Pour ce samedi 4 décembre, c’est à nouveau Plankton (déguisé en Napoléon) qui finira dans mon estomac. Bonne journée car en plus du petit chocolat, j’ai reçu tout plein de jeux SEGA AGES 2500 pour débuter ma collection. Un colis très attendu que je partagerai avec vous très très bientôt dans un petit billet (comme ça ça m’évitera de sortir avec ce froid de canard).
Hop, un petit Gary pour le 3 décembre, vous savez l’escargot/animal de compagnie de Bob l’éponge. Je suis en train de me demander s’il me sera possible de réutiliser les petits moules inclus dans le calendrier pour me refaire des chocolats “Bob l’éponge”.
Après avoir craqué dernièrement pour Pac-Man Championship Edition DX, je reste dans mon trip rétrogaming HD (pléonasme)… euh remastérisé je voulais dire, puisque le Xbox Live fait des soldes et qu’Earthworm Jim HD est disponible pour 400 malheureux points. L’avantage de cette version c’est bien évidemment les graphismes revus pour un écran HD (ceux d’origine étant optimisés seulement pour un écran cathodique), sinon ça aurait été une bouillie de pixels baveux, mais également 3 nouveaux niveaux exclusifs (dont l’impensable keyboard cat) ainsi qu’un mode multijoueurs.
Tout l’intérêt d’Earthworm Jim à sa sortie en 1994 sur Mega Drive et Super nintendo était de proposer une histoire et un univers barrés, mâtinés d’un humour (souvent visuel) omniprésent dû aux graphismes et à l’animation des sprites très cartoon. Les développeurs de Shiny Entertainment avaient réussi comme avec le jeu Aladdin à reproduire d’incroyables animations pour tous les sprites du jeu, chose exceptionnelle pour l’époque sur consoles 16 bits. Et pour ceux qui ne connaîtraient pas Jim le verre de terre, dites-vous que c’est un lombric qui rentre par hasard dans une combinaison de combat le transformant en guerrier spatial de la muerte. Vous allez le contrôler dans un jeu de plateforme entrecoupé de boss débiles, de poursuites dans l’espace, de saut à l’élastique, de ballade en bathyscaphe dont les vitres se fissurent, de rodéo sur Hamster, de lancer de vache, etc.
J’avais adoré le jeu à l’époque sur Mega Drive malgré sa difficulté, et je le retrouve avec plaisir sur ma Xbox 360, prenant toujours autant de plaisir à affronter le plus terrible boss de l’histoire du jeu vidéo (un poisson rouge pour lequel il faut juste faire tomber le bocal dans lequel il est) et tous les autres personnages du jeu (tous aussi drôles les uns que les autres). Tous ces souvenirs m’ont également fait tomber sur le Net sur des photos d’une statue d’Earthworm Jim commercialisée l’été dernier (peinte ou non au choix). J’ai très peu d’informations à son sujet, mais j’ai réussi à contacter son talentueux créateur Christopher Stratos qui m’a précisé posséder le dernier exemplaire (qu’il conserve bien évidemment).
Si l’un d’entre vous à des infos sur cette statue (inspirée de la jaquette du 2ème épisode d’Earthworm Jim) ou sait où je peux me la procurer, je lui en serai éternellement reconnaissant. C’est qu’elle accompagnerait joliment mes statues de Sam & Max et Eddie Riggs de Brütal Legend. Je conclurai par un petit trailer d’Earthworm Jim HD que je vous conseille fortement, surtout pour 400 points Microsoft.
C’est Patrick l’étoile de mer qui finira dans mon estomac pour ce jeudi 2 décembre. Vu la quantité de neige qui est tombée cette nuit sur Royan et les alentours, c’est l’occasion pour moi de savourer ce chocolat… glacé.
Les traditions ont beau se plier aux lois du marketing, puisque le calendrier de l’avent est historiquement allemand et pas français, ma petite femme m’a quand même fait la surprise de me ramener un goodies Bob l’éponge pour me faire patienter jusqu’au 24 décembre. Je me vois donc dans l’obligation de vous faire partager (très égoïstement) en image tous les chocolats que je vais m’enfiler jusqu’à la veille de Noël. Je réalise l’inutilité de cette future série de billets (tout comme mon blog), et ça renforce encore plus ma motivation pour vous narrer le chemin vers une crise de foie annoncée.
