Bandes annonces bandantes

By neocalimero, 29 juillet 2010 18:35

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Régulièrement je vais faire un tour sur iTunes Movie Trailers histoire de voir en très bonne qualité (voire HD) les bandes annonces des prochains films prévus dans les salles obscures américaines. C’est également un bon moyen de se faire une idée de ce qui sortira en France beaucoup plus tard en salles et/ou directement en DVD (voire pas du tout). Et là force est de constater qu’un bon paquet de films super alléchants est sur le point de débarquer. Cliquez sur les posters ci-dessous pour accéder aux différents trailers. Grin

Bien sûr j’ai volontairement oublié quelques films intéressants tels que Buried ou Legend of the guardians mais ce choix délibéré est fait pour mettre en avant les titres (à mon goût) les plus bandants de la fin de l’année et du début de l’année prochaine. Par contre j’ai définitivement peur de me faire séquestrer, attacher à une chaise, paupières ouvertes aux forceps pour regarder Resident Evil: afterlife, Paranormal Activity 2, ou encore The Green Hornet… Bon OK, celui-là je veux bien le voir parce que c’est Michel Gondry qui réalise (j’adore sa filmographie) et que ça peut être surprenant… mais j’ai quand même peur car ça ressemble à un mauvais “Starsky & Hutch” reboot, surtout quand je me rappelle l’incroyable court métrage d’Aurélien Poitrimoult que je chroniquais sur mon vieux blog en 2006. Wink

Le Shooting Watch de Takahashi Meijin

By neocalimero, 28 juillet 2010 19:24

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Je viens de recevoir un accessoire vraiment culte pour tout gamer qui se respecte, à savoir un SHOOTING WATCH, objet intimement lié au personnage Takahashi Meijin/16 shot (auquel les éditions Pix’n Love ont récemment dédié un ouvrage biographique). Ce Takahashi Meijin (dont voici son blog) fut  au Japon dans les années 80 l’ambassadeur d’une série de jeux édités par Hudson Soft sortis sur la console Famicom de Nintendo. Rapidement il se fit remarquer aduler par les joueurs pour son exceptionnelle capacité à appuyer en moyenne 16 fois par seconde sur le bouton de la manette de la console, générant d’incroyables high scores à une époque où l’auto-fire n’était pas vraiment d’actualité. Dans le but de proposer à tous les fans de la célébrité de faire mieux que lui (et aléatoirement de faire du business), Hudson Soft créa le SHOOTING WATCH. L’engouement des joueurs pour ce génial bidule engendra d’autres déclinaisons dont une application payante pour iPhone et une excellente et très complète version homebrew (donc gratuite) pour Nintendo DS.

Le SHOOTING WATCH est un petit appareil ayant principalement pour vocation de vous permettre de vous entraîner à faire mieux que le légendaire Takahashi Meijin, à savoir appuyer 16 fois sur un bouton par seconde (ou 160 fois en 10 secondes) avec un doigt (tout accessoire étant prohibé: stylo, chaussette, etc. ). Le challenge est élevé mais pas impossible (sauf peut-être pour moi qui ai fait un score de 85 la première fois et qui réalise à quel point je suis mauvais). Mais le pire, c’est que l’usage de ce petit appareil est réellement addictif… mais déconseillé pour les phalanges fragiles. Wink

Fonction des boutons:

  1. SELECT: permet de naviguer entre les différents modes (SHOOTING, TIME, STOP, etc. )
  2. START: permet de valider/rentrer dans un des modes sélectionnables
  3. A et B: boutons qui ont la même fonction, à savoir appuyer le plus vite possible dessus pour réaliser un high score

Les différents modes:

SHOOTING: c’est le mode le plus intéressant dans lequel vous allez devoir appuyer pendant 10 secondes le plus de fois (et le plus vite) possible sur le bouton A ou B (au choix) pour faire aussi bien, voire mieux que Takahashi Meijin. Pour information, votre meilleur score est sauvegardé dans le Shooting Watch et s’affiche automatiquement quand vous sélectionnez le mode SHOOTING.

