Category: Cinéphage

Promis c’est ma dernière folie…

By neocalimero, 10 août 2010 16:56

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Voila, c’est fait, j’ai passé commande dans le magasin d’instruments de musique près de chez moi. J’écumais depuis quelques temps toutes les annonces de particuliers de mon département mais avec toujours l’appréhension d’avoir une chance sur deux de me faire avoir à plus ou moins long terme. Je suis finalement naturellement revenu vers les professionnels de vente d’instruments de musique (qui me proposent de surcroît 5 ans de garantie), pour opter pour ce magnifique piano droit Yamaha modèle U3.

Un instrument de musique (mais aussi un superbe objet) qui me faisait de l’œil depuis pas mal d’années, désirant (en tant que cinéphile mélomane) interpréter et plus seulement écouter mes compositeurs préférés: Ennio Morricone, Basil Poledouris, Alan Silvestri, Hans Zimmer, Jerry Goldsmith, John Williams, Gabriel Yared, John Powell, Joe Hisaishi, etc. Mais mes goûts musicaux ne se limitant pas qu’au cinéma, j’ai hâte de suer sang et eau à travailler sur des partitions d’Elton John, Ray Charles ou même… Nobuo Uematsu, Yasuhiko Fukuda, Yuzo Koshiro, Taro Iwashiro, Tomohito Nishiura ou encore Noriyuki Iwadare, les jeux vidéo n’étant pas en reste. Bref, un rêve de plus qui se réalise, et que serait la vie sans l’accomplissement de certains de ses rêves?

Bandes annonces bandantes

By neocalimero, 29 juillet 2010 18:35

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Régulièrement je vais faire un tour sur iTunes Movie Trailers histoire de voir en très bonne qualité (voire HD) les bandes annonces des prochains films prévus dans les salles obscures américaines. C’est également un bon moyen de se faire une idée de ce qui sortira en France beaucoup plus tard en salles et/ou directement en DVD (voire pas du tout). Et là force est de constater qu’un bon paquet de films super alléchants est sur le point de débarquer. Cliquez sur les posters ci-dessous pour accéder aux différents trailers. Grin

Bien sûr j’ai volontairement oublié quelques films intéressants tels que Buried ou Legend of the guardians mais ce choix délibéré est fait pour mettre en avant les titres (à mon goût) les plus bandants de la fin de l’année et du début de l’année prochaine. Par contre j’ai définitivement peur de me faire séquestrer, attacher à une chaise, paupières ouvertes aux forceps pour regarder Resident Evil: afterlife, Paranormal Activity 2, ou encore The Green Hornet… Bon OK, celui-là je veux bien le voir parce que c’est Michel Gondry qui réalise (j’adore sa filmographie) et que ça peut être surprenant… mais j’ai quand même peur car ça ressemble à un mauvais “Starsky & Hutch” reboot, surtout quand je me rappelle l’incroyable court métrage d’Aurélien Poitrimoult que je chroniquais sur mon vieux blog en 2006. Wink

John Rambo

By neocalimero, 14 juin 2010 18:35

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Suite au magnifique et inattendu “Rocky Balboa”, les premières news sur le projet de réalisation de ce 4ème épisode me firent sauter de joie jusqu’à ce que le premier trailer tombe sur la toile, enchaînant des scènes d’action plus gore les unes que les autres dans des plans nerveux mais dignes d’un téléfilm Z friqué. Mais étant un réel fan du premier “Rambo: First Blood” (et pas des 2 actionners inutiles qui l’ont suivi), j’ai réussi à me convaincre que ces vidéos ne pouvaient refléter le montage final du film, et aller voir John Rambo reprendre son éternelle arme blanche dans le cinoche le plus proche de chez moi. Je ne vous ferai pas languir plus longtemps…

Le film débute de suite avec de véritables images d’archives du génocide birman, des vidéos horribles qui annoncent immédiatement la couleur, et elle sera rouge sang. Dans la salle où je suis, un père de famille tente de faire sortir ses jeunes enfants en leur cachant les yeux, réalisant l’énorme bêtise qu’il a eu en voulant se faire plaisir. Retour au film: des militaires birmans font descendre d’un camion des prisonniers pour parier sur leur vie en les faisant courir dans un champ de mine. Bien évidemment, de cette loterie macabre il n’y aura aucun survivant, et le spectateur prisonnier depuis le début du film du malaise occasionné par cette accumulation de scènes barbares ne trouvera de répit qu’à l’arrivée du générique et du magnifique thème musical à la guitare de Rambo. Cette accalmie est salvatrice et nous fait découvrir ce qu’est devenu John Rambo, autrefois machine de guerre devenue par la force d’un choses un personnage blasé, vêtu de haillons, tentant de renier ce pour quoi il a été entraîné et terré en Thaïlande en vivant de la vente de serpents venimeux.

