J’ai découvert par un pur hasard l’existence de Pierre Billon (croisement improbable entre Chuck Norris & C. Jérôme), un chanteur français également auteur/compositeur à prendre au 1000ème degré, complètement décalé et franchement involontairement savoureux. Après la vision de ce clip, foncez découvrir l’auto-dérision de Pierre Billon qui explique (et décortique) avec humour et franchise les paroles surréalistes de la chanson “La Bamba Triste” sur un site qui lui est carrément dédié. C’est en vidéo, et en bonus vous aurez droit à une version acoustique de la chanson.
Voila, ne cherchant aucunement à concurrencer les blind tests de Gameblog, je me lance aujourd’hui en vous proposant le deuxième challenge audio (d’une longue série) de glouton barjot. Vous le saviez déjà, le jeu vidéo est l’une de mes passions au même titre que les bandes originales (O.S.T./soundtracks) de films, de séries et même… de jeux vidéo.
Cela tombe bien, je vous propose d’identifier les 20 titres mystère suivants, en vous demandant de quel jeu vidéo ils sont tirés et si possible (histoire de démontrer quel incroyable gamer mélomane vous êtes), de préciser l’artiste et/ou le nom du morceau. J’ai fait le choix de vous proposer les morceaux dans leur intégralité, un simple extrait ne rendant pas honneur à l’indéniable qualité de ces titres.
N’hésitez pas à faire part de ce blind test à vos amis pour tester leurs connaissances.
Bonne chance
Les réponses sont visibles en cliquant juste en dessous sur le lien “Show“,
Titre Mystère #01: Housuke Odoroki ~ A New Trial is in Session!
Artiste/compositeur: Tokyo Philharmonic Orchestra/Toshihiko Horiyama
Jeu: Gyakuten Saiban/Phoenix Wright
Plateforme: Nintendo Game Boy Advance/Nintendo DS
Titre Mystère #02: Ken Stage
Artiste/compositeur: Hiroaki Yoshida
Jeu: Street Fighter II
Plateforme: Arcade/Super Nintendo et beaucoup d’autres consoles
Titre Mystère #03: Shenmue ~Sedge Tree~
Artiste/compositeur: T. Watanabe, R. Iuchi/Yuzo Koshiro
Jeu: Shenmue
Plateforme: Sega Dreamcast
Titre Mystère #04: Track 7
Artiste/compositeur: ???
Jeu: Real Bout Fatal Fury/Real Bout Garou Densetsu
Plateforme: Neo Geo CD
Titre Mystère #05: Theme of Star Fox
Artiste/compositeur: Tokyo City Philharmonic Orchestra
Jeu: Star Fox/Star Wing
Plateforme: Super Nintendo/Super Famicom
Titre Mystère #06: The Great Gianna Sisters
Artiste/compositeur: Machinae Supremacy
Jeu: The Great Gianna Sisters
Plateforme: Amiga
Titre Mystère #07: Water Music
Artiste/compositeur: Kanagawa Philharmonic Orchestra
Jeu: Donkey Kong Country
Plateforme: Super Famicom/Super Nintendo
Titre Mystère #08: Street Fighter Alpha 2 Kasugano (BootyMix)
Artiste/compositeur: Marc Star, Alfh Lyra
Jeu: Street Fighter Zero 2/Street Fighter Alpha 2
Plateforme: Arcade, Sega Saturn, Sony PlayStation
Titre Mystère #09: Theme~Space Warrior Samus Aran’s Theme~Big Boss BGM~Ending
Artiste/compositeur: Tokyo City Philharmonic Orchestra
Jeu: Super Metroid
Plateforme: Super Famicom/Super Nintendo
Titre Mystère #10: Track 27
Artiste/compositeur: ???
Jeu: Real Bout Fatal Fury Special/Real Bout Garou Densetsu
Plateforme: Neo Geo CD
Titre Mystère #11: Zanzibar Breeze
Artiste/compositeur: Mutsuhiko Izumi, Takahide Ayuzawa/Mutsuhiko Izumi
Jeu: Metal Gear Solid 2
Plateforme: Nintendo Entertainment System
Titre Mystère #12: Secure Place
Artiste/compositeur: ???