TIME: c’est une simple horloge qu’il vous faut régler en appuyant simultanément sur les boutons SELECT et START. Ensuite, passez des secondes aux minutes (puis aux heures) en appuyant sur le bouton B et faites défiler les nombres en appuyant sur le bouton A. Pour information, quand vous êtes sur le nombre des secondes, en appuyant sur le bouton A vous les réinitialisez à zéro. Quand le réglage de l’heure vous convient, appuyez sur le bouton START.

STOP: c’est un simple chronomètre que vous déclenchez et/ou mettez en pause en appuyant sur A, le bouton B servant à remettre le chronomètre à zéro.

?: les 2 points d’interrogation présents sous l’écran sont des “extra modes” qui ne seront accessibles/débloqués qu’en faisant un high score et/ou une manipulation particulière.


Ci dessus une petite démonstration vidéo du SHOOTING WATCH

par l’équipe des éditions Pix’n Love

Comment débloquer les 2 modes secrets:

Mode secret n°1: il vous faut choisir le mode SHOOTING et faire un score de 62 (pas plus, pas moins). Cela débloquera un générateur aléatoire de nombre faisant défiler de manière continue 3 séries de chiffres que vous stopperez individuellement en appuyant sur le bouton A. Je viens d’apprendre que ce serait utile pour un jeu de plateau japonais appelé Saikoro, je ferai donc quelques recherches et mettrai cet article à jour ultérieurement.

Mode secret n°2: pour débloquer ce mode, il va falloir vous entraîner et vous armer de patience, puisque dans le mode SHOOTING vous devrez faire un score minimal de 161, donc supérieur au score de Takahashi Meijin qui est de 160 (soit 16 shots/sec qui lui valut son surnom). La récompense sera de débloquer un autre un générateur aléatoire de nombre mais avec 4 séries de chiffres.

Voila, je crois que savez l’essentiel sur le SHOOTING WATCH, et je ne saurai que trop vous conseiller d’investir dans ce petit appareil et dans l’ouvrage “Takahashi Meijin: autobiographie d’une idole du jeu vidéo au Japon“. Grin

Neocalimero is back!

By neocalimero, 19 juillet 2010 12:18

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Non je ne suis pas mort. C’est juste que j’ai enchaîné mes vacances avec la reprise du boulot qui ne m’a pas vraiment laissé de temps libre… et en plus, j’ai encore du mal à m’acclimater à la reprise des horaires de ma profession (ce qui ne m’empêche pas d’être ponctuel). Y’a pas à dire, les vacances c’est juste obligatoire, surtout pour décompresser. Bref depuis mon départ en vacances, le mot d’ordre fut juste: farniente.

Entre deux séances de piscine et bronzette, j’ai pu me rendre 2 fois au ciné, jouer sur consoles portables, continuer le visionnage de la saison 2 de The Big Bang Theory et regarder en famille quelques blurays sur mon notebook. En fait, juste quelques habitudes d’un geek loin de son home sweet home technologique mais malgré tout heureux de se prélasser en famille. Bien entendu ça ne m’a pas empêché de trouver près de mon lieu de repos le CD de la bande originale de Metal Gear Peace Walker ainsi qu’un gros badge à l’effigie de cet incroyable jeu.

Mais de retour à la maison (et le sevrage terminé), découverte (entre autre) dans la boîte aux lettres du Mad Movies d’été, du dernier Pix’n Love et de quelques avis de passage du facteur. Après une petite visite au bureau de poste de ma commune, j’ai pu récupérer un colis renfermant des romans (Kodansha novels) reprenant les licences Tengai Makyô Ziria, Zero & Apocalypse IV (de quoi exercer mon japonais pour… hum très longtemps).

