Il y a quelques jours de cela, l’apparition de “Pac-Man Championship Edition DX” sur le portail de téléchargement XLA (Xbox Live Arcade) m’a intrigué. Pas forcément convaincu d’un énième remake de Pac-Man mais tout de même curieux, j’ai téléchargé la démo jouable qui ne proposait qu’un seul mode où il fallait faire le maximum de points en 5mn (et survivre). Eh bien ces seules 5 minutes chrono ont suffit à me convaincre de recommencer une deuxième fois la démo, puis une troisième, une quatrième… l’air de rien ça faisait presque une heure que je m’éclatais comme un petit fou, et je finis par me demander s’il ne valait pas mieux que j’achète le jeu complet pour 800 points Microsoft.
J’avais complètement ignoré la version C.E. (Champion Edition) sortie en 2007, mais il faut croire que les ré-aménagements graphiques et sonore de l’édition DX m’ont tapé dans l’oeil. Bref un vrai coup de cœur avec de nombreux modes de jeux incitant le joueur à faire du scoring grâce aux classements, des tas de skins disponibles pour choisir l’apparence du décors (des fantômes comme de Pac-Man), des niveaux bien pensés et parfois vicieux, des musiques vraiment entrainantes et tout un tas de challenges. Pour ces derniers, vous pouvez à chaque fois tenter de battre votre record ou les temps impartis (allant d’1mn au marathon de 10mn non stop et jusqu’à épuisement de vos crédits).
Le gameplay est juste parfait, avec des petites mises à jour comme ces bombes limitées en nombre expulsant tous les fantômes alentours, ou ce ralentissement de l’image (presque un freeze ou “bullet time” à la Matrix) d’une fraction de seconde quand notre Pac-Man est presque au contact d’un fantôme, laissant une chance de trouver une autre direction pour s’échapper. Mais malgré cela, il vous faudra faire preuve de dextérité car en vitesse 40 ça va déjà très très vite car plus vous progressez dans le jeu sans vous faire toucher plus ça accélère. Bref un excellent jeu et une très bonne surprise, d’ailleurs j’y retourne de suite car j’ai débloqué 10 succès sur 12.
Oh et puis encore une petite vidéo pour le plaisir, histoire que vous voyez la parfaite alchimie de la refonte graphique et sonore du jeu, et de ce gameplay vieux comme le monde (vidéoludique) mais parfaitement ciselé…
En créant ce billet, je me suis posé une question de la plus haute importance: choisir entre les bannières “Gaming” et “Rétrogaming”. Je sais ce n’est pas super intéressant, mais je suis tombé face à un paradoxe, à savoir de vieux jeux adaptés (voire “remakés” pour l’un des deux) pour tourner sur Nintendo DS et Xbox 360. J’ai finalement pris la décision qui me paraissait la plus pertinente.
Avant de revenir du Japon, eegbor a pris le temps de m’acheter dans une boutique TRADER les jeux “Tengai Makyô Ziria Haruka naru Jipang” sur Xbox 360 (remake 3D de la version PC Engine) et “Tengai Makyô II Manji Maru” sur Nintendo DS (portage de la version PC Engine). Deux jeux nippons pas évidents à trouver en occident du fait de leur non commercialisation en dehors du Japon et d’être des RPG entièrement en kanjis et kanas. Et dieu sait qu’à l’annonce de ce jeu Xbox 360 (zoné de surcroît), j’ai espéré que la licence soit enfin exportée et traduite aux États Unis et en Europe. L’espoir fait vivre…
Premières impressions pour le nouvel épisode d’une licence incontournable de la machine de Sony: Final Fantasy XIII. Premier constat et pas des moindres, après avoir inséré le bluray et lancé le jeu, pas d’installation sur le disque dur. Une très très bonne surprise quand on sait que la majorité des titres PS3 requièrent généralement plusieurs minutes d’installation. De plus les temps de chargement m’ont paru presqu’inexistants enchaînant cinématiques et phases de jeu avec une rapidité déconcertante.
