Mais le plus dur reste à venir, car tout le monde n’est pas Richard Clayderman… heu je voulais dire, Koji Kondo (geek un jour, geek toujours), et je sens que je vais délaisser certains de mes autres loisirs pour le magnifique objet et instrument qui m’a été livré aujourd’hui: un piano Yamaha modèle U3.
La bête est magnifique, bien qu’imposante et chose surprenante, au contact du clavier les gammes et mon vieux solfège me sont revenus à l’esprit (ainsi qu’aux doigts) très naturellement. Maintenant je n’ai plus qu’à me mettre au boulot.
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… car ma nouvelle salle de jeu commence à prendre forme, pour un pan de mur en tout cas. Il reste encore les bibliothèques de l’autre mur à remplir, ainsi que les cadres à mettre au mur et d’autres petites finitions. Puis le meuble face au canapé qui accueillera une télévision full HD en plus de l’actuelle télévision cathodique. La suite dans un prochain épisode.
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Alors que je suis actuellement dans la phase rangement de ma salle de jeu, plus je vide les cartons (dont certains fermés depuis 2 ans, Dreamcast, Saturn, Mega Drive, etc. ) et plus je me demande comment je vais faire tenir tous mes jeux dans la pièce. Bref, ça ne m’a pas empêché de recevoir un p’tit colis une enveloppe aujourd’hui contenant de la mémoire vive pour mon MacBook afin que ce-dernier plafonne à 4 Go (PC3-8500/1066 Mhz) au lieu des 2 Go d’origine.
Ce petit upgrade va me permettre de mieux faire tourner Starcraft 2 et de manipuler avec plus de confort logiciels de retouche photo et montage vidéo (ce qui va rendre mon “vieil” iMac jaloux). C’est qu’en ce moment la pièce qui faisait office de bureau n’est plus vraiment accessible (voire en bordel avec des tonnes de cartons), et je me rabats naturellement sur mon MacBook les rares fois où j’ai le temps d’aller sur le Net.
Bon, allez je retourne ranger mes jeux et me renseigner pour un bon téléviseur 32” full HD pour ma salle de jeu. D’ailleurs si vous avez des conseils (ou vous êtes satisfaits de votre achat) pour m’orienter vers un bon téléviseur rapport qualité/prix (et caractéristiques), n’hésitez pas à me le faire savoir dans les commentaires.
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Yuzo Koshiro est certainement un des compositeurs de musique de jeu vidéo à l’origine de mon intérêt pour les mélodies sortant de mes consoles de salon d’antan. Le pire, c’est que tout jeune, j’étais dingue des musiques de certains jeux sans savoir que Yuzo Koshiro en avait la paternité. Pour exemple, afin d’écouter le soir dans mon lit le soundtest de Revenge of Shinobi (et dans le noir parce qu’il y avait école le lendemain), j’avais appris par cœur la navigation dans les menus du jeu pour me délecter de mes morceaux préférés (Long Distance, Chinatown, etc. ) le pad en mains et un casque audio branché sur la Mega Drive. De plus sur la console il y avait une molette de volume sonore, idéal pour s’endormir en se prenant pour Joe Musashi. Mais je crois que je radote, j’ai déjà dû en parler sur le blog.
Tout ça pour dire que Monsieur Yuzo Koshiro est un compositeur que j’adule, papa des musiques d’Actraiser, Bare Knuckle/Streets of Rage, Shenmue ou encore Namco X Capcom. Mais aujourd’hui, c’est le soundtrack de Super Adventure Island qui nous intéresse, jeu Super Nintendo connu au Japon sous le nom “Takahashi Meijin no Daibōken Jima“. Un titre indirectement d’actualité (vidéoludique) pour qui suit les ouvrages publiés par les Editions Pix’n Love, grâce à la sortie de la biographie de Takahashi Meijin. Bref, Super Adventure Island était un jeu “vitrine” destiné à exposer les incroyables possibilités graphiques et sonores de la Super Nintendo/Super Famicom à sa sortie. Un jeu aux mélodies entrainantes qui a marqué les joueurs de l’époque face à ce que faisait la concurrence sur support cartouche.
