Calendrier de l’avent: J-22
C’est Patrick l’étoile de mer qui finira dans mon estomac pour ce jeudi 2 décembre. Vu la quantité de neige qui est tombée cette nuit sur Royan et les alentours, c’est l’occasion pour moi de savourer ce chocolat… glacé.
C’est Patrick l’étoile de mer qui finira dans mon estomac pour ce jeudi 2 décembre. Vu la quantité de neige qui est tombée cette nuit sur Royan et les alentours, c’est l’occasion pour moi de savourer ce chocolat… glacé.
Les traditions ont beau se plier aux lois du marketing, puisque le calendrier de l’avent est historiquement allemand et pas français, ma petite femme m’a quand même fait la surprise de me ramener un goodies Bob l’éponge pour me faire patienter jusqu’au 24 décembre. Je me vois donc dans l’obligation de vous faire partager (très égoïstement) en image tous les chocolats que je vais m’enfiler jusqu’à la veille de Noël. Je réalise l’inutilité de cette future série de billets (tout comme mon blog), et ça renforce encore plus ma motivation pour vous narrer le chemin vers une crise de foie annoncée.
Allez hop, c’est parti pour l’opération “1 chocolat : 1 jour”
et c’est Plankton qui démarre les hostilités.
Je viens de recevoir un accessoire vraiment culte pour tout gamer qui se respecte, à savoir un SHOOTING WATCH, objet intimement lié au personnage Takahashi Meijin/16 shot (auquel les éditions Pix’n Love ont récemment dédié un ouvrage biographique). Ce Takahashi Meijin (dont voici son blog) fut au Japon dans les années 80 l’ambassadeur d’une série de jeux édités par Hudson Soft sortis sur la console Famicom de Nintendo. Rapidement il se fit remarquer aduler par les joueurs pour son exceptionnelle capacité à appuyer en moyenne 16 fois par seconde sur le bouton de la manette de la console, générant d’incroyables high scores à une époque où l’auto-fire n’était pas vraiment d’actualité. Dans le but de proposer à tous les fans de la célébrité de faire mieux que lui (et aléatoirement de faire du business), Hudson Soft créa le SHOOTING WATCH. L’engouement des joueurs pour ce génial bidule engendra d’autres déclinaisons dont une application payante pour iPhone et une excellente et très complète version homebrew (donc gratuite) pour Nintendo DS.
Le SHOOTING WATCH est un petit appareil ayant principalement pour vocation de vous permettre de vous entraîner à faire mieux que le légendaire Takahashi Meijin, à savoir appuyer 16 fois sur un bouton par seconde (ou 160 fois en 10 secondes) avec un doigt (tout accessoire étant prohibé: stylo, chaussette, etc. ). Le challenge est élevé mais pas impossible (sauf peut-être pour moi qui ai fait un score de 85 la première fois et qui réalise à quel point je suis mauvais). Mais le pire, c’est que l’usage de ce petit appareil est réellement addictif… mais déconseillé pour les phalanges fragiles.
SHOOTING: c’est le mode le plus intéressant dans lequel vous allez devoir appuyer pendant 10 secondes le plus de fois (et le plus vite) possible sur le bouton A ou B (au choix) pour faire aussi bien, voire mieux que Takahashi Meijin. Pour information, votre meilleur score est sauvegardé dans le Shooting Watch et s’affiche automatiquement quand vous sélectionnez le mode SHOOTING.
TIME: c’est une simple horloge qu’il vous faut régler en appuyant simultanément sur les boutons SELECT et START. Ensuite, passez des secondes aux minutes (puis aux heures) en appuyant sur le bouton B et faites défiler les nombres en appuyant sur le bouton A. Pour information, quand vous êtes sur le nombre des secondes, en appuyant sur le bouton A vous les réinitialisez à zéro. Quand le réglage de l’heure vous convient, appuyez sur le bouton START.
STOP: c’est un simple chronomètre que vous déclenchez et/ou mettez en pause en appuyant sur A, le bouton B servant à remettre le chronomètre à zéro.