Allez hop, c’est parti pour l’opération “1 chocolat : 1 jour”
Il y a quelques jours de cela, l’apparition de “Pac-Man Championship Edition DX” sur le portail de téléchargement XLA (Xbox Live Arcade) m’a intrigué. Pas forcément convaincu d’un énième remake de Pac-Man mais tout de même curieux, j’ai téléchargé la démo jouable qui ne proposait qu’un seul mode où il fallait faire le maximum de points en 5mn (et survivre). Eh bien ces seules 5 minutes chrono ont suffit à me convaincre de recommencer une deuxième fois la démo, puis une troisième, une quatrième… l’air de rien ça faisait presque une heure que je m’éclatais comme un petit fou, et je finis par me demander s’il ne valait pas mieux que j’achète le jeu complet pour 800 points Microsoft.
J’avais complètement ignoré la version C.E. (Champion Edition) sortie en 2007, mais il faut croire que les ré-aménagements graphiques et sonore de l’édition DX m’ont tapé dans l’oeil. Bref un vrai coup de cœur avec de nombreux modes de jeux incitant le joueur à faire du scoring grâce aux classements, des tas de skins disponibles pour choisir l’apparence du décors (des fantômes comme de Pac-Man), des niveaux bien pensés et parfois vicieux, des musiques vraiment entrainantes et tout un tas de challenges. Pour ces derniers, vous pouvez à chaque fois tenter de battre votre record ou les temps impartis (allant d’1mn au marathon de 10mn non stop et jusqu’à épuisement de vos crédits).
Le gameplay est juste parfait, avec des petites mises à jour comme ces bombes limitées en nombre expulsant tous les fantômes alentours, ou ce ralentissement de l’image (presque un freeze ou “bullet time” à la Matrix) d’une fraction de seconde quand notre Pac-Man est presque au contact d’un fantôme, laissant une chance de trouver une autre direction pour s’échapper. Mais malgré cela, il vous faudra faire preuve de dextérité car en vitesse 40 ça va déjà très très vite car plus vous progressez dans le jeu sans vous faire toucher plus ça accélère. Bref un excellent jeu et une très bonne surprise, d’ailleurs j’y retourne de suite car j’ai débloqué 10 succès sur 12.
Oh et puis encore une petite vidéo pour le plaisir, histoire que vous voyez la parfaite alchimie de la refonte graphique et sonore du jeu, et de ce gameplay vieux comme le monde (vidéoludique) mais parfaitement ciselé…
En bon gamer et collectionneur, j’avoue prendre un certain plaisir à confectionner une petite bibliothèque de guides officiels (en français si possible) de jeux qui ont marqué mon passé de joueur. Beaucoup plus jeune, ce genre de guides étaient rares et les aides se trouvaient plus dans les rares magazines de jeux vidéo qui au fil des années proposaient gratuitement leurs petits livrets (comme le magazine Joypad) joints au mensuel. En grandissant, avec un argent de poche plus important, puis jeune adulte et autonome financièrement j’ai commencé à acheter certains guides pour quelques jeux emblématiques (majoritairement des RPG).
Et aujourd’hui je continue petit à petit quand l’occasion se présente à acquérir des guides de vieux jeux m’ayant marqué, je trouve que ce sont des ouvrages qui condensent tout ce que l’on doit savoir sur le jeu (et pas seulement une solution) avec moult photos et artworks. Un bon moyen de garder une trace du jeu dans l’histoire des jeux vidéo, et c’est ce que j’ai fait en dénichant les guides officiels de Final Fantasy IX et Final Fantasy X, deux jeux indispensables de la franchise que j’avais acheté à leur sortie (voir mes exemplaires d’époque en photo qui ont bien vécu).
Et dire que bien que je possède Final Fantasy VII, VIII et IX en PAL sur PlayStation, il a fallu que je les rachète en dématérialisé sur le PlayStation Store. Je suis une catastrophe. Pour les nostalgiques de cette époque (un peu) lointaine (quand même), je vous ai pris en photo quelques exemplaires des guides de jeux (Final Fantasy X, Ico, Shenmue, The Wind Waker, etc. ) qui accompagnaient le magazine Joypad.
