Harry Brown

By neocalimero, 18 janvier 2011 20:47

ban-cinephage

Il y a des films qui sortent de nulle part et dont on n’attend pas grand chose. Ce fut un peu le cas pour Harry Brown, film dont j’avais découvert le nom sur de magnifiques affiches postées sur le site d’Empire pour finalement lire une alléchante preview sur le blog d’Impact. C’était en septembre 2009 (je sais j’ai une bonne mémoire pour les trucs inutiles). Sauf qu’après le visionnage du trailer dépeignant une sorte de vigilante movie avec Michael Caine comme acteur principal, j’avais vraiment l’eau à la bouche. Et puis plus rien, aucune programmation envisagée pour une distribution dans nos salles françaises pendant plus d’un an… jusqu’au 12 janvier 2011.

Et puis ça y est, j’ai enfin pu passer 1h40 en compagnie de Harry Brown grâce au talent du réalisateur Daniel Barber, type que je ne connaissais pas à la filmographie quasi inexistante puisque Harry Brown est son deuxième long métrage. Bref, le “vigilante movie” est un genre casse-gueule selon comment il est traité, et pas très populaire auprès des commissions de censure et autres associations de classification des films par rapport à leur contenu. Le dernier en date m’ayant bluffé par sa réalisation et la qualité des acteurs est le tétanisant Death Sentance avec Kevin Bacon, film intelligent pour ses différents niveaux de lecture et pourtant radical et jamais politiquement correct. Pour Harry Brown, le personnage principal campé par Michael Caine va également perdre des personnes qui lui sont chères et reprendre les armes à 80 ans pour les venger.

Mais malgré un pitch somme toute assez simple, le film est riche en silences et non-dits évocateurs et Daniel Barber prend son temps pour filmer la peur de ses protagonistes retraités vivant dans une banlieue gangrénée par une délinquance juvénile armée et irrécupérable. C’est d’ailleurs le seul point négatif du film, tous les jeunes montrés à l’écran sont des crapules, et c’est bien dommage car ça en fait un film légèrement réac. Mais bon dieu, Daniel Barber est foutrement talentueux pour créer de l’empathie, filmer ses acteurs comme le décors qui les entoure. Malgré quelques scènes qui mériteraient d’être un peu raccourcies comme la scène chez le dealer (mais qui du coup prolonge un peu plus le malaise de la scène) et quelques effets gore numériques pas toujours bien intégrés, Harry Brown est une excellente surprise qui ne surpasse pas Death Sentance mais a le mérite de proposer quelque chose de différent. Vous remarquerez qu’à aucun moment je n’ai évoqué de comparaison avec l’extraordinaire “Gran Torino” autrement plus moral que “Harry Brown” et dans lequel Clint Eastwood n’est jamais responsable d’un jeu de massacre. Harry Brown est en tout cas un film à voir, un film assez jouissif porté par un Michael Caine magistral titillant notre mémoire de cinéphile en nous rappelant son talent intemporel dans Le Limier, Enfants de salauds ou Get Carter.

J’en profite pour vous conseiller une passionnante interview toute fraîche de Michael Caine par Arnaud Bordas et postée sur le blog de Rafik Djoumi. Indispensable. Et puis pour ceux qui ne connaissaient pas Harry Brown foncez voir cet excellent trailer.


Steve Purcell, papa de Sam & Max

By neocalimero, 17 janvier 2011 18:38

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Steve Purcell est très certainement un des responsables de mon intérêt pour les jeux d’aventure LucasArts. Il faut dire qu’au milieu des années 80, la technologie du moment ne permettait pas aux jeux vidéo des graphismes en haute définition, loin de là. Du coup les jaquettes et autres illustrations des boîtes de jeu avaient pour vocation première d’attirer le joueur, et même de l’aider à rentrer dans le jeu (souvent) pixellisé, très très loin des artworks de la boîte du jeu.

Steve Purcell rentre chez Lucasfilm Games en 1988 comme animateur, mais le projet de jeu pour lequel il est embauché est annulé. Steve Purcell aura donc pour nouveau projet le jeu “Zak McKracken and the Alien Mindbenders” pour lequel il sera responsable de tous les artworks ainsi que du visuel de la boîte du jeu. Son talent reconnu, il enchaînera sur les jeux suivants, collaborant pour les illustrations des boîtes de Maniac Mansion mais aussi sur des backgrounds de Secret of Monkey Island et Lechuck’s Revenge.