?: les 2 points d’interrogation présents sous l’écran sont des “extra modes” qui ne seront accessibles/débloqués qu’en faisant un high score et/ou une manipulation particulière.
Ci dessus une petite démonstration vidéo du SHOOTING WATCH
par l’équipe des éditions Pix’n Love
Mode secret n°1: il vous faut choisir le mode SHOOTING et faire un score de 62 (pas plus, pas moins). Cela débloquera un générateur aléatoire de nombre faisant défiler de manière continue 3 séries de chiffres que vous stopperez individuellement en appuyant sur le bouton A. Je viens d’apprendre que ce serait utile pour un jeu de plateau japonais appelé Saikoro, je ferai donc quelques recherches et mettrai cet article à jour ultérieurement.
Mode secret n°2: pour débloquer ce mode, il va falloir vous entraîner et vous armer de patience, puisque dans le mode SHOOTING vous devrez faire un score minimal de 161, donc supérieur au score de Takahashi Meijin qui est de 160 (soit 16 shots/sec qui lui valut son surnom). La récompense sera de débloquer un autre un générateur aléatoire de nombre mais avec 4 séries de chiffres.
Voila, je crois que savez l’essentiel sur le SHOOTING WATCH, et je ne saurai que trop vous conseiller d’investir dans ce petit appareil et dans l’ouvrage “Takahashi Meijin: autobiographie d’une idole du jeu vidéo au Japon“.
J’ai découvert l’année dernière l’existence d’un type bourré de talent prénommé Jérémie Périn. Il avait réalisé un clip 100% pixel art pour le morceau “Truckers Delight” issu de l’album “Sweet Symphony” de Flairs, clip ne pouvant laisser insensible tout “rétrogameur” qui se respecte. La réalisation est excellente (rappelant le meilleur de la Mega Drive), le morceau est bon… mais le scénario ne plaira pas à tout le monde tant le clip est du concentré de port’nawak bien vulgaire et décérébré. Bref j’ai adoré, mais pour rappel (voire avertissement) la vidéo n’est pas destinée aux petits n’enfants. Mais revenons au titre de cet article qui évoquait un “videogame”.
Eh oui, depuis le 18 mai, “Truckers Delight” n’est plus seulement un titre de Flairs, ni un clip réalisé par Jérémie Périn… mais un jeu vidéo! si la course poursuite effrénée de ce routier amoureux, pervers et scatophile vous a plu, vous pourrez prolonger l’aventure grâce à “Truckers Delight: Episode 1” disponible sur l’app store pour 2,39 euros (ou 2,99 dollars) grâce à Mobygame. Quelque chose me dit que de nouveaux épisodes feront leur apparition prochainement.
Le principe du jeu est simple pour qui connait Out Run ou Chase H.Q. puisque c’est exactement le même gameplay. Vous devez foncer avec votre camion sur une autoroute pour rattraper une jolie blonde (et son caniche) dans leur voiture décapotable et ne pas hésiter à leur rentrer dedans (euh, la voiture?) tout en évitant les obstacles (autres véhicules en sens inverse, policiers, etc. ) et en récupérant des bonus (turbo, invincibilité) bien débiles et fidèles au clip d’origine.
C’est fun, c’est super beau (tout en pixel art), et super fluide. Le jeu est parfaitement dans la continuité du clip tant au niveau de la réalisation technique que de l’esprit. Je vous encourage tout comme moi à foncer acheter cette petite perle vidéoludique en cliquant sur l’image juste en-dessous. Pour info j’ai un iPod Touch depuis 2 ans et c’est le 1er jeu que j’achète sur l’app store, c’est dire mon enthousiasme pour “Truckers Delight: Episode 1“.
En bonus, une petite vidéo du jeu…
J’ai découvert par un pur hasard l’existence de Pierre Billon (croisement improbable entre Chuck Norris & C. Jérôme), un chanteur français également auteur/compositeur à prendre au 1000ème degré, complètement décalé et franchement involontairement savoureux. Après la vision de ce clip, foncez découvrir l’auto-dérision de Pierre Billon qui explique (et décortique) avec humour et franchise les paroles surréalistes de la chanson “La Bamba Triste” sur un site qui lui est carrément dédié. C’est en vidéo, et en bonus vous aurez droit à une version acoustique de la chanson.