Mais la pièce maîtresse de ce colis est sans équivoque la boîte à outils offerte à l’époque de la sortie du Pachi Slot Tengai Makyô Manji Maru. A quand les préservatifs Far East of Eden? du coup, à force d’écumer le Net, et surtout les sites d’enchères japonais, il ne me reste plus beaucoup d’articles à récupérer pour “clôturer” ma petite collection sur la série… enfin, une collection n’est jamais vraiment terminée. Wink

A mon retour de vacances j’ai également remporté l’enchère pour une illustration de Tales of Monkey Island dédicacée par Steve Purcell, je ne vous cache pas mon impatience de la recevoir d’autant plus que je vais aujourd’hui prendre les derniers renseignements pour encadrer mes HuCards not for sale et quelques autres posters/affiches dédicacées (Tim Schafer, Don Bluth, etc. ). Grin

Ci-dessus, la dédicace tant attendue Nerd

Vacances, j’oublie tout…

By neocalimero, 1 juillet 2010 20:02

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Je ne vais pas vous mentir, je suis parti en vacances au soleil plus vite que mon ombre, délaissant mes amis du web dans un départ plus que précipité. C’est que la veille du jour J, rien n’était complêtement prêt pour ce qui est des préparatifs, m’obligeant à me coucher tard et prendre la voiture très tôt pour de folles heures de route.

Ma plus grosse des satisfactions est de profiter d’un temps caniculaire depuis mon arrivée dans le sud de la France, car c’était ma plus grosse hantise: passer 2 semaines de vacances avec un temps qui fait penser à tout sauf des vacances. Mais même une veille de départ, le geek que je suis ne change pas ses habitudes, la preuve en images ci-dessous… Wink

Quelques colis de dernière minute (j’avais peur de ne pas les recevoir avant de partir en vacances) et achats en boutique incluant la “Black Phantom edition” de l’excellent (et ardû)  Demon”s Souls sur PlayStation 3, ainsi qu’un colis du Japon renfermant tout plein de guides de jeux de la licence Tengai Makyô et autres joyeusetés. Bref, de quoi m’occuper dès mon retour à la maison et retrouver mes consoles de salon troquées pour 2 semaines contre mes Nintendo DS & Sony PSP go qui tournent à plein régime.

Voilà, je ne sais si j’arriverai à poster quelques autres billets sur mon blog pendant ma virée dans le sud de la France (car la connexion internet que j’utilise est capricieuse), mais je tenais à vous souhaiter de bonnes vacances si vous partez également. Bon jeu et reposez vous bien. A bientôt Grin

Bientôt le départ…

By neocalimero, 23 juin 2010 21:03

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Cette semaine les colis fusent alors que je suis à 2 jours de partir en vacances, et que j’attends encore (et désespérément) un gros (très gros) colis en provenance du Japon rempli de joyeusetés issues de la licence Tengai Makyô. En attendant je viens de recevoir l’édition collector d’Alan Wake (il faut que je revende l’édition simple), Metal Gear Solid: Peace Walker (j’espérais une version dématérialisée avant de partir en vacances pour y jouer sur ma PSPgo… mais non) et son “Accessory Set”, ainsi que Tengai Makyô/Far East of Eden Shinden (Kabuki Klash) sur Neo Geo AES.

A 2 jours du départ le temps me manque et tout est chronométré, mais je n’oublie pas de me préparer un set de jeux sur DS et PSPgo hésitant encore à emmener ma PSP fat à cause de Metal Gear Solid: Peace Walker fraîchement acheté et que je n’ai qu’en UMD. Il est impératif de vérifier que j’embarque bien avec moi les alimentations électriques de chaque appareil (console, ordinateur portable, appareil photo, etc. ) pour ne pas me retrouver en plan au bout de 3 jours. Je trouverai bien le temps de vous faire un dernier billet avec mes préparatifs. Wink

Collection Tengai Makyô: +2

By neocalimero, 15 juin 2010 13:24

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En créant ce billet, je me suis posé une question de la plus haute importance: choisir entre les bannières “Gaming” et “Rétrogaming”. Je sais ce n’est pas super intéressant, mais je suis tombé face à un paradoxe, à savoir de vieux jeux adaptés (voire “remakés” pour l’un des deux) pour tourner sur Nintendo DS et Xbox 360. J’ai finalement pris la décision qui me paraissait la plus pertinente.

