Allez hop, petite dose de rétrogaming hebdomadaire avec cet arrivage de jeux japonais Mega CD pour “débrider” ma Wondermega fraîchement débarquée. Mis à part la compilation très classique (sans mauvais jeu de mot) “Sega Classic Arcade Collection” (rassemblant Super Shinobi, Bare Knuckle, Golden Axe, Columns) et le très énergique “Tomcat Alley“, mon choix c’est porté sur les pas très connus “Wonderdog” et “Switch” que je souhaitais essayer depuis la lecture d’époque d’une news sur la sortie de la Wondermega RG-M1 dans un très très vieux Console+.
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Petit arrivage de jeux Xbox indispensables qui en plus fonctionnent avec la rétrocompatibilité de la Xbox 360 (ça évitera de les acheter sur le XBL). Maintenant, de ma wishlist idéale sur la 1ère console de Microsoft, il me manque très très peu de titres dont Panzer Dragoon Orta, Shenmue 2, Dino Crisis 3 et les 2 Otogi. Et puis, même si je possède déjà Psychonauts sur Playstation 2, je mourrai d’envie de le refaire sur Xbox 360.
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Depuis le 31 décembre dernier, le temps m’a manqué pour mettre à jour le blog et ce, malgré quelques arrivages, virée à Paris et autres achats compulsifs. Mais elle est enfin arrivée, et force est de constater après déballage que c’est un bien bel objet. Pour rappel, et certains diront que je radote, cette machine est un “all in one” intégrant une Mega Drive (port cartouche) et un Mega CD (lecteur CD) construit officiellement par le fabricant Victor (connu en dehors du Japon sous les lettres JVC). Il existe 2 modèles sortis au Japon, le RG-M1 et le RG-M2 version un peu plus cheap et au look différent qui fut également commercialisé aux Etats Unis sous le nom X’eye.
Le Wondermega RG-M1 a été commercialisé le 24/04/1992 pour la modique somme de 79800 yens (soit un peu plus de 600 euros), et intègre quelques fonctions inédites comme le karaoké, une prise midi, des sorties SVHS et RCA, 2 entrées microphone et la possibilité de brancher la console sur un clavier et/ou une chaîne Hifi. Je ne vais pas vous mentir, il n’y a que le côté vidéoludique qui m’intéresse et je viens déjà de me commander quelques jeux Mega CD (Sega Arcade Collection, Switch, Wonderdog, Tomcat Alley) s’ajoutant à mon actuelle ludothèque pour profiter de la “bête”.
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Mon enfance de joueur (et son enthousiasme) ont toujours été un peu plus porté vers les machines conçues par Sega plutôt que Nintendo. Le premier Mega CD japonais m’avait fait rêver pendant des années (je vous en parlais dans cet article), mais il est une machine prénommée Wondermega qui me parut encore plus inaccessible, mix hallucinatoire entre une Mega Drive japonaise, un Mega CD, des fonctions karaoké, le tout enfermé dans une machine au look mortel (cela n’engage que moi).
Eh bien il faut croire que le 28 décembre c’est toujours Noël, parce que je viens de faire affaire pour un modèle Wondermega RG-M1 (conçu par Victor/JVC) qui devrait débouler chez moi dans le courant de la semaine. Du coup cette machine “all in one” va me faire oublier (juste un instant, faut pas exagérer) mon Mega CD “fraîchement acquis”.
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Juste avant Noël j’ai reçu un colis bien sympathique de jeux Nintendo 64 qu’il me tardait de voir débarquer à la maison. Des jeux complets en boîte dans un état impeccable (pour ne pas dire neuf) dont je désirais ardemment faire l’acquisition pour compléter ma collection: Killer Instinct Gold – Mystical Ninja 2: starring Goemon – Castlevania: Legacy of Darkness -Pilot Wings 64 – Mystical Ninja: starring Goemon – Castlevania 64 -Super Smash Bros. – Yoshi’s Story – Donkey Kong 64 qui vont s’ajouter à Mario Kart 64 – Golden Eye – Perfect Dark, The Legend of Zelda: Ocarina of Time & Majora’s Mask – F-Zero X – International Superstar Soccer 64
Autant de jeux cultes à la console Nintendo 64 qui eut cependant une ludothèque limitée et pas très fournie en bons titres par rapport à ses concurrentes de l’époque (ça n’engage que moi) Sega Saturn & Sony Playstation. Mais certains jeux réellement extraordinaires issus de licences phares de Nintendo (The Legend of Zelda, Mario, F-Zero, Pilot Wings) ou de quelques éditeurs tiers fidèles à la marque (Rare, Konami, Acclaim) émergèrent pour faire oublier les mauvais élèves de la ludothèque N64.