Mais la consécration viendra avec la sortie du jeu vidéo “Sam and Max Hit The Road” en 1992. Pour l’anecdote, Steve Purcell créa les personnages Sam & Max pendant sa jeunesse et les réutilisa pour  2 histoires publiées dans un comics juste avant d’être embauché chez Lucasfilm Games, soit en 1987. Après ses premières collaboration concluantes sur Maniac Mansion, Monkey Island et autres Indiana Jones and the Last Crusade il produisit encore quelques épisodes du comics Sam & Max y compris des histoires courtes pour “The Adventurer” (journal promotionnel gratuit de LucasArts). Steve Purcell, attaché à son duo leur fera faire des caméos dans beaucoup de jeux de l’éditeur et créera sur ordinateur une séquence de Sam & Max dans leur bureau pour que les programmeurs de Ron Gilbert se fassent la main sur le moteur SCUMM. Ce sera l’élément déclencheur pour que LucasArts propose à Steve Purcell de faire un jeu vidéo sur Sam & Max.

Steve Purcell collaborera encore quelques temps sur différents projets comme “Curse of Monkey Island” ou “Herc’s Adventure” pour finalement quitter LucasArts en 1995. Redevenu Freelance, il fera produire par Nelvana une série TV animée sur Sam & Max mais l’humour noir et la violence de certaines situations, pourtant indissociables de l’univers de ces personnages, provoquera des protestations de ligues de parents qui imposeront à la série un ton politiquement correct. Par la suite Steve Purcell travaillera sur différents projets chez Industrial Light & Magic liés à Frankenstein et Monkey Island, mais ces derniers seront avortés et certains travaux (parait-il) réutilisés frauduleusement pour le film “Van Helsing”.

Aujourd’hui Steve Purcell travaille chez Pixar (sa première collaboration fut sur le film Cars) mais est toujours illustrateur freelance. Il a également récupéré en 2004 les droits de Sam & Max qui étaient détenus partiellement par LucasArts (qui fit avorter la suite de Sam & Max Hit The Road), et a ainsi pu produire avec Telltale Games plusieurs séries de jeux déclinés en 3 saisons réparties sur 16 épisodes. Steve Purcell réalisera également pour Telltale Games une illustration pour la nouvelle série “Tales of Monkey Island”, la boucle est bouclée. Mais il garde toujours l’espoir de produire un jour un long métrage d’animation sur Sam & Max, peut-être quand Pixar créera une section destinée à l’humour underground. Wink

Quelques liens utiles:

Ludographie sélective de Steve Purcell chez LucasArts:

  • 1988: Zak McKracken and the Alien Mindbenders (artwork)
  • 1989: Pipe Dream (artwork)
  • 1989: Indiana Jones and the Last Crusade: The Graphic Adventure (animation, artwork)
  • 1990: Maniac Mansion (artwork)
  • 1990: Loom (animation, graphics, artwork)
  • 1990: The Secret of Monkey Island (graphics, artwork)
  • 1991: Monkey Island 2: LeChuck’s Revenge (animation, graphics, artwork)
  • 1993: Zombies Ate My Neighbors (artwork)
  • 1993: Sam & Max Hit the Road (design, graphics, artwork)
  • 1994: The Horde (artwork)
  • 1997: Herc’s Adventures (artwork)
  • 1997: The Curse of Monkey Island (artwork)

La petite commande du jour

By neocalimero, 16 janvier 2011 16:42

ban-culture vidéoludique

Les soldes ont débuté dans ma région depuis 4 jours mais je n’ai rien trouvé de vraiment intéressant. Cependant, ça ne m’empêche de me faire plaisir et de dénicher sur le Net quelques trucs bien sympa dont “ROGUE LEADERS: The Story of LucaArts“, magnifique ouvrage de 250 pages écrit par Rob Smith narrant (et illustrant copieusement) la genèse du studio papa des meilleurs jeux d’aventure graphique jamais conçus. Je le recherchais depuis un moment pour la mine d’or qu’il renferme sur la période de l’histoire de l’éditeur m’intéressant le plus: les années Point’n Click.