Sylvester Stallone ne cesse de nous surprendre, tant comme acteur que comme réalisateur. Le film est inondé de scènes insoutenables (l’attaque du village du début du film essouffle le spectateur par son réalisme et sa cruauté), mais filmées de main de maître car incroyablement lisibles sans jamais prendre le parti facile de la caméra sur l’épaule (genre reportage de guerre). Mais ce qui surprend le plus, et demeure du jamais vu c’est la mise en image assumée d’exécution en gros plans de femmes et d’enfants, beaucoup plus choquante que les innombrables mutilations et explosions de corps en tout genre parsemant le film. Véritable plaidoyer contre la guerre, Stallone (le réalisateur) est sans concession cherchant à créer le malaise, la répulsion voire le dégoût.

Et à travers son personnage principal, Stallone réussit à développer une psychologie toute en profondeur, magnifiquement jouée car toute en nuance. Rambo parle rarement, mais quand il ouvre la bouche il fait mouche, rappelant aux missionnaires qu’ils feraient mieux de rentrer chez eux, car ils ne pourront jamais changer la guerre, c’est immuable. Stallone nous prouve une fois encore quel incroyable acteur il peut être, aux antipodes de nombreux nanars qu’il a tourné dans les années 90 (exception faite de “Copland” ), assumant complètement son personnage qui avoue n’avoir jamais tué pour son pays, mais d’avoir tué pour assouvir ses pulsions. Les silences de John Rambo valent toutes les répliques du monde tant le regard de Stallone et les expressions de son visage en disent long avec justesse et retenue.

Les scènes homériques s’enchaîneront tout le long du film, emportées par la musique du “jeune” Brian Tyler possédé, envouté par les scores originaux de Jerry Goldsmith dont il lui rendra magnifiquement hommage sans cependant jamais dépasser le maître. Tantôt pleine d’émotion, tantôt martiale au possible, Brian Tyler a su composer une putain de musique en parfaite adéquation avec le film qu l’a inspiré, car il n’y a pas erreur sur la marchandise, John Rambo est un putain de film de guerre comme on en a rarement vu. Un pur marathon de violence, vous jetant en pleine face la réalité de la guerre tout en vous posant la question : l’homme peut-il changer et changer les choses? la réponse est dans les derniers plans du film.

Un film à voir sur grand écran, un film indispensable dans votre vidéothèque qui démontre que Sylvester Stallone est un réalisateur/acteur sur lequel il va falloir compter ces prochaines années car sa reconversion est parfaitement réussie. A noter si vous ne l’auriez pas compris à travers ce billet que ce film aurait mérité selon moi une interdiction -16 ans, donc épargnez à votre petit frère de 12 ans féru de films d’action 1h30 d’exécutions, viols et autres exactions parfois pédophiles, vous lui rendrez service.

Cette critique a déjà été publiée le 10 février 2008 sur mon ancien blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Wink

Mad Movies n°230 + Hors Série Tim Burton

By neocalimero, 29 mai 2010 16:14

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Habituellement c’est Mad Movies qui sort dans les kiosques avec du retard. Eh bien cette fois, parce que je suis abonné je l’ai reçu au début du mois de mai, mais c’est moi qui ai tardé à le lire faute de temps. Donc, même si dans quelques jours le mois de juin débarquera (je l’espère) avec sa météo ensoleillée et son nouveau numéro de Mad Movies, voici un bref aperçu du contenu du numéro 230.

Un numéro dont la couverture fait la part belle au très attendu Predators de Nimrod Antal, dont le trailer laisse augurer de très bonnes choses. Et puis le très controversé et réaliste A Serbian Film (faisant passer Hostel pour un film familial) et les rubriques habituelles. J’ai également craqué pour le dernier hors série de Mad Movies consacré à Tim Burton (filmographie, inspiration, soundtrack, etc. ), un numéro comme toujours super exhaustif. Grin

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By neocalimero, 9 avril 2010 14:12

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Le Mad Movies tout nouveau, tout chaud (et toujours en retard) du mois d’avril vient de débarquer dans ma boîte aux lettres, arborant une couverture collector laissant place à de nombreuses spéculations. Mais qui vient de lacérer ce pauvre magazine? un loup garou? Edward aux mains d’argent? Mais non ma p’tite dame, les entailles laissent apercevoir le pullover et la peau de pêche du boogeyman à tête de pizza le plus célèbre des années 80: Freddy Krueger.