Jeu: Bio Hazard/Resident Evil
Plateforme: Sony PlayStation, Sega Saturn
Titre Mystère #13: Open Your Heart
Artiste/compositeur: Crush 40/Jun Senoue, Kenichi Tokoi
Jeu: Sonic Adventure
Plateforme: Sega Dreamcast
Titre Mystère #14: Super Mario World Theme
Artiste/compositeur: Tokyo City Philharmonic Orchestra
Jeu: Super Mario World
Plateforme: Super Famicom/Super Nintendo
Titre Mystère #15: Geki! Teigoku Kagekidan (Kai)
Artiste/compositeur: Teigoku Kagekidan
Jeu: Sakura Taisen 2/Sakura Wars 2
Plateforme: Sega Saturn
Titre Mystère #16: The Legend Of Zelda Medley
Artiste/compositeur: Shinji Hosoe/Koji Kondo, Ryuichi Katsumata
Jeu: The Legend of Zelda
Plateforme: Nintendo consoles
Titre Mystère #17: Phantasy Star III Main Theme
Artiste/compositeur: Shintaro Ito, SEGAROCKS/Izuho Takeuchi
Jeu: Phantasy Star III
Plateforme: Sega Mega Drive
Titre Mystère #18: Drake’s Elegy
Artiste/compositeur: Greg Edmonson
Jeu: Uncharted: Drake’s Fortune
Plateforme: Sony PlayStation 3
Titre Mystère #19: Opening Theme
Artiste/compositeur: ???
Jeu: Soul Edge
Plateforme: Sony PlayStation
Titre Mystère #20: Subarashii Shin Sekai Early Instrumental Version
Artiste/compositeur: Yuzo Koshiro
Jeu: Namco X Capcom
Plateforme: Sony PlayStation 2
Grâce au blog de Yao, je suis tombé sur un podcast assez inédit de 3 anciens présentateurs (2ème génération) de la chaîne Game One, à l’époque où elle parlait encore de jeux vidéo. Je sais c’est une réflexion totalement gratuite de ma part. Julien Charpentier, Tommy François et Thierry Falcoz ont décidé de créer la LDR (Ligue Dissoute Reconstituée) l’espace d’une heure pour évoquer les raisons de leur départ de la chaîne, leur actualité professionnelle et tout plein d’anecdotes croustillantes dans une ambiance décontractée et sans langue de bois. Bonne écoute!
Ce podcast a été enregistré en 2009 par Alex Gorski (ex-caméraman et compagnon de route de ces 3 ex-présentateurs de Game One) et proposé sur son site web perso. N’hésitez pas à vous replonger dans les années 2002-2005 de la chaîne pour les plus nostalgiques “rétrogameurs”.
En faisant un petit peu de rangement dans mes sauvegardes informatiques (CD & disque dur) je suis retombé sur des archives de 1997. Et là, avec bonheur j’ai retrouvé environ 150 fichiers MP3 de sketchs de François Pérusse, un incroyable humoriste québécois ayant sévi quelques temps sur Europe 2 (mais sans l’accent québécois heureusement pour nous) dans une émission matinale présentée par Arthur (en 1996 ou 1997). Il y présentait une courte rubrique humoristique nommée “Les 2 minutes du peuple”, où il s’adonnait énergiquement à créer des chansons ou des histoires courtes pleines de calembours et de non sens. Mais avec un incroyable talent, puisque seul il y faisait les voix de tous les personnages et créait l’ambiance sonore (musique de fond, bruitages, etc. ).
Les voix de ses protagonistes légèrement modifiées vers les aigus ont “inspiré” par la suite nombre d’humoristes de la radio ou d’Internet comme Le Donjon de Naheulbeuk, série ne m’ayant jamais intéressé (peut-être à tort) tant je trouvais qu’elle ne faisait que reprendre en moins bien le talent original de François Pérusse. Mais si ce dernier n’a connu la médiatisation en France que le temps de sa diffusion sur Europe 2, il est extrêmement populaire et apprécié dans son pays: 7 albums humoristiques à ce jour, émissions TV & radio, réalisations publicitaires (boisson Oasis avec les fruits parlants), collaboration créative sur Love (spectacle hommage aux Beatles du Cirque du Soleil à Las Vegas), etc.