Et le jeu dans tout ça? eh bien la beauté des images aide à l’immersion car c’est vraiment très beau, et parce que j’en suis à seulement quelques heures de jeu je ne peux me prononcer sur la réelle qualité du scénario et la profondeur des personnages. Ce qui est sûr, c’est que tout me fait penser à un Final Fantasy X boosté graphiquement ainsi qu’aux mélodies étrangement familières (de ma bouche c’est un compliment). Je me prépare à être confronté à des protagonistes tantôt charismatiques et tantôt à la personnalité (ou la punchline) irritante, mais c’est aussi ce qui fait le “charme” des derniers épisodes de la licence. Les combats sont dynamiques et les environnements bien que fermés (”couloirs” souvent décriés) ne me gênent pas plus que ça car c’est un leitmotiv de la franchise.
Bref pour l’instant je pars sur un premier bilan positif, plus que je ne l’imaginais. Dans tous les cas, c’est un achat indispensable pour tout fan de RPG/jeu d’aventure, qui plus est disponible sur PS3 comme sur Xbox 360.
Les mois de janvier & février ont été submergés par la sortie de bons (voire très bons titres dont des exclus Xbox 360), en passant par Darksiders, Bayonetta, Mass Effect 2 ou Bioshock 2. Ma console Microsoft ayant soudainement pété une durite et n’étant plus sous garantie, j’ai craqué pour l’investissement d’un modèle Elite équipé d’un disque dur de 120 Go et plus sexy en noir. Et puis suivant les conseils d’un ami j’ai quand même tenté le coup avec le S.A.V. de Microsoft pour ma bonne vieille Xbox 360 Premium défunte.
Incroyable, en moins de deux semaines j’ai reçu via UPS une console toute neuve ainsi qu’une carte d’Xbox Live Gold d’1 mois. Y’a pas à dire, Sony devrait prendre prendre de la graine sur la réactivité du S.A.V. de Microsoft pour traiter ses consoles défectueuses. Je me retrouve donc avec 2 consoles et je ne vous cache pas qu’une idée saugrenue m’a effleuré l’esprit: investir dans un petit écran full HD pour faire de la 360 dans mon bureau (en laissant le modèle Elite sur la grande TV du salon).
Et puis juste après avoir fini le mode solo de Modern Warfare 2, la suite de Mass Effect est sortie me faisant de l’oeil avec son édition collector aguicheuse comme pas permis, et en rupture de stock définitive dès le premier jour (merci les magasins FNAC & Game). Il m’aura fallu environ une semaine (et beaucoup de chance) après mon coup de gueule pour trouver l’édition tant convoitée à son prix d’origine, les spéculateurs en tout genre ayant profité de la rareté du coffret français pour proposer des prix prohibitifs sur ebay.
Et parce que je suis faible, craquage également pour l’édition collector de Bioshock 2 (décidément que des suites!), d’une part pour l’univers du jeu (je suis en train de me refaire le 1er épisode pour me rafraîchir la mémoire) mais également pour son contenu vraiment bien pensé dont un magnifique gros artbook en français et le soundtrack en CD (et vinyle!). De quoi m’occuper avant la sortie de Heavy Rain sur PS3 (dont j’ai refait 3 fois la démo jouable), God of War 3 et Final Fantasy XIII.
Alors oui, les mauvaises langues diront qu’avant d’avoir un très bon S.A.V. Microsoft devrait faire des consoles qui tombent moins souvent en panne. Mais suite à un très bon conseil de mon vieux pote Pastaga Soldier, et malgré le fait que je vienne d’investir dans une Xbox 360 Elite, j’ai téléphoné au service après-vente de la bobox. Verdict: ma console (pourtant achetée en décembre 2005) va être récupérée par UPS pour être échangée gratuitement contre une neuve. Allez hop, une 360 dans le salon et pis une dans le bureau. Elle est pas belle la vie?