En avril 2010, le Club Nintendo japonais proposait aux joueurs de l’archipel (et membres Platinum du club) la reproduction exacte du Game & Watch “Ball”, qui n’est autre que le premier Game & Watch créé par Nintendo et commercialisé le 28 avril 1980. Un jeu emblématique ancêtre des consoles portables et bien sûr du Game Boy créés par le même génial Gunpei Yokoi. Pour cette reproduction commémorative, Nintendo a rajouté un interrupteur on/off pour le son du Game & Watch (absent sur le modèle original) et a bien évidemment “tatoué” le logo Club Nintendo au dos de l’appareil.
Avec la réception de ce colis, je viens de faire un bond de 30 ans en arrière (oui oui, j’étais né et j’avais 5 ans), me remémorant la période de Noël dans le rayon jouet d’hypermarchés exposant Game & Watch, Table Top et autres figurines Star Wars, Ulysse 31, X-OR, Albator, etc. Une belle madeleine de Proust que ce Game & Watch “Ball”, enfin, pour moi en tout cas, à vous de me dire si c’est réciproque.
Pour ceux qui l’ignoreraient ou l’auraient oublié, le but de ce petit jeu LCD est simple mais addictif: faire jongler un personnage sans manquer les balles. Un concept basique mais universel, compréhensible en 2 secondes, et à la difficulté croissante mettant à rude épreuve réflexes et dextérité. En fait tout ce que l’on recherche dans un jeu, même aujourd’hui quand les Xbox 360 et PlayStation 3 s’affrontent à coups de 3D et haute définition 1080p.
Le week end approche à grands pas, et une première séance d’installation de cadres dans ma salle de jeu est planifiée. Il ne reste plus qu’à choisir judicieusement les emplacements pour les cadres dédicacés (exception faite des HuCards puisqu’il manque encore les légendes) avant de percer les murs et commettre l’irréparable. Au programme de cette première session, du Don Bluth & Gary Goldman, du Tim Schafer, du Steve Purcell, du Hideo Kojima & Yoji Shinkawa.
Après l’arrivée à la maison du nouvel accessoire pour ma Xbox 360 (ravissant toute la famille) accompagné de Kinect Adventures (bof bof) et Your Shape: Fitness Evolved (vraiment bon mais j’en reparlerai prochainement), voici venir le “Rockband” du dancefloor: Dance Central. Il faut avouer que la reconnaissance de mouvements sur Kinect Adventures n’était pas mauvaise mais un peu approximative, alors que Your Shape: Fitness Evolved m’avait agréablement surpris dans sa réactivité et sa précision à reproduire mes gesticulations, et Dance Central suit la même direction, me voila rassuré.
Il faut dire qu’Harmonix (le développeur du jeu) est un studio sérieux et assez perfectionniste puisqu’il a à son actif les 2 premiers épisodes de Guitar Hero ainsi que les 3 Rockband. En lançant Dance Central une excellente cinématique d’introduction toute en animation m’a mis dans le bain et rappelé le style graphique de la géniale publicité pour Guitar Hero II et le somptueux opening de Rockband Beatles. Par la suite les menus assez ergonomiques font preuve de beaucoup de sobriété, menus classieux mais sobres (voire un peu vides) mais c’est totalement subjectif. Puis l’un des points les plus primordiaux selon moi pour les apprentis danseurs est la possibilité d’entièrement décomposer la chorégraphie de chaque morceau via des didacticiels extrêmement bien faits. Après il n’y a plus qu’à se lancer, mettre sa fierté de côté et sélectionner une chanson pour constater la réussite du jeu et de son gameplay.
Il faut croire que les miracles existent, je pensais en tant que gamer n’avoir que le rythme dans la peau (Guitar Hero & Rockband) et surtout pas la danse dans le sang mais la qualité du mode “on décompose” m’a permis de finir du premier coup (en facile hein) la chanson “Poker Face” en 5 étoiles (et ce n’était pas évident avec mon chien qui n’arrêtait pas de me sauter dessus). Mis en confiance j’ai pu enchaîner sur le même mode opératoire les 5 chansons suivantes pour finalement faire un petit break et éviter les futures courbatures. Les seuls points négatifs ternissant le tableau sont la faible tracklist (une trentaine de morceaux cependant bien choisis) et le fait que les 9 personnages jouables ne soient pas “customisables”. Mais à par cela, tout est parfaitement réalisé visuellement, et même si certains “journalistes du jeu vidéo” déplorent l’absence d’un éditeur de chorégraphie, ça ne me gène en rien car tout le monde n’a pas le niveau de Usher pour se lancer dans une improvisation pro. Bref vivement la suite qui augure de belles choses avec encore plus de contenu.