Category: Culture vidéoludique

Partitions et histoire du Jeu Vidéo

By neocalimero, 18 août 2010 18:49

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La commande de mon piano Yamaha U3 étant toujours en cours, histoire de patienter jusqu’à la tant attendue livraison, je me suis acheté pour pas cher sur une boutique anglaise les partitions de l’excellent album double CD “Elton John: Greatest Hits 1970-2002“. Un ouvrage rempli de magnifiques mélodies, de “Crocodile Rock” à “Sorry Seems To Be The Hardest Word”, en passant par “I Want Love”. Du boulot en perspective. In Love

Et puis ce hors série du magazine Joypad, entièrement consacré à l’histoire de la PlayStation, et chaudement recommandé par Florent Gorges sur le blog de Pix’n Love. Même si à l’époque de la sortie de la console j’étais beaucoup plus amoureux de la Sega Saturn japonaise, j’ai pu m’éclater chronologiquement sur toutes les bombes de la machine de Sony: Ridge Racer, Bio Hazard, Tobal, Metal Gear Solid, Castlevania: Symphony of the Night, etc. Un très bon hors série assez complet qui n’apprendra pas grand chose aux vieux briscards comme moi qui ont vécu de près les années PlayStation, mais indispensable aux jeunes joueurs qui sont passés à côté, désirant parfaire leur culture vidéoludique.

Dernières lectures…

By neocalimero, 17 août 2010 14:25

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Quelques lectures pour terminer cet été qui n’en est pas vraiment un avec la météo capricieuse, et encore moins quand on travaille et que les autres sont en vacances. Bref je suis un peu à la bourre pour ce billet qui présente le dernier numéro d’IG Mag (n°9 acheté dès sa sortie courant juillet) faisant la part belle aux jeux d’infiltration (MGS, Splinter Cell, etc. ), mais proposant également d’excellents dossiers sur la PC Engine, Duke Nukem, Psygnosis, Telltale Games et plein d’autres joyeusetés. Comme toujours du très bon contenu pour tenir 2 mois jusqu’à la sortie du prochain numéro.

Et puis les éditions Pix’n Love ne chôment pas, même pendant les vacances avec la sortie avancée du n°3 des Grands Noms du Jeu Vidéo consacré à Gunpei Yokoi (et sous-titré: vie et philosophie du Dieu des jouets Nintendo). Un ouvrage impressionnant d’anecdotes, de contenu et d’exhaustivité pour qui s’intéresse à l’histoire du Jeu Vidéo et à Nintendo (en quelques jours j’ai déjà lu 1/3 du livre), un destin hors norme et une histoire qui s’est terminée tragiquement mais qui ne peut laisser insensible tout amoureux du Jeu Vidéo et du Rétrogaming. Vivement le volume n°2 consacré à Michel Ancel.

Promis c’est ma dernière folie…

By neocalimero, 10 août 2010 16:56

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Voila, c’est fait, j’ai passé commande dans le magasin d’instruments de musique près de chez moi. J’écumais depuis quelques temps toutes les annonces de particuliers de mon département mais avec toujours l’appréhension d’avoir une chance sur deux de me faire avoir à plus ou moins long terme. Je suis finalement naturellement revenu vers les professionnels de vente d’instruments de musique (qui me proposent de surcroît 5 ans de garantie), pour opter pour ce magnifique piano droit Yamaha modèle U3.

Un instrument de musique (mais aussi un superbe objet) qui me faisait de l’œil depuis pas mal d’années, désirant (en tant que cinéphile mélomane) interpréter et plus seulement écouter mes compositeurs préférés: Ennio Morricone, Basil Poledouris, Alan Silvestri, Hans Zimmer, Jerry Goldsmith, John Williams, Gabriel Yared, John Powell, Joe Hisaishi, etc. Mais mes goûts musicaux ne se limitant pas qu’au cinéma, j’ai hâte de suer sang et eau à travailler sur des partitions d’Elton John, Ray Charles ou même… Nobuo Uematsu, Yasuhiko Fukuda, Yuzo Koshiro, Taro Iwashiro, Tomohito Nishiura ou encore Noriyuki Iwadare, les jeux vidéo n’étant pas en reste. Bref, un rêve de plus qui se réalise, et que serait la vie sans l’accomplissement de certains de ses rêves?

