“The Legend of Zelda” est une licence phare chez Nintendo qui rime habituellement avec qualité à tous les niveaux (gameplay, réalisation technique, mise en scène… ). Chaque nouvel épisode est très attendu, et avec la sortie de ce “Spirit Tracks” je réalise que depuis le jeu “The Wind Waker” sorti sur Game Cube je n’ai apprécié que des épisodes portables (Minish Cap, Phantom hourglass… ), n’ayant jamais trouvé la motivation de finir “Twilight Princess” sur Wii. Je vais en faire hurler quelques-uns, mais donner des coups d’épée avec la wiimote et les très (trop?) nombreuses similitudes avec des situations déjà vues dans les épisodes Nintendo 64 & Game Cube ne coïncidaient plus avec mes attentes vidéoludiques. Je conçois difficilement que jouer à un Zelda soit plus physique qu’une séance de fitness, je préfère être affalé dans mon canapé.
Mais revenons à nos moutons, en la présence de ce “Legend of Zelda: Spirit Tracks” que j’ai acheté les yeux fermés ayant adoré les précédents épisodes GBA & DS, même si l’intégration d’un chemin de fer dans l’histoire avait de quoi inquiéter le fanboy qui sommeille en moi. Et puis je me suis également laissé tenter par le très original et frenchy “Maestro! Jump in Music” dont le test de Trazom sur Gameblog m’avait vraiment convaincu, autant que la lettre ouverte de Pastagames (boîte de développement du jeu). Que du bon jeu en perspective pour me dé-stresser du boulot très important en ce mois de décembre, m’ayant éloigné quelques jours de mon blog!
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Je crois que bientôt il ne me manquera plus que quelques poils de la moustache de Tim Schafer (et donc son A.D.N.) pour terminer ma collection. Entre les jeux LucasArts/Lucasfilm Games sur lesquels Master Tim a bossé, mais également les titres conçus chez Double Fine (Psychonauts & Brütal Legend), je pense posséder tout ce que je recherchais (jeux, soundtrack et autres goodies).
Le fanboy qui sommeille en moi est aux anges avec ce dernier arrivage über-méga-giga-cosmico précieux à mes yeux: un sticker de Brütal Legend… et là vous vous dites, ça y est il a touché le fond (d’autres au fond de la salle diront que c’est déjà le cas depuis longtemps). Non non, je déconne, le sticker c’est juste un petit cadeau bonux de Double Fine, en fait je faisais allusion au soundtrack de Psychonauts dédicacé par son compositeur Peter McConnell (dont je fais partie du fanclub international qui ne connait que 3 membres) et plus important encore, des posters Psychonauts et Brütal Legend (qu’il me faut encadrer au plus vite) dédicacés par leur papa Tim Schafer himself .
Prochaine étape, avoir recours à la chirurgie esthétique pour ressembler à Tim Schafer, le kidnapper et me faire passer pour lui auprès de son entourage, ou bien cloner Tim à partir de l’A.D.N. récupéré sur un de ses poils dans l’unique but de me faire prendre en photo à ses côtés… Oups, j’ai failli oublier, c’est l’heure de mes comprimés.
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J’avais acheté “New Super Mario Bros.” sur DS à sa sortie, titre que j’avais trouvé parfaitement adapté à la console portable, très réussi (pour la nostalgie de tonnes de clins d’œil aux précédents épisodes) mais un peu trop facile. Un énième épisode sort sur Wii, et après lecture de différents tests je me convaincs de l’acheter mais principalement pour le mode coopération du mode “story” pouvant aller jusqu’à 4 joueurs. Quelle erreur! je ne pouvais imaginer le calvaire de jouer à “New Super Mario Bros. Wii” avec ma femme et mon fiston…
Vous me croirez ou non, mais je me dois d’abord de préciser que je suis tout sauf un “mauvais joueur” et que je sais perdre (ou mourir) avec panache. Mais grâce à ce jeu, je me suis découvert de nouvelles réactions enfouies au plus profond de moi, le côté sombre de Neocalimero, grâce aux vicieuses particularités du gameplay proposant des “crasses” volontaires (ou non) qui remirent en cause mon flegme légendaire. Bref le principe même de la coopération selon moi, surtout dans le mode “story” du jeu est de s’entraider afin de finir un niveau pour passer au suivant. Et quand vos deux collègues cherchent désespérément à récupérer tous les bonus, avancent sans jamais tenir compte de votre position et/ou situation sur l’écran (voire font carrément du surplace malgré le compte à rebours) et que vous vous évertuez à amener tout le monde au boss de fin avec un level up chacun, c’est la crise assurée. Ajoutez à cela des commentaires du genre “ah ben j’avais pas vu”, “non non, je savais pas”, “je l’ai pas fait exprès”, “pourquoi tu t’énerves?” ou encore “roooh t’es trop sérieux, c’est qu’un jeu”, et vous n’avez plus qu’à me mettre une camisole de force.
Bref un niveau que je finis normalement en solo en 4 minutes se transforme en périple de 40 minutes à trois joueurs. J’en pleure encore. Nintendo est donc le génie du mal, le dieu du profit ayant compris avant tout le monde l’exponentielle durée de vie de ses jeux en intégrant des modes multi joueurs et en recyclant très facilement ses précédents jeux. Car pour cet épisode Wii, Nintendo aurait quand même pu faire quelques efforts graphiques, l’excuse de la pâte graphique nostalgique hommage à la licence était valable pour la version portable, mais la pilule passe mal sur la console de salon. Mais force est de constater que le plaisir de jeu reste intact en solo et surtout en multi, un achat donc indispensable sur Wii, jeu sur lequel je retourne jouer avec ma petite famille (je ne serai pas un peu masochiste?).
