En créant ce billet, je me suis posé une question de la plus haute importance: choisir entre les bannières “Gaming” et “Rétrogaming”. Je sais ce n’est pas super intéressant, mais je suis tombé face à un paradoxe, à savoir de vieux jeux adaptés (voire “remakés” pour l’un des deux) pour tourner sur Nintendo DS et Xbox 360. J’ai finalement pris la décision qui me paraissait la plus pertinente.
Avant de revenir du Japon, eegbor a pris le temps de m’acheter dans une boutique TRADER les jeux “Tengai Makyô Ziria Haruka naru Jipang” sur Xbox 360 (remake 3D de la version PC Engine) et “Tengai Makyô II Manji Maru” sur Nintendo DS (portage de la version PC Engine). Deux jeux nippons pas évidents à trouver en occident du fait de leur non commercialisation en dehors du Japon et d’être des RPG entièrement en kanjis et kanas. Et dieu sait qu’à l’annonce de ce jeu Xbox 360 (zoné de surcroît), j’ai espéré que la licence soit enfin exportée et traduite aux États Unis et en Europe. L’espoir fait vivre…
Depuis quelques temps la météo oublie de nous rappeler que nous sommes en juin, et qu’en juin ben c’est le printemps (voire presque l’été). Mais les beaux jours semblent enfin revenir, et quoi de mieux que quelques saines lectures pour passer le temps allongé sur la terrasse chauffée par le soleil. Au programme le n°8 d’ig mag, le hors série d’Onze Mondial consacré à la coupe du monde de la FIFA 2010 et le dernier ouvrage des éditions Pix’n Love sur Takahashi Meijin. En fait pour ce dernier, je l’ai depuis le jour de sa sortie et l’ai entièrement lu mais avant de le chroniquer j’attendais les résultats de ce concours pour lequel j’espérais désespérément remporter un lot… mais 8 autres lecteurs furent plus chanceux que moi.
J’ai découvert l’année dernière l’existence d’un type bourré de talent prénommé Jérémie Périn. Il avait réalisé un clip 100% pixel art pour le morceau “Truckers Delight” issu de l’album “Sweet Symphony” de Flairs, clip ne pouvant laisser insensible tout “rétrogameur” qui se respecte. La réalisation est excellente (rappelant le meilleur de la Mega Drive), le morceau est bon… mais le scénario ne plaira pas à tout le monde tant le clip est du concentré de port’nawak bien vulgaire et décérébré. Bref j’ai adoré, mais pour rappel (voire avertissement) la vidéo n’est pas destinée aux petits n’enfants. Mais revenons au titre de cet article qui évoquait un “videogame”.
Eh oui, depuis le 18 mai, “Truckers Delight” n’est plus seulement un titre de Flairs, ni un clip réalisé par Jérémie Périn… mais un jeu vidéo! si la course poursuite effrénée de ce routier amoureux, pervers et scatophile vous a plu, vous pourrez prolonger l’aventure grâce à “Truckers Delight: Episode 1” disponible sur l’app store pour 2,39 euros (ou 2,99 dollars) grâce à Mobygame. Quelque chose me dit que de nouveaux épisodes feront leur apparition prochainement.
Le principe du jeu est simple pour qui connait Out Run ou Chase H.Q. puisque c’est exactement le même gameplay. Vous devez foncer avec votre camion sur une autoroute pour rattraper une jolie blonde (et son caniche) dans leur voiture décapotable et ne pas hésiter à leur rentrer dedans (euh, la voiture?) tout en évitant les obstacles (autres véhicules en sens inverse, policiers, etc. ) et en récupérant des bonus (turbo, invincibilité) bien débiles et fidèles au clip d’origine.
C’est fun, c’est super beau (tout en pixel art), et super fluide. Le jeu est parfaitement dans la continuité du clip tant au niveau de la réalisation technique que de l’esprit. Je vous encourage tout comme moi à foncer acheter cette petite perle vidéoludique en cliquant sur l’image juste en-dessous. Pour info j’ai un iPod Touch depuis 2 ans et c’est le 1er jeu que j’achète sur l’app store, c’est dire mon enthousiasme pour “Truckers Delight: Episode 1“.
A ma grande surprise, ce matin en consultant ma messagerie électronique j’ai pu découvrir une invitation de Blizzard à la beta du très attendu STARCRAFT II: WINGS OF LIBERTY. Détail excellent, j’ai le choix entre les versions PC et MAC, je vais donc me ruer sur la version MAC pour voir comment il va tourner car mon iMac a déjà 2 ou 3 ans. Dans le pire des cas, j’aurai mon notebook 17,3” HP en Windows 7.