Aujourd’hui c’est… encadrement

By neocalimero, 9 août 2010 17:02

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L’aménagement de mon garage en salle de jeu débute enfin puisque je me suis fait livrer tous les matériaux nécessaires, ce projet maintes fois repoussé est lancé sur les rails (je ne pensais jamais trouver le temps). Du coup, j’en ai profité pour commencer l’encadrement de belles pièces dédicacées qui décoreront mon sanctuaire dédié au Jeu Vidéo et au Cinéma. Cette pièce inespérée me permettra enfin de ranger correctement et mettre en valeur mes collections Sega Saturn, Neo Geo AES, Xbox 360, PC Engine, Mega Drive/Mega CD, Sega Dreamcast, PlayStation 3, Xbox, Nintendo 64, Sony PSP, Intellivision, Nintendo Game Cube, PC-FX, Nintendo Wii, PlayStation 2, Sega Master System, Nintendo Virtual Boy… heu, je m’arrête là car ça pourrait continuer encore quelques lignes. Nerd

Bref, vivement que la pièce soit finie pour que j’attaque l’ameublement, la décoration et le rangement (partie la plus jouissive du geek que je suis). Grin Sinon voici le 1er cadre destiné aux HuCards not for sale en ma possession, il ne me reste plus qu’à prendre une décision finale (car j’hésite encore) pour les étiquettes que je souhaite ajouter sous chacune d’entre elles avec nom en français et/ou japonais, descriptif et/ou année (voire nombre d’exemplaires dans le monde), logo PC Engine… Je veux vraiment faire ça bien donc toutes les idées sont bonnes à prendre, n’hésitez pas à me faire part de votre avis dans les commentaires.

J’ai également pris une photo de plus près pour vous montrer la finition, je pense que ça peut intéresser Bababaloo qui attendait ce billet avec impatience pour constater le résultat final. Pour information, pas besoin de faire un cadre sur mesure, je suis tombé sur celui-ci (35 x 35 cm) en boutique et l’ai trouvé de suite idéal avec ce jaune bien pétant parfaitement en harmonie avec l’image que l’on se fait d’Hudson Soft et la PC Engine. Sinon, dans la foulée ma lithographie de “Tales of Monkey Island” fraîchement arrivée à la maison a profité de l’occasion pour s’embellir via ce cadre en jonc noir fait sur mesure (43 x 57 cm). C’est sobre mais toujours classieux et fait bien ressortir l’illustration et la signature de Steve Purcell (voir photo ci-dessous).

Et puis on dit jamais deux sans trois, pour ce poster aux dimensions un peu hors normes dédicacé par les acteurs de Lost (photo ci-dessous) j’ai dû prendre à nouveau l’option sur mesures (35 x 50 cm) en choisissant du jonc noir. C’est vraiment magnifique, donnant presque l’impression que les dédicaces sont faites sur la vitre. Un poster de circonstance puisque la salle de jeu abritera également ma vidéothèque (Laserdisc, DVD & Blu-ray).

Voila, c’est la première fournée. La prochaine risque de concerner deux posters de Brütal Legend et Psychonauts dédicacés par Tim Schafer et les affiches originales de 1983 (Space Ace & Dragon’s Lair) dédicacées par Don Bluth et Gary Goldman (et issues de la collection personnelle du papa de Fievel et Anastasia). J’ai hate… In Love

Lithographie dédicacée par Steve Purcell

By neocalimero, 30 juillet 2010 11:24

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Je viens de recevoir une magnifique lithographie promotionnelle reprenant l’illustration utilisée (entre autre) pour la version européenne DVD-rom de Tales of Monkey Island, lithographie dédicacée au crayon par la main de son auteur Steve Purcell. Ce dernier est principalement connu pour avoir créé les personnages de comics déjantés Sam et Max popularisés en France en 1993 grâce à la sortie du jeu “Sam & Max hit the road”. Mais avant cela il a travaillé comme animateur et illustrateur (des boîtes de jeu) sur les 2 premiers épisodes des Monkey Island, Maniac Mansion, Herc’s Adventure, et bien d’autres.

Il travailla sur un projet de nouveau jeu “Sam & Max” que LucasArts annula en 2004, ce qui lui permis de récupérer les droits de la licence et finalement de travailler plus tard en collaboration avec Telltale Games sur la série 3D “Season One: Sam & Max save the world”. Le succès étant au rendez-vous la série connait aujourd’hui une 3ème saison, et Steve Purcell entre deux ou trois collaborations sur certains films de Pixar a trouvé le temps de réaliser une magnifique illustration pour le premier épisode de “Tales of Monkey Island” (un retour aux sources en quelque sorte).