Avant de revenir du Japon, eegbor a pris le temps de m’acheter dans une boutique TRADER les jeux “Tengai Makyô Ziria Haruka naru Jipang” sur Xbox 360 (remake 3D de la version PC Engine) et “Tengai Makyô II Manji Maru” sur Nintendo DS (portage de la version PC Engine). Deux jeux nippons pas évidents à trouver en occident du fait de leur non commercialisation en dehors du Japon et d’être des RPG entièrement en kanjis et kanas. Et dieu sait qu’à l’annonce de ce jeu Xbox 360 (zoné de surcroît), j’ai espéré que la licence soit enfin exportée et traduite aux États Unis et en Europe. L’espoir fait vivre… Wink

John Rambo

By neocalimero, 14 juin 2010 18:35

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Suite au magnifique et inattendu “Rocky Balboa”, les premières news sur le projet de réalisation de ce 4ème épisode me firent sauter de joie jusqu’à ce que le premier trailer tombe sur la toile, enchaînant des scènes d’action plus gore les unes que les autres dans des plans nerveux mais dignes d’un téléfilm Z friqué. Mais étant un réel fan du premier “Rambo: First Blood” (et pas des 2 actionners inutiles qui l’ont suivi), j’ai réussi à me convaincre que ces vidéos ne pouvaient refléter le montage final du film, et aller voir John Rambo reprendre son éternelle arme blanche dans le cinoche le plus proche de chez moi. Je ne vous ferai pas languir plus longtemps…

Le film débute de suite avec de véritables images d’archives du génocide birman, des vidéos horribles qui annoncent immédiatement la couleur, et elle sera rouge sang. Dans la salle où je suis, un père de famille tente de faire sortir ses jeunes enfants en leur cachant les yeux, réalisant l’énorme bêtise qu’il a eu en voulant se faire plaisir. Retour au film: des militaires birmans font descendre d’un camion des prisonniers pour parier sur leur vie en les faisant courir dans un champ de mine. Bien évidemment, de cette loterie macabre il n’y aura aucun survivant, et le spectateur prisonnier depuis le début du film du malaise occasionné par cette accumulation de scènes barbares ne trouvera de répit qu’à l’arrivée du générique et du magnifique thème musical à la guitare de Rambo. Cette accalmie est salvatrice et nous fait découvrir ce qu’est devenu John Rambo, autrefois machine de guerre devenue par la force d’un choses un personnage blasé, vêtu de haillons, tentant de renier ce pour quoi il a été entraîné et terré en Thaïlande en vivant de la vente de serpents venimeux.

Sylvester Stallone ne cesse de nous surprendre, tant comme acteur que comme réalisateur. Le film est inondé de scènes insoutenables (l’attaque du village du début du film essouffle le spectateur par son réalisme et sa cruauté), mais filmées de main de maître car incroyablement lisibles sans jamais prendre le parti facile de la caméra sur l’épaule (genre reportage de guerre). Mais ce qui surprend le plus, et demeure du jamais vu c’est la mise en image assumée d’exécution en gros plans de femmes et d’enfants, beaucoup plus choquante que les innombrables mutilations et explosions de corps en tout genre parsemant le film. Véritable plaidoyer contre la guerre, Stallone (le réalisateur) est sans concession cherchant à créer le malaise, la répulsion voire le dégoût.