Du coup, il fallait que je partage avec vous une petite sélection des sketchs des “2 minutes du peuple”, ça n’a pas été chose facile car j’aimerais tout vous faire écouter, mais à l’occasion si ça vous plait je pourrai en poster à nouveau sur le blog. Surtout que François Pérusse inspiré à fait (toujours pour Les 2 minutes du peuple) des séries de 7 ou 8 épisodes sur X-Files, Urgences, La maison Slinster (film d’horreur), une parodie de série policière, etc. Bref, du tout bon et pour rappel seuls 2 albums furent commercialisés en France proposant une dizaine de sketchs, et malheureusement épuisés depuis bien longtemps.
Achat du bimensuel ig-Mag qui fait la part belle à BlazBlue (en couverture) ainsi qu’au studio ARC System Works créateur du jeu et également de la franchise Guilty Gear. Mais c’est aussi presque 300 pages d’interviews (Toshimichi Mori, Warren Spector, Yoshiki Okamoto, Jason Manley, etc. ), de tests et de dossiers (actualité, rétrogaming, économie et trucs geek), bref du tout bon et certainement le seul magazine papier jeux vidéo indispensable (avec Pix’n Love) à l’heure où toute l’info est gratuitement disponible sur internet.
Et puis aussi le très attendu (par moi en tout cas) “Des pixels à Hollywood” d’Alexis Blanchet (docteur en Études cinématographiques de l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense) aux Editions Pix’n Love. Un ouvrage exceptionnel de 450 pages retraçant “l’histoire commune du cinéma et des jeux vidéo, à la fois concurrents et partenaires dans leur conquête du public”. Sa lecture s’annonce passionnante, autant que l’écoute de l’intarissable Alexis Blanchet qui a participé à un podcast de Gameblog justement consacré au Cinéma et au Jeu Vidéo.
Téléchargeable sur cette page, il y a 2 semaines l’équipe de Gameblog (Rahan, Julo & Julien C. ) nous proposait cet intéressant podcast traitant de “la narration et du jeu vidéo” en invitant Eric Viennot (co-fondateur de Lexis Numérique et créateur d’In Memoriam) et David Cage (co-fondateur de Quantic Dream et créateur d’Heavy Rain). Un podcast que je vous conseille sincèrement d’écouter (si ce n’est déjà fait) car des questions pertinentes y sont posées et les réponses des 2 invités ne laissent pas l’auditeur indifférent (surtout s’il est joueur).
Mais je souhaitais également, en écrivant cet article partager avec vous mon avis noyé dans les plus de 300 commentaires du topic dédié sur le forum de Gameblog. Libre à vous de vous faire votre propre opinion après l’écoute du podcast, je ne détiens pas la vérité mais je voulais vous donner mon avis (en le recopiant ci-dessous) car je ne suis pas resté insensible aux propos de David Cage sur le Jeu Vidéo en général. Bonne écoute et bonne lecture.
Podcast vraiment intéressant, même si à chaque fois que j’entends David Cage s’exprimer j’ai l’impression qu’il ne connaît pas le mot humilité. Je trouve tout à fait louable qu’il essaye de proposer quelquechose de différent dans l’univers du Jeu Vidéo. Mais l’entendre après chaque question soupirer d’un air blasé en dénigrant les jeux “boom boom pan pan”, mais aussi les jeux dont le gameplay “se limite” à 1 bouton pour tirer et 1 bouton pour sauter, ça me met hors de moi. C’est regarder de haut une très grosse catégorie de joueurs (dont je fais partie) qui apprécient par exemple un God of War III qui ne révolutionne rien mais qui est une vraie bombe H de sensation de puissance manette en mains, d’aventure épique…
J’ai beau avoir apprécié (et fini) les jeux d’Ueda (Ico, SOTC), Flower, Braid, Silent Hill 2, des jeux catégorisés de manière justifiée comme des jeux d’auteurs, je prends toujours du plaisir avec des jeux “traditionnels” qui n’ont pas pour vocation de révolutionner le médium Jeu Vidéo mais sont cependant aboutis dans leur gameplay et leur réalisation technique. Pas comme Heavy Rain que j’ai acheté et fini en édition collector, qui apporte une approche narrative cinématographique (élastique, pour ne pas froisser l’auteur), des sensations intéressantes mais propose une maniabilité imprécise et des bugs intempestifs, le comble pour un jeu (censé avoir passé des contrôles avant sa commercialisation).