Une chose est sûre, j’adore son travail d’illustrateur depuis toujours et je l’intègre dans mon trio (LucasArts/Lucasfilm Games) préféré aux côtés de Ron Gilbert et Tim Schafer. Allez hop, une lithographie de plus à faire encadrer… C’est pas tout mais j’ai Monkey Island 2: Edition Spéciale à terminer sur Xbox 360. A plus Wink

Le Shooting Watch de Takahashi Meijin

By neocalimero, 28 juillet 2010 19:24

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Je viens de recevoir un accessoire vraiment culte pour tout gamer qui se respecte, à savoir un SHOOTING WATCH, objet intimement lié au personnage Takahashi Meijin/16 shot (auquel les éditions Pix’n Love ont récemment dédié un ouvrage biographique). Ce Takahashi Meijin (dont voici son blog) fut  au Japon dans les années 80 l’ambassadeur d’une série de jeux édités par Hudson Soft sortis sur la console Famicom de Nintendo. Rapidement il se fit remarquer aduler par les joueurs pour son exceptionnelle capacité à appuyer en moyenne 16 fois par seconde sur le bouton de la manette de la console, générant d’incroyables high scores à une époque où l’auto-fire n’était pas vraiment d’actualité. Dans le but de proposer à tous les fans de la célébrité de faire mieux que lui (et aléatoirement de faire du business), Hudson Soft créa le SHOOTING WATCH. L’engouement des joueurs pour ce génial bidule engendra d’autres déclinaisons dont une application payante pour iPhone et une excellente et très complète version homebrew (donc gratuite) pour Nintendo DS.

Le SHOOTING WATCH est un petit appareil ayant principalement pour vocation de vous permettre de vous entraîner à faire mieux que le légendaire Takahashi Meijin, à savoir appuyer 16 fois sur un bouton par seconde (ou 160 fois en 10 secondes) avec un doigt (tout accessoire étant prohibé: stylo, chaussette, etc. ). Le challenge est élevé mais pas impossible (sauf peut-être pour moi qui ai fait un score de 85 la première fois et qui réalise à quel point je suis mauvais). Mais le pire, c’est que l’usage de ce petit appareil est réellement addictif… mais déconseillé pour les phalanges fragiles. Wink

Fonction des boutons:

  1. SELECT: permet de naviguer entre les différents modes (SHOOTING, TIME, STOP, etc. )
  2. START: permet de valider/rentrer dans un des modes sélectionnables
  3. A et B: boutons qui ont la même fonction, à savoir appuyer le plus vite possible dessus pour réaliser un high score

Les différents modes:

SHOOTING: c’est le mode le plus intéressant dans lequel vous allez devoir appuyer pendant 10 secondes le plus de fois (et le plus vite) possible sur le bouton A ou B (au choix) pour faire aussi bien, voire mieux que Takahashi Meijin. Pour information, votre meilleur score est sauvegardé dans le Shooting Watch et s’affiche automatiquement quand vous sélectionnez le mode SHOOTING.

TIME: c’est une simple horloge qu’il vous faut régler en appuyant simultanément sur les boutons SELECT et START. Ensuite, passez des secondes aux minutes (puis aux heures) en appuyant sur le bouton B et faites défiler les nombres en appuyant sur le bouton A. Pour information, quand vous êtes sur le nombre des secondes, en appuyant sur le bouton A vous les réinitialisez à zéro. Quand le réglage de l’heure vous convient, appuyez sur le bouton START.

STOP: c’est un simple chronomètre que vous déclenchez et/ou mettez en pause en appuyant sur A, le bouton B servant à remettre le chronomètre à zéro.

?: les 2 points d’interrogation présents sous l’écran sont des “extra modes” qui ne seront accessibles/débloqués qu’en faisant un high score et/ou une manipulation particulière.


Ci dessus une petite démonstration vidéo du SHOOTING WATCH

par l’équipe des éditions Pix’n Love

Comment débloquer les 2 modes secrets:

Mode secret n°1: il vous faut choisir le mode SHOOTING et faire un score de 62 (pas plus, pas moins). Cela débloquera un générateur aléatoire de nombre faisant défiler de manière continue 3 séries de chiffres que vous stopperez individuellement en appuyant sur le bouton A. Je viens d’apprendre que ce serait utile pour un jeu de plateau japonais appelé Saikoro, je ferai donc quelques recherches et mettrai cet article à jour ultérieurement.