Et puis, parce que j’apprécie énormément le jeu Super Meat Boy! développé par les p’tits gars talentueux du studio Team Meat, à l’annonce de la disponibilité d’un soundtrack officiel du jeu j’étais obligé de mettre la main au portefeuille. Cet excellent jeu, conçu par un studio indépendant n’est disponible que sur des plateformes de téléchargement (Xbox Live, PlayStation Network, Steam), donc quand il y a moyen d’aider financièrement la Team Meat pour développer un nouveau jeu aussi bon, je n’hésite pas à acheter le soundtrack de Super Meat Boy! proposé dans un magnifique digipack double CD (et pas un album dématérialisé) dédicacé par son compositeur Danny Baranowsky. Et ça, c’est vachement bien. Wink

Splatterhouse: le retour du press kit

By neocalimero, 14 janvier 2011 17:26

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Il y a quelques temps, je vous avais concocté un billet sur le remake next gen de Splatterhouse et du press kit que j’avais reçu. J’étais content de mon acquisition, jusqu’à ce que je réalise que mon press kit était comment dire… reconstitué. Le jeu inclus sous blister n’était pas le jeu d’origine (devant arborer un bandeau “promotionnel” ), il manquait le DVD d’assets ainsi qu’une lettre accompagnant le Tshirt. Bref, je m’étais fait avoir.

Et puis à force d’investigations, j’ai réussi à trouver un autre press kit mais version PlayStation 3 enfin complet (du moins presque car il manque encore la lettre). Gros point positif, je l’ai acheté à un anglais pour moins cher que le jeu commercial, et ça m’a permis de revendre mon exemplaire incomplet (mais en précisant à l’acheteur les pièces manquantes, tout le monde n’est pas malhonnête).

Du coup, à moi le jeu promotionnel de Splatterhouse sur PlayStation 3 ainsi qu’un nouveau numéro pour ce press kit: 135/666. Cependant j’aimerais bien savoir si ce nombre correspond à 666 exemplaires pour l’Europe ou au niveau mondial (sachant que le disque d’assets incluait les langues italienne, française et anglaise). Pour la lettre manquante, lettre expliquant l’utilisation du Tshirt et de la réalité augmentée, je vais encore devoir chercher un peu, mais une simple photocopie saura me satisfaire si je ne trouve pas mon bonheur.

J’ai donc pu profiter du contenu du disque d’assets ( voir l’image ci-dessus) incluant bandes annonces, images, dossier de presse et jaquettes (dans différentes langues). Un DVD que j’ai trouvé intéressant principalement pour les vidéos car elles compilent de nombreux trailers et/ou teasers, dont ceux des premières annonces officielles du développement du jeu. Du coup on peut réellement constater les changements opérés graphiquement (sur le logo, le personnage principal et les ennemis) avant que Namco Bandai insatisfait du résultat ne retire le développement du jeu au studio BottleRocket. Et puis il y a ce teaser filmé en prise de vue réelle. Wink

En plus des quelques vidéos de gameplay, et très nombreuses captures d’écran du jeu, on peut trouver 6 ridicules artworks, certes vraiment bien fichus, mais pas de quoi me rassasier et pourtant je suis vraiment fan de la personne qui a réalisé tous ces artworks (ils sont d’ailleurs certainement plusieurs). Je pense même faire quelques recherches dans un avenir proche car j’aimerais bien trouver un artbook sur le jeu.

Voila, le psychopathe que je suis, fan de Splatterhouse a finalement presque oublié sa déception passée pour le précédent kit presse malhonnêtement vendu pour complet alors qu’il n’en était rien. Mais le dieu des gamers m’a entendu et aidé dans ma quête vers le Saint Graal vidéoludique “gorement” bourrin. Ma patience a payé. Wink

Du SCUMM, du SCUMM, du SCUMM!