Et à travers son personnage principal, Stallone réussit à développer une psychologie toute en profondeur, magnifiquement jouée car toute en nuance. Rambo parle rarement, mais quand il ouvre la bouche il fait mouche, rappelant aux missionnaires qu’ils feraient mieux de rentrer chez eux, car ils ne pourront jamais changer la guerre, c’est immuable. Stallone nous prouve une fois encore quel incroyable acteur il peut être, aux antipodes de nombreux nanars qu’il a tourné dans les années 90 (exception faite de “Copland” ), assumant complètement son personnage qui avoue n’avoir jamais tué pour son pays, mais d’avoir tué pour assouvir ses pulsions. Les silences de John Rambo valent toutes les répliques du monde tant le regard de Stallone et les expressions de son visage en disent long avec justesse et retenue.

Les scènes homériques s’enchaîneront tout le long du film, emportées par la musique du “jeune” Brian Tyler possédé, envouté par les scores originaux de Jerry Goldsmith dont il lui rendra magnifiquement hommage sans cependant jamais dépasser le maître. Tantôt pleine d’émotion, tantôt martiale au possible, Brian Tyler a su composer une putain de musique en parfaite adéquation avec le film qu l’a inspiré, car il n’y a pas erreur sur la marchandise, John Rambo est un putain de film de guerre comme on en a rarement vu. Un pur marathon de violence, vous jetant en pleine face la réalité de la guerre tout en vous posant la question : l’homme peut-il changer et changer les choses? la réponse est dans les derniers plans du film.

Un film à voir sur grand écran, un film indispensable dans votre vidéothèque qui démontre que Sylvester Stallone est un réalisateur/acteur sur lequel il va falloir compter ces prochaines années car sa reconversion est parfaitement réussie. A noter si vous ne l’auriez pas compris à travers ce billet que ce film aurait mérité selon moi une interdiction -16 ans, donc épargnez à votre petit frère de 12 ans féru de films d’action 1h30 d’exécutions, viols et autres exactions parfois pédophiles, vous lui rendrez service.

Cette critique a déjà été publiée le 10 février 2008 sur mon ancien blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Wink

Encore du Point’n Click

By neocalimero, 14 juin 2010 16:32

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Même si d’ordinaire je ne recherche que les 1ères éditions françaises de vieux Point’n Click Lucasfilm Games/LucasArts, je suis tombé sur cette compilation éditée en 1994 par Ubi Soft affichant fièrement une compatibilité EGA/VGA, IBM PC 386, Windows 3.X (donc MSDOS) et carte son Adlib (ça ne me rajeunit pas). Des caractéristiques incompréhensibles pour les jeunes têtes blondes nées après 2000. Wink

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Ayant pas mal de difficultés (mais je ne désespère pas, je sais être patient) à trouver une 1ère édition française de l’excellent “Maniac Mansion”, je n’ai pas hésité une seconde pour acheter cette compilation l’intégrant ainsi que “The Secret of Monkey Island” sur support CD-rom. Cette édition budget se distingue nettement des ré-éditions (compilation ou non) “LucasArts Classique” que l’on arrive à trouver assez facilement en boîte carton ou boîtier DVD. Sa distribution française a dû être assez confidentielle car je ne la connaissais pas.

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“Maniac Mansion” est un titre qui a révolutionné le jeu vidéo à sa sortie en 1987, d’une part grâce à la création de son moteur nommé SCUMM (Script Creation Utility for Maniac Mansion) et toutes les innovations qui en ont découlé: fins, déroulement du jeu et obtention des indices différents selon le choix des personnages jouables, interface intuitive à la souris (et non plus textuelle) pour choisir des actions (donner, ouvrir, fermer, etc. ), créant et optimisant d’entrée le genre Point’n Click. Tout cela inclus dans une histoire de film d’horreur à l’humour complètement déjanté, vous obtenez l’un des meilleurs titres de l’histoire du jeu vidéo. Juste indispensable. Wink