Mode secret n°2: pour débloquer ce mode, il va falloir vous entraîner et vous armer de patience, puisque dans le mode SHOOTING vous devrez faire un score minimal de 161, donc supérieur au score de Takahashi Meijin qui est de 160 (soit 16 shots/sec qui lui valut son surnom). La récompense sera de débloquer un autre un générateur aléatoire de nombre mais avec 4 séries de chiffres.

Voila, je crois que savez l’essentiel sur le SHOOTING WATCH, et je ne saurai que trop vous conseiller d’investir dans ce petit appareil et dans l’ouvrage “Takahashi Meijin: autobiographie d’une idole du jeu vidéo au Japon“. Grin

Neocalimero is back!

By neocalimero, 19 juillet 2010 12:18

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Non je ne suis pas mort. C’est juste que j’ai enchaîné mes vacances avec la reprise du boulot qui ne m’a pas vraiment laissé de temps libre… et en plus, j’ai encore du mal à m’acclimater à la reprise des horaires de ma profession (ce qui ne m’empêche pas d’être ponctuel). Y’a pas à dire, les vacances c’est juste obligatoire, surtout pour décompresser. Bref depuis mon départ en vacances, le mot d’ordre fut juste: farniente.

Entre deux séances de piscine et bronzette, j’ai pu me rendre 2 fois au ciné, jouer sur consoles portables, continuer le visionnage de la saison 2 de The Big Bang Theory et regarder en famille quelques blurays sur mon notebook. En fait, juste quelques habitudes d’un geek loin de son home sweet home technologique mais malgré tout heureux de se prélasser en famille. Bien entendu ça ne m’a pas empêché de trouver près de mon lieu de repos le CD de la bande originale de Metal Gear Peace Walker ainsi qu’un gros badge à l’effigie de cet incroyable jeu.

Mais de retour à la maison (et le sevrage terminé), découverte (entre autre) dans la boîte aux lettres du Mad Movies d’été, du dernier Pix’n Love et de quelques avis de passage du facteur. Après une petite visite au bureau de poste de ma commune, j’ai pu récupérer un colis renfermant des romans (Kodansha novels) reprenant les licences Tengai Makyô Ziria, Zero & Apocalypse IV (de quoi exercer mon japonais pour… hum très longtemps).

Mais la pièce maîtresse de ce colis est sans équivoque la boîte à outils offerte à l’époque de la sortie du Pachi Slot Tengai Makyô Manji Maru. A quand les préservatifs Far East of Eden? du coup, à force d’écumer le Net, et surtout les sites d’enchères japonais, il ne me reste plus beaucoup d’articles à récupérer pour “clôturer” ma petite collection sur la série… enfin, une collection n’est jamais vraiment terminée. Wink

A mon retour de vacances j’ai également remporté l’enchère pour une illustration de Tales of Monkey Island dédicacée par Steve Purcell, je ne vous cache pas mon impatience de la recevoir d’autant plus que je vais aujourd’hui prendre les derniers renseignements pour encadrer mes HuCards not for sale et quelques autres posters/affiches dédicacées (Tim Schafer, Don Bluth, etc. ). Grin

Ci-dessus, la dédicace tant attendue Nerd

Encore du Point’n Click

By neocalimero, 14 juin 2010 16:32

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Même si d’ordinaire je ne recherche que les 1ères éditions françaises de vieux Point’n Click Lucasfilm Games/LucasArts, je suis tombé sur cette compilation éditée en 1994 par Ubi Soft affichant fièrement une compatibilité EGA/VGA, IBM PC 386, Windows 3.X (donc MSDOS) et carte son Adlib (ça ne me rajeunit pas). Des caractéristiques incompréhensibles pour les jeunes têtes blondes nées après 2000. Wink

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Ayant pas mal de difficultés (mais je ne désespère pas, je sais être patient) à trouver une 1ère édition française de l’excellent “Maniac Mansion”, je n’ai pas hésité une seconde pour acheter cette compilation l’intégrant ainsi que “The Secret of Monkey Island” sur support CD-rom. Cette édition budget se distingue nettement des ré-éditions (compilation ou non) “LucasArts Classique” que l’on arrive à trouver assez facilement en boîte carton ou boîtier DVD. Sa distribution française a dû être assez confidentielle car je ne la connaissais pas.