Aujourd’hui j’ai reçu une enveloppe que je n’attendais pas vraiment, contrairement au Mad Movies du mois d’Avril qui se fait désirer, à l’ouvrage Des pixels à Hollywood ainsi qu’à une commande d’une douzaine de jeux Mega CD jap (Sol Feace, Star Wars: Rebel Assault, 3×3 Eyes, Road Blaster Fx, Dennin Aleste, Keio Yugekitai, Thundrstorm Fx, Rise of the Dragon, Yumemi yakata no monogatari, Burai, Cosmic Fantasy Stories, Prince of Persia) et quelques vieux Point’n Clicks LucasArts dans leur boîte d’époque.
Pour rappel je vous avais proposé via ce billet un petit quiz viral initié par le site tronlegacy.fr. Et bien cette mystérieuse enveloppe renferme la récompense aux 56 bonnes réponses que j’ai trouvé en jouant au quiz pour fan de jeux vidéo et autres calembours anglophones: un “vrai” badge d’employé de la société ENCOM avec ma photo ainsi que mes nom et prénom.
Un goodies vraiment surprenant pour la qualité de sa finition et surtout sa personnalisation, Disney a vraiment mis les moyens financiers pour optimiser le succès de Tron: Legacy (Tron: L’héritage). Je ne peux que vous encourager de participer au quiz pour remporter cet accessoire totalement inutile (donc indispensable).
Pour la peine, voici un petit avant-goût d’un des films que j’attends le plus en 2010, le 1er film m’ayant fait rêver pendant des années (ma mère ne voulait pas que je le vois à sa sortie par peur de m’abîmer les yeux avec toutes ces lumières “laser” colorées… mais je ne lui en veux pas. Bisous M’man ), me faisant attendre au moins 10 ans avant de le voir. Du coup profitez de cette bande annonce…
Je prenais mon chien Dexter en photo pour quelques futurs montages sur Photoshop, et parmi la trentaine de clichés finaux j’ai réalisé en avoir pris quelques-uns très “kikoolol” (et je me demande si je ne vais pas repeindre mon blog en rose bonbon).
Tout est bon pour gagner quelques internautes de plus, non? c’est que mon chien a un vrai capital sympathie et est tellement photogénique. Non mais regardez-moi ces 2 yeux et cette grosse truffe…
Allez hop, 50 nouveaux visiteurs de plus…
L’émission télé réalité la plus improbable pour le cinéphile averti est diffusée en ce moment sur la chaîne W9. Imaginez le plus célèbre américain (expert en aïkido/acteur/bouddhiste/musicien/réalisateur/réincarnation du lama tibétain Chungdrag Dorje) habituellement cantonné aux rôles de justiciers dans des films, téléfilms ou DVD “direct to video”, mais cette fois dans la peau d’un véritable flic, suivi par des caméras 24h/24h. Vous le rêviez, Steven l’a fait et ça s’appelle Steven Seagal: Au service de la loi.
En effet, Steven Seagal qui depuis une vingtaine d’années est Shérif-Adjoint réserviste du conté de Jefferson Parish est le “héros” de ce documentaire/reality show, va vous entraîner dans une dimension parallèle où il apprend à de vrais policiers comment tirer avec une arme à feu, prend en chasse des chauffards ou stoppe des délinquants en les électrocutant au taser (quand ils ne sont pas 8 policiers sur un même gars). Je vous interdis de manquer ce show hypnotique bien qu’inimaginable en cliquant sur ce lien (ou sur les images) pour accéder aux 2 premiers épisodes de cette 1ère saison. Enjouaillez les amis. C’est du pur bonheur de 100ème degré.