J’en parlais dans ce billet, les éditeurs sont assez doués pour créer l’addiction chez les joueurs via des éditions “spéciales” (dites collector) de leurs jeux. Vous vous en doutez, je suis tombé dans le piège de l’édition collector de Mass Effect 2 sur Xbox 360, mais je ne trouvais pas nécessaire de la pré-commander 3 semaines avant la sortie officielle. Cruelle erreur…
Le 28 janvier, jour de la sortie du jeu, après mure réflexion je craque et me convaincs d’investir dans l’édition collector exclusive aux magasins FNAC et GAME. Je vais sur leur site web respectifs et je constate un gros “rupture de stock” chez la FNAC, et carrément la disparition du produit chez GAME. Par désespoir je me rends sur plein d’autres sites de vente de jeux vidéo, mais sans succès, cette édition était bien exclusive à deux enseignes.
Et puis là, dernier espoir je me redirige vers ebay m’attendant au pire pour constater à quel point j’avais vu juste: certaines personnes avaient pressenti la rupture et avaient spéculé en achetant des éditions collector pour les revendre à des prix prohibitifs (voir l’image du dessous). Même si mon coup de gueule est d’une importance quasi nulle face à l’horreur qu’ont connu dernièrement les Haïtiens avec ce terrible tremblement de terre, impossible pour moi de cautionner le marché parallèle de ces spéculateurs/ebayeurs. C’est un hold-up pur et simple envers les passionnés, procédé très courant avec les places de concert limitées en nombre (genre Mylène Farmer), achetées en masse et revendues à prix d’or. Le fan doit payer le prix fort ou se priver sans aucune autre alternative.
J’ai donc écumé le Net à la recherche de l’édition du jeu tant convoité pour finalement tomber sur un gars honnête (à moins qu’il l’ait volé) la vendant au prix d’origine magasin. Mais je pense avoir eu beaucoup de chance (dans mon malheur) car beaucoup de gamers ne feront pas l’acquisition du Saint Graal, que j’espère recevoir courant semaine prochaine pendant mes vacances.
A qui sait attendre le temps ouvre ses porte… je devrais dire “à qui sait attendre, la Xbox 360 ouvre le tiroir de son lecteur”. Joli proverbe qui va me permettre de tuer du terroriste ultra-nationaliste dans une super production aussi explosive que du Michael Bay/Jerry Bruckeïmer. Ben ouais, The Rock reste un des films honteux pour lequel j’assume un certain plaisir coupable.
J’ai une femme “gameuse” assez exceptionnelle. Malgré une mauvaise appréciation de la console sur laquelle je souhaitais jouer à Modern Warfare 2, elle m’a dégoté l’édition collector Prestige pour la machine de Microsoft. Tel un gamin (qui a déjà “joué” avec de vraies night googles quand il était militaire) j’ai ouvert délicatement la boîte, en prenant le soin de découvrir progressivement tout son contenu.
Le pack ouvert laisse apparaître 3 boîtes contenant:
les night googles
la tête factice pour poser les lunettes (en 4 parties à assembler)
l’édition collector “steelbook” du jeu intégrant également l’artbook
Et force est de constater que les p’tits gars d’Activision/Infinity Ward n’ont pas menti sur la marchandise, cette édition aurait été impensable il y a quelques années. Vous imaginez, un rêve qui devient réalité: équiper mon chien Dexter de night googles (surveillez attentivement le blog pour la mise à jour de nouvelles photos). Je sais, même mon chien est exceptionnellement le chien le plus “gamer” de la toile, et qui plus est addict aux films de SWAT et de Steven Seagal.