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“Maniac Mansion” est un titre qui a révolutionné le jeu vidéo à sa sortie en 1987, d’une part grâce à la création de son moteur nommé SCUMM (Script Creation Utility for Maniac Mansion) et toutes les innovations qui en ont découlé: fins, déroulement du jeu et obtention des indices différents selon le choix des personnages jouables, interface intuitive à la souris (et non plus textuelle) pour choisir des actions (donner, ouvrir, fermer, etc. ), créant et optimisant d’entrée le genre Point’n Click. Tout cela inclus dans une histoire de film d’horreur à l’humour complètement déjanté, vous obtenez l’un des meilleurs titres de l’histoire du jeu vidéo. Juste indispensable. Wink


Lithographie Metal Gear Solid numérotée & signée

By neocalimero, 14 juin 2010 15:23

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Grosse (et très bonne) surprise aujourd’hui en découvrant dans ma boîte aux lettres un avis de passage du facteur qui ne pouvait laisser ce colis devant ma porte. Et quel colis! une magnifique lithographie du premier Metal Gear Solid numérotée et signée par Yoji Shinkawa et Hideo Kojima. La FNAC avait organisée une exposition en partenariat avec Arludik, retraçant la genèse de la série des Metal Gear Solid au travers des œuvres réalisées pour chacun des opus.

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Cette initiative coïncidant avec la sortie prochaine de “Metal Gear Solid : Peace Walker” prévue pour le 17 juin, proposait à la vente 4 lithographies différentes représentant les 4 premiers épisodes de la série, chacune limitée à 99 exemplaires et signées par Yoji Shinkawa (character designer de la série) et Hideo Kojima (créateur de la série). Inutile de vous préciser que ces lithographies se sont vendues en 24 heures, qu’elles sont donc épuisées et forcément “collector”.

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Mais au de-là de la rareté de cette pièce, le plus important c’est le magnifique artwork choisi pour cette lithographie tout de suite identifiable et réellement emblématique quand on est fan de la série. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai choisi cet exemplaire sur les 4 proposés, vénérant le style inimitable de Yoji Shinkawa et les idées avant-gardistes de Hideo Kojima. Le geek qui sommeillait en moi s’est réveillé! Grin

Indiana Jones and the Last Crusade: The Graphic Adventure

By neocalimero, 7 juin 2010 15:09

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Arrivage chez moi d’un petit colis renfermant une superbe pièce s’ajoutant à ma collection de Point’n Clicks LucasArts. Je viens de recevoir la version française Atari ST du génial Indy/Indiana Jones and the Last Crusade: The Graphic Adventure, complet et en superbe état (le vendeur y a même ajouté les sauvegardes du jeu sur disquettes). Ce jeu commercialisé en 1989 sur de nombreuses autres machines est une des adaptations du film éponyme sorti la même année. Il ne faut pas le confondre avec Indiana Jones and the Last Crusade: The Action Game, jeu de plateforme 2D vu de côté qui reprenait également les scènes clé du long métrage.

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Depuis longtemps, les adaptations de licences de films en jeu vidéo sont rarement de bon jeux, la faute principalement à des délais de développement très courts et à un budget majoritairement englouti dans l’achat de la licence. Mais ce Indy/Indiana Jones and the Last Crusade: The Graphic Adventure déroge à la règle, mélange parfaitement équilibré d’humour et de résolution d’énigmes idéalement fidèles au scénario du long métrage. Vous me direz, le film et le jeu ont Georges Lucas pour dénominateur commun, mais il suffit de constater le massacre des jeux inspirés de la licence Matrix pour réaliser que ce n’est pas une science exacte.

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En ouvrant la boîte, quelle ne fut ma surprise de découvrir (en plus des habituels codes anti-piratage et notice d’utilisation) un livret de 48 pages entièrement en français imitant les pages du carnet du Docteur Henry Jones (voir la photo du dessous). Un livret fait de coupures de journaux, notes personnelles et croquis reprenant à l’identique ceux évoqués durant le film. Une excellente initiative (surprenante pour l’époque) de la part de l’éditeur du jeu, rendant l’aventure beaucoup plus immersive et aidant le joueur à résoudre les énigmes à l’image d’Indiana Jones dans le film.

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Je conclurai en vous proposant une vidéo de Indy/Indiana Jones and the Last Crusade: The Graphic Adventure issue de la version FM Towns, un PC japonais conçu par Fujitsu en 1989 équipé d’un des premiers lecteurs CD-rom (qui fut également décliné en version console).


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