Note de l’auteur 1/2 de ce super méga blog qui mériterait à être plus connu : ce billet est le premier des 2 derniers (préparés depuis quelques temps) que je posterai ce soir (avant un bon moment) car je suis actuellement en plein déménagement bordélique pas facile facile à gérer. Mais don’t worry, je reviendrai rapidement et suivrai de loin vos news, tweets et autres blogs. A bientôt amis gloutons barjots.
La diffusion de la saison 6 aux States bat son plein, et je m’empresse de découvrir pour mon plus grand plaisir chaque nouvel épisode toutes les semaines. Les 5 saisons de la série en blu-ray ingurgitées en 1 mois et demi ne suffisant pas pour contenter ma boulimie de Lost, j’ai trouvé quelquechose de sympa pour y remédier.
J’ai reçu une affiche promotionelle du coffret DVD US de la saison 2 dédicacé par 13 acteurs principaux de la série culte (voir leurs noms sur la photo du dessous). De l’or en barre et du pur bonheur, qui finira également encadré et sous verre pour poser fièrement sur un mur de mon bureau (ça m’en fait des trucs à encadrer).
Réception aujourd’hui d’un colis cylindrique au contenu assez exceptionnel pour le “rétrogameur”, le cinéphile, et le collectionneur qui sommeillent en moi: 2 posters issus de la collection personnelle de Don Bluth, imprimés en 1983, représentant les jeux Dragon’s Lair et Space Ace, et cerise sur le gâteau, dédicacés par les inséparables Don Bluth et Gary Goldman… je crois qu’il faut que je change de slip.
Première grande surprise, le constat de la taille des affiches vraiment grandes (que je n’ai pas pris le temps de mesurer) mais qui doivent bien faire dans les 60cm x 100cm. Le travail de Ron Dias qui a peint ces deux posters n’en est que meilleur pour constater son indéniable talent (ayant oeuvré entre autre sur La Belle au Bois Dormant, Brisby et Le Secret de NIMH, La Petite Sirène… ). Je n’ai plus qu’à les faire encadrer, pour protéger ces pièces rares et surtout leur rendre honneur en les mettant en valeur.
Pour ceux du fond qui n’écoutaient pas , Gary Goldman a produit la quasi totalité des films d’animation dessinés/réalisés par Don Bluth, à savoir parmi les plus connus: Banjo, Brisby et le Secret de NIMH, fievel et le Nouveau Monde, Le Petit Dinosaure et la Vallée des Merveilles, Charlie, Rock-O-Rico, Poucelina, Anastasia, Titan A.E… Mais avant de passer à la réalisation, Don Bluth travailla comme animateur chez Disney sur de grands films et fut un pionnier en 1983 en créant les 2 premiers jeux vidéo/dessins animés interactifs sur borne d’arcade utilisant le Laserdisc comme support de stockage (Dragon’s Lair et Space Ace).
Deux jeux vraiment extraordinaires pour l’époque, qui connurent plus tard avec l’arrivée des ordinateurs personnels genre Amstrad CPC, Atari 520 et/ou Amiga de nombreuses adaptations ne lui rendant pas vraiment honneur, en passant par la NES, la Super Nintendo, la Game Boy puis les machines exploitant le support CDrom. A ma connaissance la toute dernière adaptation est disponible sur iPhone/iPod Touch. Mais je conclurai en beauté pour les nostalgiques de ma génération, en évoquant cette vieille émission que je suivais passionnément avec mon père: je fais allusion à “Temps X” présenté par les frères Bogdanov (quand ils étaient encore humains) que j’ai revu dernièrement et dont je vous ai fait quelques captures d’écran (ci dessous) car dans l’une des premières émissions, ils chroniquaient les premiers jeux électroniques portables, ainsi via un long reportage la création des bornes d’arcade à San Francisco et un making of de Dragon’s Lair et Space Ace. Etonnant non?
Bref, tout ça pour vous dire que je suis inconditionnellement fan de Dragon’s Lair et Space Ace (même si mon préféré reste Dragon’s Lair II: Time Warp), de Don Bluth et de son oeuvre, et qu’ils resteront indéfiniment chers à mon coeur de Gamer et de cinéphile.
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