Si techniquement (bugs, maniabilité, etc. ) Heavy Rain était irréprochable, le débat sur le jeu se limiterai à j’aime ou j’aime pas en argumentant. Dans ce cas là, D. Cage pourrait se permettre (comme Tomonobu Itagaki ou d’autres créateurs terribles ayant la vanne facile) des réflexions gratuites car il serait aussi irréprochable que son jeu, mais ce n’est pas le cas.
Voila, je ne sais si vous avez eu le courage de me lire jusqu’au bout, et si vous l’avez fait, merci pour votre courage. Je rajouterai juste un petit truc, même si l’on sait que l’équipe de Gameblog est vraiment fanboy d’Heavy Rain et de David Cage, je trouve qu’ils s’en sortent bien dans ce podcast, même si leur interview reste politiquement correcte je tenais à saluer leur professionnalisme.
Renan Luce passant près de chez moi à Saint Georges de Didonne pour sa tournée “Le clan des miros”, j’avais l’obligation de m’y rendre pour enfin apprécier l’artiste sur scène et pas seulement dans mes écouteurs d’iPod. Donc hier soir, direction Salle Colette Besson armé d’un appareil photo, d’un feutre noir, de l’édition limitée de “repenti” (dont le format DVD/livre disque fut un poil encombrant) et de la jaquette du CD “Le clan des miros”, anticipant la moindre opportunité de mes les faire dédicacer.
Autant le dire de suite, mon projet de dédicace fut un véritable fiasco mais n’eut aucune incidence sur la réussite de la soirée. La première partie fut assurée par Benoît Dorémus (voir la photo du dessous), un p’tit gars que je ne connaissais pas qui nous a joué 5 ou 6 chansons seul avec sa guitare. J’ai trouvé ses textes sympathiques mais trop légers à mon goût (T’as la loose, Je sors avec une étudiante, etc. ) à l’exception de la chanson “Deux pieds dedans” qui a su me toucher et m’interpeler car bien construite et traitant de la fugue des adolescents.
Et puis la tant attendue tête d’affiche a déboulé sur la scène avec ses musiciens, Renan Luce affichant un capital sympathie exponentiel jusqu’à la fin du concert. Et malgré son 1,60 mètre bien tassé (OK j’exagère… mais pas tant que ça) il ne cessera de déborder d’énergie en sautant partout avec sa guitare sur les morceaux les plus rythmés, enchaînant une bonne vingtaine de morceaux dispersés sur ses 2 albums (dont 4 rappels et la reprise inattendue “Laisse tomber les filles” ). Renan Luce sait jouer avec le public entre les chansons, public qui le lui rendra bien en lui faisant la surprise de porter un chapeau en papier journal sur “Les gens sont fous” et de lui envoyer des ballons de baudruche (gonflés discrètement pendant le concert) pendant “On n’est pas à une bêtise près”.
Une excellente soirée, une bonne humeur communicative, des musiciens maîtrisant leurs morceaux (et leur chorégraphie… comprendront ceux qui y étaient), et la certitude que Renan Luce est un artiste qui va vraiment compter ces prochaines années pour devenir un des grands auteurs compositeurs populaires (ça n’a rien de péjoratif) de la chanson française. Et puis, un artiste qui a recours aux services de Boulet pour illustrer l’édition limitée de son premier album ne peut être qu’un homme de goût.
Vivement le prochain album, en attendant je retourne regarder les vidéos prises dans la soirée.
J’en parlais dans ce billet, je suis devenu addict au groupe SHAKA PONK en les découvrant aux “Victoires de la Musique” il y a une semaine. Après l’écoute de l’album “Bad Porn Movie Trax” récupéré par des moyens prohibés par HADOPI, j’ai foncé m’acheter ledit album. Mais pour l’anecdote, je cherchais en magasin une pochette d’album avec une tête de singe (vue sur le Net) mais sans succès. Finalement je trouve l’album convoité mais pas avec la même pochette (une paire de baskets usagées). Je l’achète quand même (voir photo ci-dessous).
Et puis j’apprends que l’album avec la tronche de GOZ (la mascotte du groupe) étant épuisé, une nouvelle version avait été éditée avec un nouveau visuel et 2 morceaux bonus (dont un live). La suite est prévisible, il me fallait trouver l’édition épuisée (car collector ) et quand je veux… je trouve (enfin sauf pour l’édition collector Pandora’s Box de God of War III).