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Exit l’emblématique Robert Englund qui campait le rôle du tueur d’Elm Street (et de vos rêves) puisqu’il est remplacé par Jackie Earle Haley (Rorschach des Watchmen) dans le remake réalisé par Samuel Bayer. Également au programme de ce Mad Movies (voir les images ci-dessous), le nouveau Gaspar Noé (Enter the void), Kick Ass, des dossiers sur la saga Freddy et Christopher Lee, ainsi que plein d’autres joyeusetés et les rubriques habituelles. Saviez-vous que c’est Claude Chabrol qui trouva le titre “Les Griffes de la nuit” pour la distribution française de “A Nightmare on Elm Street”? Wink

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Lectures vidéoludiques: actualité & culture

By neocalimero, 8 avril 2010 14:44

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Achat du bimensuel ig-Mag qui fait la part belle à BlazBlue (en couverture) ainsi qu’au studio ARC System Works créateur du jeu et également de la franchise Guilty Gear. Mais c’est aussi presque 300 pages d’interviews (Toshimichi Mori, Warren Spector, Yoshiki Okamoto, Jason Manley, etc. ), de tests et de dossiers (actualité, rétrogaming, économie et trucs geek), bref du tout bon et certainement le seul magazine papier jeux vidéo indispensable (avec Pix’n Love) à l’heure où toute l’info est gratuitement disponible sur internet.

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Et puis aussi le très attendu (par moi en tout cas) “Des pixels à Hollywood” d’Alexis Blanchet (docteur en Études cinématographiques de l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense) aux Editions Pix’n Love. Un ouvrage exceptionnel de 450 pages retraçant “l’histoire commune du cinéma et des jeux vidéo, à la fois concurrents et partenaires dans leur conquête du public”. Sa lecture s’annonce passionnante, autant que l’écoute de l’intarissable Alexis Blanchet qui a participé à un podcast de Gameblog justement consacré au Cinéma et au Jeu Vidéo.

Alexis Blanchet

Alexis Blanchet posant pour le podcast Gameblog n°136: Cinéma & Jeu Vidéo

Goodies: Tron Legacy

By neocalimero, 7 avril 2010 15:21

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Aujourd’hui j’ai reçu une enveloppe que je n’attendais pas vraiment, contrairement au Mad Movies du mois d’Avril qui se fait désirer, à l’ouvrage Des pixels à Hollywood ainsi qu’à une commande d’une douzaine de jeux Mega CD jap (Sol Feace, Star Wars: Rebel Assault, 3×3 Eyes, Road Blaster Fx, Dennin Aleste, Keio Yugekitai, Thundrstorm Fx, Rise of the Dragon, Yumemi yakata no monogatari, Burai, Cosmic Fantasy Stories, Prince of Persia) et quelques vieux Point’n Clicks LucasArts dans leur boîte d’époque. Grin

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Pour rappel je vous avais proposé via ce billet un petit quiz viral initié par le site tronlegacy.fr. Et bien cette mystérieuse enveloppe renferme la récompense aux 56 bonnes réponses que j’ai trouvé en jouant au quiz pour fan de jeux vidéo et autres calembours anglophones: un “vrai” badge d’employé de la société ENCOM avec ma photo ainsi que mes nom et prénom.

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Un goodies vraiment surprenant pour la qualité de sa finition et surtout sa personnalisation, Disney a vraiment mis les moyens financiers pour optimiser le succès de Tron: Legacy (Tron: L’héritage). Je ne peux que vous encourager de participer au quiz pour remporter cet accessoire totalement inutile (donc indispensable). Wink

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Pour la peine, voici un petit avant-goût d’un des films que j’attends le plus en 2010, le 1er film m’ayant fait rêver pendant des années (ma mère ne voulait pas que je le vois à sa sortie par peur de m’abîmer les yeux avec toutes ces lumières “laser” colorées… mais je ne lui en veux pas. Bisous M’man Wink ), me faisant attendre au moins 10 ans avant de le voir. Du coup profitez de cette bande annonce…


Steven Seagal: Au service de la loi

By neocalimero, 30 mars 2010 23:11

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L’émission télé réalité la plus improbable pour le cinéphile averti est diffusée en ce moment sur la chaîne W9. Imaginez le plus célèbre américain (expert en aïkido/acteur/bouddhiste/musicien/réalisateur/réincarnation du lama tibétain Chungdrag Dorje) habituellement cantonné aux rôles de justiciers dans des films, téléfilms ou DVD “direct to video”, mais cette fois dans la peau d’un véritable flic, suivi par des caméras 24h/24h. Vous le rêviez, Steven l’a fait et ça s’appelle Steven Seagal: Au service de la loi.