Il ne me reste plus qu’à finir le premier Modern Warfare cette semaine pour enchaîner avec sa suite dans la foulée, et vu qu’une petite semaine de vacances se profile à l’horizon, ma 360 risque de chauffer du matin au soir…
Bon, ce n’est plus un secret pour personne, je suis actuellement (et depuis 1 mois) en plein trip Lost: Les disparus, et je me demande encore comment j’ai pu passer à côté de cette série pendant autant d’années. Bref, j’avais connaissance de Lost: Via Domus un jeu très médiocre (à la lecture des tests) édité par Ubisoft sur PS3/Xbox 360/PCcd-rom, mais finalement sympathique pour le fanboy si acheté à petit prix. Et bien voila, j’ai trouvé mon bonheur sur la baie, histoire de prolonger l’aventure de manière interactive et (peut-être) d’en apprendre un peu plus car je suis à 4 épisodes de la fin de la saison 3 avant d’enchaîner sur la suivante.
Et puis en suivant les conseils de PAC et le désidérata de ma wishlist de jeux japonais Mega CD, j’ai craqué sur Final Fight CD (le beat’em all par excellence sur la machine) et Night Trap (pour amateur de fantastique Z et de donzelles en petite culotte) pour vraiment pas cher.
J’ai déjà dû vous le dire, j’adore les jeux musicaux. J’ai même acheté récemment le très “Hannah Montaniesque” Band Hero juste pour jouer “Let’s Dance de David Bowie” (moi qui suis fan de metal, de rock et de Guitar Hero). Et aujourd’hui l’espace culturel du magasin dans lequel je suis responsable faisait 25% de remise sur le rayon jeu vidéo, l’occasion pour moi d’utiliser mon bon d’achat de 70,00 euros et d’investir dans ce “DJ Hero” qui me faisait de l’œil depuis sa sortie (surtout grâce aux tests très positifs), mais dont le gameplay très original refroidissait mon enthousiasme.
Je vous ferai part très prochainement de mes impressions
Il me fallait trouver une catégorie d’article un peu fourre-tout me permettant d’évoquer en une seule fois des sujets à la thématique diverse, mais surtout de trucs franchement anecdotiques. Donc voila, j’inaugure officiellement la catégorie “3615 my life” avec une nouvelle bannière pour identifier rapidement la catégorie (remarquez l’originalité de la bannière).
Je commence les hostilités avec fierté puisque dans la même semaine (de vacances) j’ai terminé “Brütal Legend” sur Xbox 360 et “Uncharted 2: Among Thieves” sur PS3, maintenant il me reste à les finaliser à 100% en y rejouant pour obtenir tous les succès sur “Brütal…” et au moins finir de débloquer tous les bonus (skins, armes, etc.) pour Uncharted 2.
Et puis quelques commandes rétrogaming ne concernant que des jeux PC-Engine/SuperGrafx dont 1941: Counter Attack (qui me permet de clôturer ma collection de jeux SuperGrafx), D&D Order of the Griffon (un jeu exclusif US), Magical Chase (un indispensable très rare), Gekisha Boy (véritable o.v.n.i. vidéoludique) et Star Parodia (excellent titre qui m’est offert avec 2 jeux).
On peut être gamer et… bricoleur (même si c’est la dernière chose qui me procure du plaisir). La semaine dernière j’ai passé plusieurs jours avec ma femme à me détruire le dos et à solliciter des muscles de mon corps dont j’ignorais l’existence, pas en faisant ce que vous vous imaginez bande de pervers mais en montant une terrasse en bois pour profiter du beau temps (l’été prochain peut-être). Comme nous avions déjà une terrasse en béton il a fallu que je la perce pour fixer les lambourdes (les pièces de bois sur lesquelles on visse les lames de bois), je ne vous raconte pas les courbatures pendant une semaine pour un grand gaillard comme moi d’1m92.
Quelques chiffres histoire de décrire mon calvaire:
36 mètres carré de terrasse en bois
52 lames & 19 lambourdes en bois
1040 vis vissées dans les lames
57 trous percés dans le béton et autant de chevilles/vis enfoncées