Je n’hésiterai pas à vous faire partager mes impressions très prochainement.
Voila, ne cherchant aucunement à concurrencer les blind tests de Gameblog, je me lance aujourd’hui en vous proposant le deuxième challenge audio (d’une longue série) de glouton barjot. Vous le saviez déjà, le jeu vidéo est l’une de mes passions au même titre que les bandes originales (O.S.T./soundtracks) de films, de séries et même… de jeux vidéo.
Cela tombe bien, je vous propose d’identifier les 20 titres mystère suivants, en vous demandant de quel jeu vidéo ils sont tirés et si possible (histoire de démontrer quel incroyable gamer mélomane vous êtes), de préciser l’artiste et/ou le nom du morceau. J’ai fait le choix de vous proposer les morceaux dans leur intégralité, un simple extrait ne rendant pas honneur à l’indéniable qualité de ces titres.
N’hésitez pas à faire part de ce blind test à vos amis pour tester leurs connaissances.
Bonne chance
Les réponses sont visibles en cliquant juste en dessous sur le lien “Show“,
Titre Mystère #01: Housuke Odoroki ~ A New Trial is in Session!
Artiste/compositeur: Tokyo Philharmonic Orchestra/Toshihiko Horiyama
Jeu: Gyakuten Saiban/Phoenix Wright
Plateforme: Nintendo Game Boy Advance/Nintendo DS
Titre Mystère #02: Ken Stage
Artiste/compositeur: Hiroaki Yoshida
Jeu: Street Fighter II
Plateforme: Arcade/Super Nintendo et beaucoup d’autres consoles
Titre Mystère #03: Shenmue ~Sedge Tree~
Artiste/compositeur: T. Watanabe, R. Iuchi/Yuzo Koshiro
Jeu: Shenmue
Plateforme: Sega Dreamcast
Titre Mystère #04: Track 7
Artiste/compositeur: ???
Jeu: Real Bout Fatal Fury/Real Bout Garou Densetsu
Plateforme: Neo Geo CD
Titre Mystère #05: Theme of Star Fox
Artiste/compositeur: Tokyo City Philharmonic Orchestra
Jeu: Star Fox/Star Wing
Plateforme: Super Nintendo/Super Famicom
Titre Mystère #06: The Great Gianna Sisters
Artiste/compositeur: Machinae Supremacy
Jeu: The Great Gianna Sisters
Plateforme: Amiga
Titre Mystère #07: Water Music
Artiste/compositeur: Kanagawa Philharmonic Orchestra
Jeu: Donkey Kong Country
Plateforme: Super Famicom/Super Nintendo
Titre Mystère #08: Street Fighter Alpha 2 Kasugano (BootyMix)
Artiste/compositeur: Marc Star, Alfh Lyra
Jeu: Street Fighter Zero 2/Street Fighter Alpha 2
Plateforme: Arcade, Sega Saturn, Sony PlayStation
Titre Mystère #09: Theme~Space Warrior Samus Aran’s Theme~Big Boss BGM~Ending
Artiste/compositeur: Tokyo City Philharmonic Orchestra
Jeu: Super Metroid
Plateforme: Super Famicom/Super Nintendo
Titre Mystère #10: Track 27
Artiste/compositeur: ???
Jeu: Real Bout Fatal Fury Special/Real Bout Garou Densetsu
Plateforme: Neo Geo CD
Titre Mystère #11: Zanzibar Breeze
Artiste/compositeur: Mutsuhiko Izumi, Takahide Ayuzawa/Mutsuhiko Izumi
Jeu: Metal Gear Solid 2
Plateforme: Nintendo Entertainment System
Titre Mystère #12: Secure Place
Artiste/compositeur: ???