Bref du bon son à rapidement importer dans tout ce qui peut lire de la musique dans la maison et dans la voiture. Allez hop je retourne sur ma partie de Mother 3.
Samedi dernier, par le plus grand des hasards en fin de soirée je zappe sur France 2 et tombe sur “Les Victoires de la Musique 2010″. Je reste sur la chaîne quelques minutes jusqu’à ce que le couple de présentateurs le plus inutile du PAF pour ce genre de cérémonie (Christian Morin et une jeune femme à l’humour insipide) annonce un groupe nommé dans la catégorie “Révélation scène de l’année”: Shaka Ponk.
Dès les premières secondes de la prestation du groupe, impossible de détourner mon regard. J’ai même du mal à réaliser que malgré le fait que la chanson (How we kill stars) soit en anglais, tout ce petit monde est 100% français, et ce bon son “Rock Fusion” me laisse sur un sourire béat. Enfin un univers sonore et visuel travaillé mais badass, loin des jeunes groupes “rock classique” proprets de Papa tels qu’Archimède ou Revolver qui ne jurent que par les Beatles & Oasis.
Un mélange d’électro et de rock vraiment plaisant enrichi par un univers animé par une mascotte prénommée GOZ, un chimpanzée excentrique en 3D omniprésent jusque sur la scène via un écran circulaire. A ma grande surprise Shaka Ponk est déjà passé par l’émission Taratata, et même si le groupe n’a rien gagné aux “Victoires de la Musique 2010″ un certain buzz est en train de prendre de l’ampleur sur le Net, tant mieux car le groupe mérite à être connu. Pour info une intéressante interview est disponible sur ce lien et je viens de découvrir que pour illustrer leur chanson “El hombre que soy”, Shaka Ponk vient de tourner un clip déconseillé aux moins de 18 ans dans ce reportage “Hot Video” (avec du cinoche X dedans interdit aux mineurs).
Bref, Shaka Ponk c’est du tout bon, et je me suis empressé de récupérer illégalement leur dernier album “Bad Porn Movie Trax” pour l’écouter dans son intégralité avant d’aller l’acheter demain en boutique. Et puis voici une petite chronologie piquée sur le site de Taratata, histoire de mieux cerner le parcours du groupe:
2003 : Frah, CC, Thias et Bob forment le groupe Shaka Ponk. Le groupe apparaît sur la B.O du film « Dédales » de René Manzor avec le titre « Spit ». La marque Fantachoisit leur titre « Hell’O » pour sa campagne de pub européenne.
2004 :Le groupe quitte la France et s’installe à Berlin. Ils font les premières parties de Korn, Mudvaine, Excilia, Skin et Boss Hoss.
2006 : Ils signent avec le label Edel. Ils sortent l’album « Loco Con Da Frenchy Talkin’ ». Ils font une tournée européenne.
2007 : Le groupe quitte Berlin et revient à Paris. Ils signent chez Tôt ou Tard. Thias et Bob quittent le groupe. Mandris, Steve et Ion rejoignent Shaka Ponk.
2008 : Leur titre « Lust And Cucu » est utilisé dans une pub Labeyrie. Frah compose la musique du spot pour le comité national olympique et sportif français.
2009 : En mai, ils sortent leur nouvel album « Bad Porn Movie Trax ».
Juste en dessous la pochette de leur dernier album
Pour conclure vous trouverez ci-dessous une petite vidéo sympathique du groupe mais je vous recommande chaudement leur prestation chez Taratata pour la même chanson sur ce lien. Enjoy!
C’est une question que chaque nouvelle génération de joueurs se pose (et se posera), c’est immuable mais cela demeure une vraie question de fond dès que l’on compare les modes de consommation d’hier et d’aujourd’hui, les coûts de développement des jeux, leur durée de vie, la dématérialisation, le marketing, etc. Le plaisir de jeu est-il toujours le même pour qui a connu les débuts du jeu vidéo? Et l’excellent site gameblog.fr a décidé d’y consacrer un podcast entier (le numéro 120) en invitant Alain Huygues Lacour (Tilt, Joypad, Console +) et Cyril Drevet (Player One), tous deux pionniers du journalisme vidéoludique en France. Raaah, ça ne me rajeunit pas.
Bref, ce podcast très instructif et toujours aussi convivial est disponible sur ce lien