Au final il me reste quelques titres à trouver tels que les Turok, Mario 64, Banjo et Conker’s Bad Fur Day pour s’ajouter à mes deux consoles N64 (dont une Pikachu) et à la petite collection ci-dessus.
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La réponse dans le spoiler juste en dessous
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Pix’N Love Editions a réussi un vrai tour de force, me réconcilier il y a un peu plus d’1 an avec la presse jeux vidéo. J’étais fidèle au magazine Joypad jusqu’à son changement de ligne éditoriale qui causa le départ des chroniqueurs responsables de la notoriété du magazine depuis sa création. Ces mêmes journalistes (Trazom, Greg, Kendy, Rahan, etc.) créèrent le 29 octobre 2003 l’excellent mag “Gaming” mais qui ne connut que 6 numéros suite à des problèmes financiers et un incident “technique” qui leur fit perdre une grande quantité d’exemplaires destinés à la vente. Après cela, en quête de news jeux vidéo je me suis rabattu sur le Net, la presse française ne me convenant plus.
Et puis Pix’N Love est arrivé avec son format inhabituel de mook (magazine/book), son contenu rétrogaming, ses dossiers de qualité et sa mise en page agréable… Que du bon, y compris pour les autres ouvrages tels que L’histoire de Nintendo vol.2 ou Japan Arcade Mania dont je viens de faire l’acquisition.
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Je crois que bientôt il ne me manquera plus que quelques poils de la moustache de Tim Schafer (et donc son A.D.N.) pour terminer ma collection. Entre les jeux LucasArts/Lucasfilm Games sur lesquels Master Tim a bossé, mais également les titres conçus chez Double Fine (Psychonauts & Brütal Legend), je pense posséder tout ce que je recherchais (jeux, soundtrack et autres goodies).
Le fanboy qui sommeille en moi est aux anges avec ce dernier arrivage über-méga-giga-cosmico précieux à mes yeux: un sticker de Brütal Legend… et là vous vous dites, ça y est il a touché le fond (d’autres au fond de la salle diront que c’est déjà le cas depuis longtemps). Non non, je déconne, le sticker c’est juste un petit cadeau bonux de Double Fine, en fait je faisais allusion au soundtrack de Psychonauts dédicacé par son compositeur Peter McConnell (dont je fais partie du fanclub international qui ne connait que 3 membres) et plus important encore, des posters Psychonauts et Brütal Legend (qu’il me faut encadrer au plus vite) dédicacés par leur papa Tim Schafer himself .
Prochaine étape, avoir recours à la chirurgie esthétique pour ressembler à Tim Schafer, le kidnapper et me faire passer pour lui auprès de son entourage, ou bien cloner Tim à partir de l’A.D.N. récupéré sur un de ses poils dans l’unique but de me faire prendre en photo à ses côtés… Oups, j’ai failli oublier, c’est l’heure de mes comprimés.
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Le 3 décembre 1994, les joueurs japonais furent les premiers à “subir” la révolution vidéo-ludique Sony (qui ne touchera la France qu’un peu moins d’1 an plus tard). Vous allez me dire “comment ça subir?”, j’avoue ne pas être très objectif car l’arrivée de la PlayStation coïncide avec le début d’une lente agonie vers la mort définitive de Sega (comme fabricant de consoles), et je ne peux vous dissimuler mon amour pour les défuntes Saturn et Dreamcast. Cependant, dans l’histoire du jeu vidéo, la marque déposée PlayStation fut au-delà d’un simple upgrade technologique par rapport aux précédentes machines une vraie révolution au niveau du marketing, un rouleau compresseur même face à la concurrence. Mais comme disait un célèbre philosophe “une console ne serait rien sans ses jeux, et ce sont les jeux qui font la console”. Une citation qui nous rappelle quels excellents titres sont nés sur la première console de Sony: Metal Gear Solid, Final Fantasy VII (mais également VIII & IX), Gran Turismo, Bio Hazard (Resident Evil), Castlevania: Symphony of the night, Ridge Racer…
J’en oublie forcément,
à vous de me rafraîchir la mémoire en me disant quels titres vous ont marqué.
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