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Parce que tout le monde sait que la télévision comme les jeux vidéo rendent épileptique (c’est bien connu), il fallait que je trouve un passe-temps moins risqué et préconisé par mon médecin généraliste. Tout d’abord avec un peu de retard Notes: 3-La viande, c’est la force du génial Boulet, 3ème tome/compilation des histoires parues sur son blog bouletcorp.com (soit plus de 200 pages avec des inédits). Et puis l’inévitable ig magazine #5, seul mag jeux vidéo contemporains justifiant parfaitement son achat dont le contenu se démarque de pourtant très bon sites généralistes.
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C’est une question que chaque nouvelle génération de joueurs se pose (et se posera), c’est immuable mais cela demeure une vraie question de fond dès que l’on compare les modes de consommation d’hier et d’aujourd’hui, les coûts de développement des jeux, leur durée de vie, la dématérialisation, le marketing, etc. Le plaisir de jeu est-il toujours le même pour qui a connu les débuts du jeu vidéo? Et l’excellent site gameblog.fr a décidé d’y consacrer un podcast entier (le numéro 120) en invitant Alain Huygues Lacour (Tilt, Joypad, Console +) et Cyril Drevet (Player One), tous deux pionniers du journalisme vidéoludique en France. Raaah, ça ne me rajeunit pas.
Bref, ce podcast très instructif et toujours aussi convivial est disponible sur ce lien
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A écouter d'urgence, Culture vidéoludique, Gaming, Rétrogaming
| Alain Huygues Lacour, Console +, Cyril Drevet, gameblog, Joypad, Player One, podcast, Tilt
Ce soir à cause de Gee23, j’ai craqué en passant une commande de 6 T-shirts sur l’excellent site threadless.com qui fait des promotions intéressantes (baisse de prix à 12,00$). Ci-dessous les visuels très “frais” de mes futures acquisitions.
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J’y suis enfin arrivé, presque 13 heures à me triturer les méninges pour résoudre toutes les énigmes découvertes (et si possible avec le moins de pièces S.O.S.) et faire apparaître le mot “fin” dans ce “Professeur Lyton & la Boîte de Pandore”. Une aventure vraiment addictive et un univers graphique très proche du film “Les Triplettes de Belleville” (assez surprenant pour une réalisation japonaise) que je conseille à tous les possesseurs de Nintendo DS car on en a pour son argent en énumérant toutes les énigmes et autres mini jeux dispersés un peu partout. Maintenant il va me falloir terminer tout ça à 100%, trouver les dernières énigmes et les 2 différences (que je cherche encore) dispersées sur 2 photos.
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Pour ma part, même si le jeu vidéo est originellement un produit de consommation purement mercantile il a su devenir rapidement un art à part entière, un moyen d’expression comme peuvent l’être le cinéma, la littérature ou encore la musique. Mais quand des illustrateurs s’accaparent et détournent l’imagerie et l’esprit du jeu vidéo, ça peut donner de belles surprises comme les images du dessous. En cliquant sur les images vous accèderez au site des auteurs respectifs. Merci à Gee23
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Depuis le temps que je voulais investir dans un stick arcade pour ne plus être handicapé par le gamepad Xbox 360 (qui est une très bon mais pas adapté aux “V.S. fighting game” ), que ce soit pour Street Fighter IV, Soulcalibur IV, Dead or Alive 4 (beaucoup de titres en 4), Battle Fantasia et tous les fighting game téléchargeables sur le XBLA que je possède actuellement, ce pack est arrivé à point nommé puisqu’il intègre en plus Tekken 6. L’autre aspect intéressant du bundle est que le stick est sans fil, et je suis le premier à crier haut et fort mon addiction à la technologie sans fil (le jour où il n’y aura plus de fils électriques et de câble vidéo et audio je serai aux anges). J’ai pris de réelles habitudes avec les gamepad 360 et je ne reviendrai pas en arrière.
Mais ce stick va également me permettre de jouer comme en arcade aux shmup (shoot’em up = jeux de tirs) téléchargés sur le XBLA tels qu’Ikaruga, Triggerheart Exelica, Omega V et même Metal Slug 3 (dans un autre genre). De plus pour le prix d’un très bon stick Hori, le pack intègre également le jeu Tekken 6 et un bel artbook rempli d’artworks. Un achat donc parfaitement justifié.
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Je ne vous ferai pas un test de Forza Motorsport III, certains professionnels le feront bien mieux que moi. Mais je voulais vous faire part de mon enthousiasme pour ce 3ème épisode que je trouve incroyablement accessible, plus accessible encore que les précédents volets (si l’on utilise toutes les aides à la conduite bien sûr). Bien évidemment, le jeu peut vous plonger très rapidement dans une pure simulation bien hardcore en désactivant toutes les aides, mais je trouve que comparativement à la licence Gran Turismo (uniquement simulation à mon goût et ne pardonnant aucune erreur), Forza Motorsport III a l’intelligence de s’adresser à toutes les catégories de joueurs. De plus les menus entièrement revus (et d’une incroyable clarté) vous permettent de naviguer avec simplicité du mode carrière, aux courses libres en passant par les possibilités communautaires Xbox live.
Alors oui, certains diront que le jeu pourtant extraordinairement beau n’est pas aussi photoréaliste que Gran Turismo 5, et qu’il n’y a pas de courses nocturnes ni par mauvais temps, mais pour mon cas, ça ne me dérange en rien (au contraire, sinon ça m’oblige à jouer dans le noir pour qu’il n’y ait pas de reflet sur mon écran ).
Bref un jeu exceptionnel, et dieu sait que je ne suis pas un pro des jeux de voitures, j’ai même pris mon pied à customiser une Twingo aux couleurs de Bob l’éponge, c’est dire…
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