Tout ce blabla pour partager avec vous ce CD audio des musiques de Super Adventure Island/”Takahashi Meijin no Daibōken Jima” dédicacé par Yuzo Koshiro. Une pièce de plus à ma collection, que je tenterai de mettre en avant dans ma salle de jeu quand elle sera finalisée. D’ailleurs, je suis actuellement dans la phase “pose du parquet flottant et des plaintes”, et franchement le résultat est tout à fait honorable. Ce week-end je devrais (je l’espère) commencer à ranger les jeux dans les bibliothèques.
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Pas le temps de s’ennuyer, voire de m’évader quelques instants sur console puisque la machine étant lancée (je fais allusion à la création de ma salle de jeu), il faut garder le rythme et ne surtout pas ralentir. Aujourd’hui je partage avec vous le nuancier de couleurs que j’ai choisi pour la pièce. En fait tout le mobilier et le canapé étant déjà en ma possession et de la couleur n°5 (voir la photo ci-dessous), j’ai opté pour la couleur n°1 pour le plus grand mur de droite (sur le plan tout en bas) qui contrastera avec la couleur claire des meubles et du canapé.
Tous les autres murs de la pièce seront de couleur n°2, m’obligeant peut-être à repeindre le meuble TV et la bibliothèque du mur de gauche en couleur n°1. Tout un programme, en sachant que les plaintes en bas des murs seront de couleur n°3.
Je vous ai fait rapidement un petit plan, les échelles ne sont pas parfaitement respectées (surtout pour la porte), mais c’était histoire de vous donner une idée de l’originalité de la forme de la pièce et des contraintes pour l’aménager. Le challenge est d’autant plus excitant, et la disposition actuelle des meubles me laisse beaucoup de place sur les murs (du bas, au dessus du canapé, etc. ) pour décorer avec mes cadres d’artworks/affiches dédicacés.
D’ailleurs si vous avez des idées à me soumettre, car il me faut solutionner le problème “luminaire” de la pièce. Il ne me manque qu’un plafonnier ainsi qu’une lampe sur pied et j’aimerais bien trouver quelque chose d’officiel lié aux jeux vidéo et/ou enseigne officielle lumineuse. J’attends que vous me fassiez partager vos lumières.
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Pour les gamers qui m’auraient vu en ligne ces derniers temps connecté sur ma Xbox 360, et bien ce n’était pas moi, c’était mon garçon qui en a profité un max (essentiellement sur des Guitar Hero et Rockband) avant de reprendre l’école. Et si à mon grand désespoir je n’ai pas trouvé le temps de toucher à mes consoles, c’est parce que j’étais en pleine séance de bricolage et aménagement d’une partie de mon garage en salle dédiée AU JEU.
Un phantasme qui devient réalité, mais à la sueur de mon front, pour soulager mon actuel bureau (saturé de montagnes de jeux) et utiliser les 2/3 de mon garage pour créer une salle dédiée au jeu (et pis peut-être au cinéma, DVD, Bluray, Laserdisc, tout ça… enfin on verra). Pour cela il a fallu recouvrir (et isoler) les murs en brique déjà existants de plaques de plâtre, et également séparer le garage en 2 parties via des cloisons en plâtre (sous-entendant l’installation des armatures métalliques/rails pour tout soutenir). Sans oublier les prises électriques et interrupteurs, car sans elles pas de borne d’arcade, ni console ou télévision.
Même s’il nous reste les dernières finitions à faire sur les murs (dissimuler les vis, les jonctions entre les plaques, etc ), puis les peindre ainsi que le plafond et choisir les matériaux pour faire le sol, je suis aux anges à la vision du travail accompli. Avant de faire une ouverture (et donc une porte) entre cette salle de jeu et le salon je savourerai la mise en place de la déco (tous mes cadres dédicacés), le rangement de ma collection, du mobilier et du très confortable canapé 2 places en cuir beige (indispensable pour décompresser jouer dans de bonnes conditions).
La pièce est atypique car elle n’est pas rectangulaire (elle est composée de 6 murs et pas 4), mais ça lui donne une vraie personnalité. J’ai fait avec les moyens du bord et la surface qui m’était allouée, c’est qu’il a fallu négocier avec ma Chère & Tendre. Et pis un gros merci à Bernard et Renée pour leur aide et leurs conseils avisés.
