Splatterhouse: de la tête aux pieds
J’imagine déjà vos réactions à mon sujet du genre que je deviens un peu “borderline” avec ma passion pour le jeu vidéo (et pour la licence Splatterhouse). Mais non je vous rassure tout de suite, le colis que je suis allé récupérer à la Poste n’était pas pour moi, mais pour mon garçon… eh oui. Je ne suis pas “fashion (gaming) victim” au point de mettre des chaussures arborant une licence de jeu vidéo (un T-shirt par contre… ), surtout quand elles sont décorées de taches de sang et de crânes (et même si j’adore le cinéma de genre).
Bref, mon garçon de 14 ans pratiquant skate & surf (y compris au collège comme option sport) depuis quelques années, est sensible aux marques chères à l’univers des amoureux de planche à roulettes. Et quand il a vu que la licence Splatterhouse avait été reprise dans un partenariat entre Globe et Namco-Bandai pour concevoir une paire de chaussures sobrement nommée “Namco X Globe Splatterhouse Superfly Hi”, eh bien il les a voulu… ça tombait bien, celles qu’il avait aux pieds étaient dans un sale état (mais je me demande s’il n’a pas volontairement et artificiellement accéléré leur déchéance).
Voila, la boucle (de chaussure oh oh) est presque bouclée, sauf que je n’ai pas encore autorisé mon garçon à jouer à Splatterhouse sur Xbox 360, je sais je suis un père tyrannique. Faut dire que Signes et le premier épisode d’ X-files lui fichent la trouille alors je préfère y aller progressivement: d’abord les classiques du cinéma fantastique/de genre (Alien, Jaws, Terminator, The Thing, Robocop, etc. ), puis plus tard les jeux vidéo (Silent Hill 2, Forbidden Siren, Splatterhouse, Resident Evil 4, Dead Space, etc. ). C’est que dans un jeu on n’est plus simple spectateur, on est actif et ça change tout.