By neocalimero, 13 janvier 2011 20:37

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Même si j’ai  l’intention de vous proposer dans les prochains jours des billets plus complets (sur les jeux que je vais survoler ici), je mourrai d’envie de partager avec vous ce que j’ai reçu aujourd’hui dans 2 colis provenant des Etats Unis et d’Allemagne. Du rétrogaming à l’état pur, complet, en super bon état et même dédicacé. Voici les photos. Wink

  • Indiana Jones & The Fate of Atlantis (version US) complet
  • Monkey Island 2 (version US) complet dédicacé par Ron Gilbert
  • Labyrinth The Computer Game (version US) complet dédicacé par David Fox
  • Indiana Jones & The Last Crusade (version US) complet dédicacé par Ron Gilbert, David Fox et Noah Falstein

  • 2 pages de croquis préparatoires (et finalisés) pour le système anti-piratage de Sam & Max Hit The Road

Inutile de vous dire que je suis au Nirvana des vieux cons “rétrogameurs” avec cet arrivage, du pur concentré d’histoire (et de bonheur) vidéoludique. A très très vite sur le blog pour des billets sur chacun de ces jeux et les croquis qui méritent un joli cadre. In Love

Club Nintendo: coup de gueule

By neocalimero, 11 janvier 2011 19:28

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Le grattage de mes cartes a commencé et je n’en vois pas la fin, mais tout irait pour le mieux si je n’avais pas rencontré quelques petits soucis qui ont pris de l’ampleur minute après minute pour finalement me contraindre à stopper ma séance grattage. Je m’explique: un truc ne s’est pas amélioré au fil des années, gratter ces maudites cartes Nintendo est toujours aussi complexe car je ne sais pas de quoi est faite la peinture métallisée recouvrant les cartes mais il faut gratter comme un malade pour faire apparaître le code dissimulé dessous au risque d’abîmer la carte et la rendre inutilisable. C’est bien vu de la part de Nintendo, Big N grand seigneur nous offre des étoiles à dilapider dans un catalogue de cadeaux, mais si nous détruisons les cartes renfermant les précieuses étoiles, ben plus de cadeaux.

Bref, je galère comme pas possible pour gratter juste ce qu’il faut car je ne suis pas de nature violente, mais certaines cartes récalcitrantes m’obligent à insister. Je me fais quelques peurs mais arrive à utiliser tous les codes des cartes grattées jusqu’à ce qu’à la carte suivante. Je tape le code parfaitement visible, le valide sur le site, mais rien ne se passe. Je recommence plusieurs fois, mais pas de résultat, même pas de message d’erreur m’indiquant que j’avais tapé un mauvais caractère comme ce fut le cas quelques cartes auparavant. Je ré-essaye avec de nouvelles cartes et de nouveaux codes valides (car il m’en reste un paquet), mais sans succès. Je me retrouve donc bloqué à 5150 étoiles sans pouvoir en ajouter même en grattant d’autres cartes, car d’après mes calculs après avoir gratté toutes mes cartes je devrais obtenir 11500 étoiles.

Je me déconnecte, essaye via d’autres ordinateurs à la maison et non, toujours rien, impossible d’ajouter d’autres codes et étoiles sur mon profil. Autant vous dire que je suis dégoûté et vais patienter jusqu’à demain pour réitérer mon entreprise que je redoute périlleuse. Et ça, c’est un des côtés sombres de Nintendo que j’abhorre, dans mes pires cauchemars de gamer il y a ces maudites cartes à gratter, le online de la Wii, ses codes amis et son paramétrage WiFi. Et c’est un fan de Nintendo qui vous dit ça. Really Pissed

Club Nintendo français

By neocalimero, 10 janvier 2011 21:03

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Aujourd’hui j’ai décidé de prendre le temps de gratter toutes les cartes “Club Nintendo” en ma possession (consoles, jeux Wii & DS) et de les enregistrer dans mon compte sur le site officiel de Nintendo avant qu’il ne soit trop tard. Je vous dis ça parce qu’il y a quelques années, même si le site Nintendo français était honteusement vide en cadeaux par rapport à son homologue japonais j’avais décidé de faire la même chose avec mes jeux et consoles de l’époque (Gamecube, GBA, etc. ). Je m’étais retrouvé avec un peu plus de 10000 points VIP 24:7, un score honorable sauf que le site ne proposait à ce moment là que sonneries téléphoniques et fonds d’écrans. J’ai donc décidé de conserver mes points attendant l’occasion idéale.