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Parce que ma collection de jeux vidéo est en perpétuelle évolution j’ai refait dernièrement un petit point sur les Point’n Click LucasArts/Lucafilm Games en ma possession. En fait il ne me manque vraiment que 4 titres, sachant que je ne recherche que des premières éditions (boîte carton) françaises: Maniac Mansion, The Secret of Monkey Island, Monkey Island 2: Le Chuck’s Revenge et Indiana Jones and the Fate of Atlantis.
Et puis, toujours pour parfaire ma collection, dans la catégorie des jeux que je ne recherche pas aussi urgemment que ceux cités plus haut, j’aimerais bien trouver un Loom complet en français (version IBM 3,5′ ) car je possède actuellement une version US Macintosh (mais bon, il parait que c’est super dur à trouver) ainsi que les épisodes 3 et 4 de la saga Monkey Island même si ce sont ceux qui m’intéressent le moins (surtout pour le passage à la 3D d’Escape from Monkey Island).
Vous savez donc quoi faire si vous possédez l’un de ces jeux, n’allez surtout pas le jeter à la poubelle ou le mettre en vente sur le web… Ne commettez pas l’impensable, vous ferez un heureux (d’où l’idée d’un Téléthon pour jeux utilisant le SCUMM: SCUMMathon). Et un gamer heureux, c’est un bon point pour votre Karma, qui sait, vous ne souhaiteriez pas être réincarnés en N-Gage ou en Gizmondo?
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3615 my life, Achats compulsifs, Culture vidéoludique, Rétrogaming
| Indiana Jones and the Fate of Atlantis, Loom, Lucafilm Games, LucasArts, maniac mansion, Monkey Island 2: Le Chuck's Revenge, Point'n Click, SCUMM, SCUMMathon, The Secret of Monkey Island
La commande de mon piano Yamaha U3 étant toujours en cours, histoire de patienter jusqu’à la tant attendue livraison, je me suis acheté pour pas cher sur une boutique anglaise les partitions de l’excellent album double CD “Elton John: Greatest Hits 1970-2002“. Un ouvrage rempli de magnifiques mélodies, de “Crocodile Rock” à “Sorry Seems To Be The Hardest Word”, en passant par “I Want Love”. Du boulot en perspective.
Et puis ce hors série du magazine Joypad, entièrement consacré à l’histoire de la PlayStation, et chaudement recommandé par Florent Gorges sur le blog de Pix’n Love. Même si à l’époque de la sortie de la console j’étais beaucoup plus amoureux de la Sega Saturn japonaise, j’ai pu m’éclater chronologiquement sur toutes les bombes de la machine de Sony: Ridge Racer, Bio Hazard, Tobal, Metal Gear Solid, Castlevania: Symphony of the Night, etc. Un très bon hors série assez complet qui n’apprendra pas grand chose aux vieux briscards comme moi qui ont vécu de près les années PlayStation, mais indispensable aux jeunes joueurs qui sont passés à côté, désirant parfaire leur culture vidéoludique.
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Quelques lectures pour terminer cet été qui n’en est pas vraiment un avec la météo capricieuse, et encore moins quand on travaille et que les autres sont en vacances. Bref je suis un peu à la bourre pour ce billet qui présente le dernier numéro d’IG Mag (n°9 acheté dès sa sortie courant juillet) faisant la part belle aux jeux d’infiltration (MGS, Splinter Cell, etc. ), mais proposant également d’excellents dossiers sur la PC Engine, Duke Nukem, Psygnosis, Telltale Games et plein d’autres joyeusetés. Comme toujours du très bon contenu pour tenir 2 mois jusqu’à la sortie du prochain numéro.
