que je vais aujourd’hui prendre les derniers renseignements pour encadrer mes HuCards not for sale et quelques autres posters/affiches dédicacées (Tim Schafer, Don Bluth, etc. ). Grin

Ci-dessus, la dédicace tant attendue Nerd

Quelques lectures saines

By neocalimero, 7 juin 2010 14:20

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Depuis quelques temps la météo oublie de nous rappeler que nous sommes en juin, et qu’en juin ben c’est le printemps (voire presque l’été). Mais les beaux jours semblent enfin revenir, et quoi de mieux que quelques saines lectures pour passer le temps allongé sur la terrasse chauffée par le soleil. Au programme le n°8 d’ig mag, le hors série d’Onze Mondial consacré à la coupe du monde de la FIFA 2010 et le dernier ouvrage des éditions Pix’n Love sur Takahashi Meijin. En fait pour ce dernier, je l’ai depuis le jour de sa sortie et l’ai entièrement lu mais avant de le chroniquer j’attendais les résultats de ce concours pour lequel j’espérais désespérément remporter un lot… mais 8 autres lecteurs furent plus chanceux que moi. Cry

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L’amour du (bon vieux) pixel

By neocalimero, 27 avril 2010 14:50

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Pour ce nouveau numéro de Pix’n Love (le 12ème déjà!) affichant en couverture le héros d’Adventure Island/Wonderboy, les pigistes du mook nous ont une fois de plus préparé un sommaire bien alléchant pour les gamers nostalgiques (dont je suis… aïe, touché en plein cœur). Pèle mêle vous y découvrirez un dossier sur Adventure Island et l’emblématique Takahashi Meijin (dont Pix’n Love est en train de finaliser l’ouvrage autobiographique pour cet été), les interviewes d’Alain Brégeon (Le Passager du Temps sur Amstrad CPC 6128) et de Tommy Tallarico (compositeur des musiques d’Advent Rising, The Terminator-Mega CD, etc. ) et des chroniques sur Ristar (Mega Drive) et Battle Circuit (arcade). Un survol supersonique et non représentatif des 132 pages de ce numéro 12 que je vous invite à courir acheter en boutique ou commander en ligne. Wink

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Et puis j’avais envie de mettre des visages sur les noms (ou l’inverse) des têtes pensantes des éditions Pix’n Love, pour peu que vous ne connaissiez pas leur blog. Une excuse en fait pour insister sur l’amour du travail (artisanal) bien fait de ces amoureux du jeu vidéo, qui contrairement à de nombreux passionnés (comme moi) ont eu les cojones de se lancer dans l’édition et de vivre de leur passion à une époque où l’information circule plus sur le Net que dans la presse papier. Je voulais saluer leur travail ultra professionnel à tous, des pigistes permanents ou occasionnels, et même à Mizuki la femme de Florent souvent mise à contribution. Wink

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Comeback & lectures

By neocalimero, 3 mars 2010 21:47

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Je suis de retour, et j’ai des billets en retard (et pas mal de cartons encore scotchés pour un moment). Entre les consoles et/ou jeux soigneusement emballés et le bug “8001050F” de la PS3 qui m’a empêché de jouer à Heavy Rain (et fait flipper de perdre ma PS3 60Go 1ère génération parfaitement fonctionnelle), je n’avais pas d’autre choix que de me tourner vers de saines lectures. Wink

pix n love 11 et ig mag 5

Tout d’abord le numéro 11 de Pix’n Love et son excellent contenu (dont un fantastique dossier sur SEGAGAGA) dans lequel était inséré une petite lettre me rappelant la fin de mon abonnement. Direction le site de Pix’n Love Editions pour y remédier en renouvelant également mon abonnement à Mad Movies. Pour info, le mook Pix’n Love passe bimensuel pour notre plus grand bonheur de “rétrogameur nostalgeek” et leur blog officiel est désormais hébergé par Gameblog à cette adresse. Wink

Les chroniques de Player One

Et puis ig-mag n°6, le seul magazine de l’actu du jeu vidéo dont le contenu justifie réellement son achat, à une époque où les sites généralistes de l’internet moderne sont majoritairement plus complets et professionnels que la presse dite “spécialisée”. Un comble… Je conclurai par “Les chroniques de Player One”, un ouvrage que je n’attendais pas du tout mais que j’ai découvert sur le blog de Cyril Drevet/Crevette,  qui chronique l’histoire de ce magazine pionnier de la presse jeu vidéo française. Une belle madeleine de Proust quoi. Grin

Pix’N Love: Un éditeur qu’il est bien

By neocalimero, 12 décembre 2009 16:23

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Pix’N Love Editions a réussi un vrai tour de force, me réconcilier il y a un peu plus d’1 an avec la presse jeux vidéo. J’étais fidèle au magazine Joypad jusqu’à son changement de ligne éditoriale qui causa le départ des chroniqueurs responsables de la notoriété du magazine depuis sa création. Ces mêmes journalistes (Trazom, Greg, Kendy, Rahan, etc.) créèrent le 29 octobre 2003 l’excellent mag “Gaming” mais qui ne connut que 6 numéros suite à des problèmes financiers et un incident “technique” qui leur fit perdre une grande quantité d’exemplaires destinés à la vente. Après cela, en quête de news jeux vidéo je me suis rabattu sur le Net, la presse française ne me convenant plus.

Arrivage Pix n Love 12-12-09

Et puis Pix’N Love est arrivé avec son format inhabituel de mook (magazine/book), son contenu rétrogaming, ses dossiers de qualité et sa mise en page agréable… Que du bon, y compris pour les autres ouvrages tels que L’histoire de Nintendo vol.2 ou Japan Arcade Mania dont je viens de faire l’acquisition. Wink

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