Lithographie Metal Gear Solid numérotée & signée

By neocalimero, 14 juin 2010 15:23

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Grosse (et très bonne) surprise aujourd’hui en découvrant dans ma boîte aux lettres un avis de passage du facteur qui ne pouvait laisser ce colis devant ma porte. Et quel colis! une magnifique lithographie du premier Metal Gear Solid numérotée et signée par Yoji Shinkawa et Hideo Kojima. La FNAC avait organisée une exposition en partenariat avec Arludik, retraçant la genèse de la série des Metal Gear Solid au travers des œuvres réalisées pour chacun des opus.

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Cette initiative coïncidant avec la sortie prochaine de “Metal Gear Solid : Peace Walker” prévue pour le 17 juin, proposait à la vente 4 lithographies différentes représentant les 4 premiers épisodes de la série, chacune limitée à 99 exemplaires et signées par Yoji Shinkawa (character designer de la série) et Hideo Kojima (créateur de la série). Inutile de vous préciser que ces lithographies se sont vendues en 24 heures, qu’elles sont donc épuisées et forcément “collector”.

litho metal gear solid 02

Mais au de-là de la rareté de cette pièce, le plus important c’est le magnifique artwork choisi pour cette lithographie tout de suite identifiable et réellement emblématique quand on est fan de la série. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai choisi cet exemplaire sur les 4 proposés, vénérant le style inimitable de Yoji Shinkawa et les idées avant-gardistes de Hideo Kojima. Le geek qui sommeillait en moi s’est réveillé! Grin

Indiana Jones and the Last Crusade: The Graphic Adventure

By neocalimero, 7 juin 2010 15:09

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Arrivage chez moi d’un petit colis renfermant une superbe pièce s’ajoutant à ma collection de Point’n Clicks LucasArts. Je viens de recevoir la version française Atari ST du génial Indy/Indiana Jones and the Last Crusade: The Graphic Adventure, complet et en superbe état (le vendeur y a même ajouté les sauvegardes du jeu sur disquettes). Ce jeu commercialisé en 1989 sur de nombreuses autres machines est une des adaptations du film éponyme sorti la même année. Il ne faut pas le confondre avec Indiana Jones and the Last Crusade: The Action Game, jeu de plateforme 2D vu de côté qui reprenait également les scènes clé du long métrage.

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Depuis longtemps, les adaptations de licences de films en jeu vidéo sont rarement de bon jeux, la faute principalement à des délais de développement très courts et à un budget majoritairement englouti dans l’achat de la licence. Mais ce Indy/Indiana Jones and the Last Crusade: The Graphic Adventure déroge à la règle, mélange parfaitement équilibré d’humour et de résolution d’énigmes idéalement fidèles au scénario du long métrage. Vous me direz, le film et le jeu ont Georges Lucas pour dénominateur commun, mais il suffit de constater le massacre des jeux inspirés de la licence Matrix pour réaliser que ce n’est pas une science exacte.

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En ouvrant la boîte, quelle ne fut ma surprise de découvrir (en plus des habituels codes anti-piratage et notice d’utilisation) un livret de 48 pages entièrement en français imitant les pages du carnet du Docteur Henry Jones (voir la photo du dessous). Un livret fait de coupures de journaux, notes personnelles et croquis reprenant à l’identique ceux évoqués durant le film. Une excellente initiative (surprenante pour l’époque) de la part de l’éditeur du jeu, rendant l’aventure beaucoup plus immersive et aidant le joueur à résoudre les énigmes à l’image d’Indiana Jones dans le film.

Indy the graphic adventure 03

Je conclurai en vous proposant une vidéo de Indy/Indiana Jones and the Last Crusade: The Graphic Adventure issue de la version FM Towns, un PC japonais conçu par Fujitsu en 1989 équipé d’un des premiers lecteurs CD-rom (qui fut également décliné en version console).


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