Et puis les éditions Pix’n Love ne chôment pas, même pendant les vacances avec la sortie avancée du n°3 des Grands Noms du Jeu Vidéo consacré à Gunpei Yokoi (et sous-titré: vie et philosophie du Dieu des jouets Nintendo). Un ouvrage impressionnant d’anecdotes, de contenu et d’exhaustivité pour qui s’intéresse à l’histoire du Jeu Vidéo et à Nintendo (en quelques jours j’ai déjà lu 1/3 du livre), un destin hors norme et une histoire qui s’est terminée tragiquement mais qui ne peut laisser insensible tout amoureux du Jeu Vidéo et du Rétrogaming. Vivement le volume n°2 consacré à Michel Ancel.
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J’écoute depuis tout jeune du hard rock et cela ne m’empêche pas d’avoir des goûts éclectiques et d’apprécier des tas d’autres genres musicaux. Mais j’avoue que le Métal c’est une histoire d’amour qui dure, les 2 albums que j’ai reçu aujourd’hui ne me contrediront pas. Et le jour où j’ai découvert que l’acteur Jack Black revendiquait haut et fort la même passion pour cette “musique du diable”, j’ai fait quelques recherches plus approfondies. Tenacious D est un groupe créé par Jack Black et Kyle Gass au milieu des années 90 alors qu’ils faisaient partie de la même troupe de théâtre “The Actors Gang” fondée par l’acteur Tim Robbins. Leur style musical transpire les riffs hard rock des années 70/80 avec une auto dérision très dixième degré racontant la toute puissance de Tenacious D et les aventures des 2 trublions limite loosers du groupe (dont leurs aventures et prouesses sexuelles). Tout cela justifie parfaitement le sticker “Explicit Lyrics” collé sur les pochettes d’albums, car les chansons de Tenacious D peuvent être très graveleuses.
Bref, le public français connait le groupe essentiellement grâce à la sortie du fil éponyme qui narre la genèse de Tenacious D (ou le morceau “The Metal” dans Guitar Hero III), Jack Black étant déjà connu pour ses rôles principaux dans King Kong, l’Amour Extra Large, Rock Academy ou encore Tonnerre sous les Tropiques. Mais au mileu des années 90 Jack Black pas encore superstar fait de plus en plus de petites apparitions au cinéma (Waterworld, Disjoncté, Mars Attacks, Le Fan, Ennemi d’état) et finit par convaincre HBO de produire une mini série TV très sobrement appelée: Tenacious D. Le succès ne sera pas au rendez-vous mais ne traumatisera pas Jack Black et Kyle Gass qui sortiront en 2001 leur premier album toujours éponyme (Tenacious D pour ceux qui ne suivraient pas). Ce dernier reprendra majorité de chansons issues de la série TV entrecoupées de mini sketchs et connaîtra temporairement aux Etats Unis les joies de la censure puisque l’album sera temporairement retiré des bacs à cause de sa pochette “satanique”. Je crois même que la back cover de la réédition de l’album effacera les 2 bébés de l’image.
Le deuxième album “Tenacious D: The Pick of Destiny” fera office de bande originale pour le film du même nom qui sortit en 2006, et connaîtra plusieurs éditions dont la collector en photo (juste au-dessus) proposant une réplique du Médiator de la Destinée, des cartes de tarot utilisées dans le film, un poster et un album digipack dont la couverture est en 3D. Un contenu qui fait honneur au talent de Jack Black et Kyle Gass, dont l’humour potache et décalé fut souvent incompris par la critique “professionnelle dite spécialisée”. Tellement que pour la sortie française du film, seules 10 salles le diffusèrent dans l’indifférence générale et je n’ose parler de la distribution du DVD. Mais tout cela ne m’empêche pas d’être méga fan de Jack Black, Kyle Gass et bien sûr Tenacious D.
Je finirai ce petit billet par la petite photo du dessus qui illustre la back cover non censurée de leur 1er album (avec les bébés au sol dans le pentacle) et une photo bucolique de la notice, sans oublier la magnifique reproduction du “Pick of Destiny” (médiator de la destinée) incluse dans l’édition collector du 2ème album de Tenacious D. J’avais pu lire sur le Web que Kyle Gass, quelques temps après la fin de la tournée de concerts pour “The Pick of Destiny”, souhaitait mettre un terme à l’aventure Tenacious D, mais Jack Black travaillerait sur un nouvel album et aurait déjà joué de nouveaux morceaux avec son compère lors de différentes manifestations. Vivement la suite…
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