Jeu: Bio Hazard/Resident Evil
Plateforme: Sony PlayStation, Sega Saturn
Titre Mystère #13: Open Your Heart
Artiste/compositeur: Crush 40/Jun Senoue, Kenichi Tokoi
Jeu: Sonic Adventure
Plateforme: Sega Dreamcast
Titre Mystère #14: Super Mario World Theme
Artiste/compositeur: Tokyo City Philharmonic Orchestra
Jeu: Super Mario World
Plateforme: Super Famicom/Super Nintendo
Titre Mystère #15: Geki! Teigoku Kagekidan (Kai)
Artiste/compositeur: Teigoku Kagekidan
Jeu: Sakura Taisen 2/Sakura Wars 2
Plateforme: Sega Saturn
Titre Mystère #16: The Legend Of Zelda Medley
Artiste/compositeur: Shinji Hosoe/Koji Kondo, Ryuichi Katsumata
Jeu: The Legend of Zelda
Plateforme: Nintendo consoles
Titre Mystère #17: Phantasy Star III Main Theme
Artiste/compositeur: Shintaro Ito, SEGAROCKS/Izuho Takeuchi
Jeu: Phantasy Star III
Plateforme: Sega Mega Drive
Titre Mystère #18: Drake’s Elegy
Artiste/compositeur: Greg Edmonson
Jeu: Uncharted: Drake’s Fortune
Plateforme: Sony PlayStation 3
Titre Mystère #19: Opening Theme
Artiste/compositeur: ???
Jeu: Soul Edge
Plateforme: Sony PlayStation
Titre Mystère #20: Subarashii Shin Sekai Early Instrumental Version
Artiste/compositeur: Yuzo Koshiro
Jeu: Namco X Capcom
Plateforme: Sony PlayStation 2
C’est totalement subjectif mais la ludothèque de la Wii me laissait de plus en plus indifférent, me faisant abandonner la console au profit de ses 2 concurrentes HD. Et puis la sortie de Monster Hunter Tri m’a fait revenir sur mes positions, en attrapant dans le même temps Muramasa: The Demon Blade & Tatsunoko V.S. Capcom, 2 des rares bons titres sortis depuis 2009 sur la machine de Nintendo.
Et me voila parti, à ma plus grande surprise et manette classique pro en mains, super enthousiaste à chasser du dragon, parcourir un Japon médiéval fantastique et/ou mettre une raclée à Casshan en incarnant Frank West. Qui a dit qu’il n’y avait plus de jeux sur Wii? moi? ah bon… En tout cas, même si les graphismes de Monster Hunter Tri piquent un peu les yeux (contrairement aux 2 autres jeux cités dans ce billet) et que le gameplay est un peu rigide, la partie de chasse est hautement addictive.
Cet article est un mélange de plusieurs billets publiés sur mon ancien blog, blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Bonne lecture
Voilà un jeu que dont je suis fan depuis toujours mais dont je n’attendais aucun portage sur nos machines actuelles croyant le genre mort et enterré (LucasArts se faisant tellement discret ces dernières années, surtout qu’ils avaient refourgué le “point’n click” à Telltale Games pour la licence Sam & Max). Bref, l’annonce soudaine d’un portage me fit sauter de joie… puis me fit couler quelques sueurs froides dans le dos à la vue de la nouvelle charte graphique du remake HD. Mais après avoir acheté, joué et terminé “The Secret of Monkey Island™ EDITION SPECIALE” sur le Xbox Live, soyez rassurés, c’est du tout bon.
Même si la refonte graphique est franchement inégale (et je persiste à ne pas y adhérer) mais justifiée et cohérente avec le look des nouveaux épisodes Tales of Monkey Island, LucasArts a génialement remis au goût du jour (et fidèlement) le doublage de tous les dialogues et la bande son, mais plus que tout a permis par la simple pression de la touche select de la manette de basculer à tout moment du remake HD au jeu original en 16 couleurs (CGA, EGA, VGA, etc. ). Ce mode fonctionne à merveille, mais malheureusement l’édition classique est incompatible avec les doublages, la nouvelle bande son et les sous-titres français. Un petit point négatif vite oublié face à un jeu si riche, drôle, incroyablement bien écrit tant au niveau de l’originalité du scénario et des dialogues. Il est rare aujourd’hui, qu’un jeu vaille parfaitement son prix, à savoir 800 points Microsoft.
Je ne vais pas vous mentir, je n’ai pas arrêté d’alterner entre les modes classique et “remaké” car j’estime que graphiquement le jeu a bien vieilli et que les pixels d’origine et leur animation ajoutent un humour visuel supplémentaire (à contrario, LucasArts aurait pu plus travailler l’animation dans le jeu HD). Pour conclure, je vous ai mis ci-dessous les premiers succès que j’avais débloqué et rajouté les 5 derniers “secrets” qu’il me restait à obtenir (pour vous donner un petit coup de main). Depuis j’ai réussi à apprendre toutes les insultes à Guybrush Threepwood.