Et puis le temps a passé, j’ai un peu négligé de visiter le site Nintendo français et Mario m’a baisé mes 10000 points VIP 24:7 parce que j’avais changé d’e-mail.  Nintendo m’a prévenu sur l’ancien e-mail que je n’utilisais plus qu’ils allaient ajouter en juillet sur leur site un “Club Nintendo” comme au Japon et qu’il fallait que je fasse une conversion de mes points pour ne pas les perdre. Bien sûr je n’ai pas vu cet e-mail à temps et je n’ai eu que mes yeux pour pleurer, n’ayant plus de points pour le destockage de Donkey Konga et les magnifiques statues de Twilight Princess.

Mais aujourd’hui, j’aurai ma revanche… J’ai rassemblé toutes mes cartes à gratter (d’ailleurs je n’en ai pas trouvé dans la boîte de la Wii du lancement de la machine) et j’ai repéré les articles susceptibles de m’intéresser. Logiquement je devrais me faire un pécule d’environ 10000 points minimum. A suivre… Wink

My gaming room: encore un peu de teasing

By neocalimero, 10 janvier 2011 20:21

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Ce soir, j’ai trouvé le temps de prendre quelques photos, un peu dans l’obscurité j’en suis désolé (j’ai pourtant mis un max d’iso en prenant les clichés) mais le truc sympa, c’est que cela rend les images un peu mystérieuses. Wink En fait l’évolution de ma pièce est un peu gelée, tout simplement parce que je n’arrive pas à trouver mon meuble idéal pour ma TV 32”. Un meuble que j’aimerais voir recouvrir tout le mur, adapté aux dimensions un peu atypiques du mur devant également accueillir consoles next gen et tous mes blu-rays, dvds & Laserdiscs. Donc pour l’instant de l’autre côté de ma pièce, j’ai 2 bibliothèques remplies à craquer de films, m’empêchant d’y ranger plein de jeux et consoles posés temporairement au sol.

Vous allez me dire que je suis perfectionniste, mais quitte à faire les choses pour du long terme, autant les faire bien. Du coup j’ai commencé à mettre aux murx quelques affiches originales et autres lithographies dédicacées sur les murs pour égayer un peu cette pièce. Le choix n’a pas été évident, mais quelque chose me dit que je changerai la déco murale de temps en temps histoire de ne pas négliger les autres cadres (ou affiches/lithos non encadrées) en ma possession. Wink

The King of collerette

By neocalimero, 6 janvier 2011 19:50

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Non mon chien Dexter ne s’est pas déguisé en entonnoir pour le nouvel an, il a juste pris comme résolution pour cette année 2011 de porter une collerette de la honte histoire de ne pas ralentir la cicatrisation des point de l’opération qu’il vient de subir. Mais je rassure tout de suite les fans de Dexter, passé les 2 premiers jours où il était complètement stone et amorphe, il a désormais repris du poil de la bête et se cogne dans tous les objets de la maison… y compris dans les tibias de son maître vénéré (moi). Dog

En attendant la visite du facteur…

By neocalimero, 5 janvier 2011 14:39

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Très prochainement, je devrais recevoir par la Poste quelques petites perles vidéoludiques, différents jeux Lucasfilm Games/ LucasArts anthologiques tels que Labyrinth, Indy 3 ou Monkey Island 2 tous dédicacés par Ron Gilbert, David Fox et Noah Falstein. Mais aussi 2 pages originales de croquis préparatoires pour le système anti-piratage du jeu Sam & Max hit the road. L’occasion pour moi de mettre à jour scummVM installé sur mon macbook, en y ajoutant quelques Point’n clicks, ce qui fait une belle petite liste d’excellents jeux tous en version française ou sous-titrés en français. Je vous conseille très fortement scummVM si vous êtes friands de vieux jeux d’aventure graphique.

Mais comme je vous le rappelais ici, scummVM n’est qu’un émulateur (livré sans jeu), pour les jeux vous devrez trouver sur la toile les titres vous intéressant devenus abandonware, téléchargeables légalement et gratuitement sur des sites tels que Lost Treasures FR/ Abandonware France. La ludothèque LucasArts n’étant pas abandonware le torrent sera votre meilleur ami ou comme pour moi, si vous possédez certains de ces jeux en CDrom PC, vous pourrez également utiliser leur contenu et l’exploiter directement avec scummVM. Wink

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