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En effet, Steven Seagal qui depuis une vingtaine d’années est Shérif-Adjoint réserviste du conté de Jefferson Parish est le “héros” de ce documentaire/reality show, va vous entraîner dans une dimension parallèle où il apprend à de vrais policiers comment tirer avec une arme à feu, prend en chasse des chauffards ou stoppe des délinquants en les électrocutant au taser (quand ils ne sont pas 8 policiers sur un même gars). Je vous interdis de manquer ce show hypnotique bien qu’inimaginable en cliquant sur ce lien (ou sur les images) pour accéder aux 2 premiers épisodes de cette 1ère saison. Enjouaillez les amis. C’est du pur bonheur de 100ème degré. Wink

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Valse avec Bachir

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By neocalimero, 21 mars 2010 12:09

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J’avais complètement zappé ce film l’année dernière, et il faut bien avouer qu’il était même passé inaperçu (j’imagine le faible nombre de copies pour les salles françaises). Mais c’est lorsque Monica Belluci remit le “César du meilleur film étranger” à Ari Folman, que j’ai réalisé à quel point il me fallait le voir, ne me doutant pas une seconde que j’allais prendre un 38 tonnes en pleine face à la vision du Blu-Ray offert par ma femme…

Valse avec Bachir

Traiter d’un sujet aussi brûlant que le massacre de Sabra et Chatila (ayant failli être reconnu comme crime contre l’humanité) n’est pas chose facile. Surtout quand son réalisateur Ari Folman désire en faire un film autobiographique, documentaire, mais toujours cinématographique grâce au choix de l’animation comme moyen de narration. Appelé en pleine nuit par son meilleur ami, Ari Folman (réalisateur et personnage principal) l’écoute raconter un cauchemar récurrent le hantant depuis qu’il a fait la guerre du Liban. A sa grande surprise, Ari réalise qu’il avait avait 19 ans quand il participa également à cette guerre, mais que ces 25 dernières années il n’en avait étrangement gardé aucun souvenir, comme si sa mémoire avait été effacée “sélectivement”. A partir de là, Ari désirant plus que tout comprendre le pourquoi de cette amnésie va retrouver quelques-uns de ses anciens frères d’arme pour partager leurs souvenirs et raviver sa mémoire, le confrontant à la triste réalité du massacre de Sabra et Chatila.

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A la manière d’une enquête policière, alternant vrais/faux souvenirs, magnifiques séquences oniriques et violence graphique, Ari Folman réussit à nous captiver tout en sachant que le dénouement ne peut être que brutal et nous fait partager les fantômes qui le hantent certainement tous les jours dans la vraie vie. Ce film est une psychothérapie pour lui, mais d’utilité publique pour les générations futures, jamais dans le but de dénoncer qui est le plus responsable parmi les acteurs principaux de ce massacre, mais plus de comprendre les dommages psychologiques collatéraux de jeunes militaires enrôlés qui savaient, et se demandent aujourd’hui “si seulement…”

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Sans vouloir m’étendre sur ma vie privée, de décembre 1998 à mai 1999 j’étais sur des théâtres d’opérations pour l’OTAN pendant la guerre du Kosovo, et pendant la vision progressive de ce film, sont remontés en moi des souvenirs endormis faits d’images et d’odeurs que je m’étais juré de ne jamais oublier mais qui attendaient d’être réveillés. Mon background personnel joue très certainement sur mon objectivité vis à vis de ce film, mais je remercie Ari Folman pour cette pseudo thérapie non pas pour oublier mais pour se rappeler. Car il est des évènements, tout comme les camps d’Auschwitz-Birkenau (qui font débat actuellement pour leur rénovation) qui au-delà de l’horreur et du mal que l’homme peut infliger aux siens, doivent éternellement perdurer dans la mémoire collective afin de ne pas reproduire l’impensable.

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Bref, un film dur (attention certaines scènes peuvent choquer des adultes) mais magistralement mis en scène, film d’utilité publique auquel le support Blu-Ray rend honneur. A noter d’excellents bonus (mais trop courts) dont le journal télévisé d’Antenne 2 (aujourd’hui France 2) au lendemain du massacre de Sabra et Chatila. A voir.

Cette critique a déjà été publiée le 20 avril 2009 sur mon ancien blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Bonne lecture Wink

Mad Movies n°228

By neocalimero, 9 mars 2010 20:51

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Mad Movies mars 2010

Le Mad Movies n°228 (donc du mois de mars) est disponible en kiosque avec en couverture le très mordant Daybreakers, film attendu bien que maintes fois repoussé mélangeant SF et film de vampires au pitch autrement plus sexy que la licence Twilight. Au programme de ce nouveau numéro toute l’acualité ainsi qu’un savoureux dossier sur Môssieur Georges (Mad Max/Babe/Sorcières d’Eastwick/Happy Feet) Miller. Le contenu de ce numéro est visible dans le sommaire (scanné) juste en dessous. Wink

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