Info de dernière minute: voici les premières images du remake HD de Monkey Island 2: LeChuck’s Revenge SPECIAL EDITION via cet article de Gameblog.fr
Cruel dilemme en écrivant cet article pour choisir la bannière à thème appropriée. Pourquoi ça? parce que je viens de recevoir God of War Collection, compilation re-masterisée en haute définition des 2 premiers épisodes de la franchise (originellement sortis sur Playstation 2, mais aujourd’hui stockés sur un blu-ray pour la Playstation 3). Alors, rétrogaming ou gaming? un peu des deux en fait, mais dans tous les cas deux jeux vraiment indispensables pour joueurs en manque d’action (et d’un peu de réflexion, mais alors juste un peu).
Et cette compilation arrive à point nommé puisque j’ai fini il y a quelques jours God of War III et je ne m’en suis pas encore remis (bon dieu mais quelle claque!). Comme je le disais dernièrement sur un forum après écoute d’une interview de David Cage (non je ne me cite pas par mégalomanie, mais par paresse de re-argumenter ), “God of War III ne révolutionne rien mais est une vraie bombe H de sensation de puissance manette en mains, d’aventure épique“, loin de certaines déclarations prétentieuses et dénigrantes du créateur d’Heavy Rain.
Le fait de n’avoir pu trouver de Pandora’s Box n’est qu’un lointain (mauvais) souvenir, car je souhaitais principalement en faire l’acquisition pour ce God of War Collection en version française (pis aussi les 3 OST, la boîte, l’album Heavy Metal… rien d’important en fait) que j’ai pu trouver grâce à Linanounette qui m’a proposé l’adresse du site VideoGamePlus.ca sur ce lien. Une super opportunité pour environ 26 euros frais de port inclus, et des textes et voix bien françaises (et pas québécoises).
Après avoir inséré la galette dans la Playstation 3 et lancé le jeu, un menu propose de choisir entre les 2 épisodes ainsi que des contenus bonus de GOW II (mais visibles uniquement dans l’option vidéo du menu XMB… ne me demandez pas ce que ça veut dire). Soyez rassurés, tous les bonus/trésors à débloquer dans chaque épisode sont toujours présents, et en commençant une partie avec Kratos dans les deux jeux le constat est rapide: c’est toujours ultra nerveux et ça a bien vieilli même si le 2ème épisode (plus récent) est beaucoup plus beau. Sur la photo du dessous, de gauche à droite vous pouvez découvrir Kratos dans le 1er puis 2ème épisode, ça reste bien détaillé pour des jeux Playstation 2.
Bien qu’ayant déjà fini ces jeux sur la Playstation 2 à leurs sortie officielle, je vais me faire un plaisir certain à les terminer à nouveau en HD entre 2 parties de Final Fantasy XIII (PS3) et de Sonic & SEGA All Star Racing (qui m’éclate vraiment sur Xbox 360).
Bon, même si j’en veux à mort à ce type qui m’a refourgué une statue de Link grandeur nature qui m’oblige à manger debout dans ma cuisine, faute de place (non non, je déconne Jaeg ), ce gamer bordelais vient de se lancer à corps perdu dans l’aventure blog avec tout ce que ça implique comme diminution de temps de vie sociale. Mais comme Jaeg est un mec cool, il parlera avec passion de jeux vidéo, de voyage et de plein d’autres choses via ses billets d’humeur. Donc n’hésitez pas à aller faire un tour sur Jaeg’s life: some kind of gamer.
Tout d’abord un grand merci à l’équipe du Micromania de Rochefort qui malgré la rupture définitive du Guide Collector Final Fantasy XIII, a réussi à m’en trouver un exemplaire à 25,99 euros. Oui vous avez bien entendu, 25,99 euros et pas 85,99 euros comme on peut le constater généralement sur ebay ou amazon. C’est donc une victoire personnelle de ne pas avoir cautionné tous ces enf..rés de voleurs spéculateurs, qui dans le meilleur et le plus naïf des mondes (le mien!) resteraient avec leurs stocks de Guide Collector Final Fantasy XIII à 85,99 euros sur les bras. Mais soyons réalistes, quelques gamers passionnés au bout du rouleau finiront par craquer et payer le prix fort.
Ayons une pensée pour eux…
Plus égoïstement je suis super content d’avoir mon exemplaire, qui va bien m’aider pour découvrir les subtilités et autres mystères dispersés dans ce 13ème Final Fantasy. Car soyons honnêtes, aujourd’hui je sais que je ne pourrai consacrer 150 heures de jeu pour un seul et même RPG (aaah… Final Fantasy VII), j’ai trop de titres à faire et/ou finir qui s’empilent sur mes étagères. Donc ce guide est providentiel, en plus d’être magnifique.