Pour ce nouveau numéro de Pix’n Love (le 12ème déjà!) affichant en couverture le héros d’Adventure Island/Wonderboy, les pigistes du mook nous ont une fois de plus préparé un sommaire bien alléchant pour les gamers nostalgiques (dont je suis… aïe, touché en plein cœur). Pèle mêle vous y découvrirez un dossier sur Adventure Island et l’emblématique Takahashi Meijin (dont Pix’n Love est en train de finaliser l’ouvrage autobiographique pour cet été), les interviewes d’Alain Brégeon (Le Passager du Temps sur Amstrad CPC 6128) et de Tommy Tallarico (compositeur des musiques d’Advent Rising, The Terminator-Mega CD, etc. ) et des chroniques sur Ristar (Mega Drive) et Battle Circuit (arcade). Un survol supersonique et non représentatif des 132 pages de ce numéro 12 que je vous invite à courir acheter en boutique ou commander en ligne.
Et puis j’avais envie de mettre des visages sur les noms (ou l’inverse) des têtes pensantes des éditions Pix’n Love, pour peu que vous ne connaissiez pas leur blog. Une excuse en fait pour insister sur l’amour du travail (artisanal) bien fait de ces amoureux du jeu vidéo, qui contrairement à de nombreux passionnés (comme moi) ont eu les cojones de se lancer dans l’édition et de vivre de leur passion à une époque où l’information circule plus sur le Net que dans la presse papier. Je voulais saluer leur travail ultra professionnel à tous, des pigistes permanents ou occasionnels, et même à Mizuki la femme de Florent souvent mise à contribution.
Avant même de pouvoir foncer acheter cet ouvrage en magasin… on me l’avait déjà offert. C’est que je l’attendais fébrilement ce bouquin, fan de Jean Yanne et de la philosophie de l’homme. Un bonhomme dont je me délecte de chaque intervention/improvisation quand l’émission Les Grosses Têtes rediffuse les meilleurs moments de l’émission radiophonique. Un pavé de presque 500 pages préfacé par Olivier de Kersauson, véritable intégrale de textes, répliques et pensées de Jean Yanne.
Morceaux choisis:
A la campagne, les paysans pratiquent l’inceste pour ne pas abîmer les animaux.
Tout le monde veut sauver la planète, mais personne veut descendre les poubelles.
Vous savez que Chirac est un fou des arts premiers? – Oui, y’a qu’à regarder Bernadette…
J’ai fait beaucoup de films sans être trop regardant sur leur qualité. J’ai d’ailleurs une définition dont je suis très fier. Je les appelle des “films bancals”, car je les fais pour des raisons bancaires et fiscales.
L’amour, c’est un sport. Surtout s’il y en a un des deux qui ne veut pas.
Brigitte Bardot a déclaré: “Un chat, c’est un cœur avec du poil autour.” Je ne me livrerai à aucun commentaire.
Je ne suis pas plus ému en jouant un assassin d’enfants qu’en faisant de la publicité pour les nouilles.
Un livre que je recommande chaudement à tous les adorateurs de la connerie (dont je suis) et à l’incroyable talent (souvent d’improvisation) de Jean Yanne. Pour info, et là je m’adresse aux jeunes internautes qui ne connaitraient pas ce grand homme du patrimoine humoristique français, allez faire un tour sur cette page wikipédia. Jean Yanne nous a quitté le 23 mai 2003.
C’est totalement subjectif mais la ludothèque de la Wii me laissait de plus en plus indifférent, me faisant abandonner la console au profit de ses 2 concurrentes HD. Et puis la sortie de Monster Hunter Tri m’a fait revenir sur mes positions, en attrapant dans le même temps Muramasa: The Demon Blade & Tatsunoko V.S. Capcom, 2 des rares bons titres sortis depuis 2009 sur la machine de Nintendo.
Et me voila parti, à ma plus grande surprise et manette classique pro en mains, super enthousiaste à chasser du dragon, parcourir un Japon médiéval fantastique et/ou mettre une raclée à Casshan en incarnant Frank West. Qui a dit qu’il n’y avait plus de jeux sur Wii? moi? ah bon… En tout cas, même si les graphismes de Monster Hunter Tri piquent un peu les yeux (contrairement aux 2 autres jeux cités dans ce billet) et que le gameplay est un peu rigide, la partie de chasse est hautement addictive.
Petite commande de jeux Mega CD assez rares en provenance du Japon. A commencer par Wondermega Collection, une compilation (dure à trouver) qui manquait à la Wondermega RG-M1 dont j’avais fait l’acquisition il y a quelques temps. Et puis les 2 compilations (aux boîtiers originaux) Game no Kanzume: Sega Games Can Vol. 1 & 2 proposant 20 jeux dont certains exclusifs au Sega Meganet (plateforme de téléchargement de l’époque accessible grâce au modem optionnel). Ces 2 volumes incluent entre autres les 8 scénarios Phantasy Star II Text Adventures (retitré Phantasy Star Adventure sur le Meganet) mais également des jeux déjà sortis sur support cartouche comme Flicky ou Fatal Labyrinth. Pour information, voici le contenu exhaustif de ces 2 compilations:
Game no Kanzume: Sega Games Can Vol. 1: Flicky, Hyper Marbles, Paddle Fighter, Phantasy Star II: Amia’s Adventure, Phantasy Star II: Huey’s Adventure, Phantasy Star II: Eusis’s Adventure, Phantasy Star II: Shilka’s Adventure, Pyramid Magic
Game no Kanzume: Sega Games Can Vol. 2: 16 Ton, Fatal Labyrinth, Hero in the sky, Medal City, Penguin Land, Phantasy Star II: Anne’s Adventure, Phantasy Star II: Kinds’ Adventure, Phantasy Star II: Nei’s Adventure, Phantasy Star II: Rudger’s Adventure, Putter Golf, Robot Battler, Teddy Boy Blues
Arrivage de mon dernier colis en provenance du Japon, à savoir la deuxième fournée de jeux Mega CD. Seule petite déception, le vendeur c’était trompé dans ses stocks et le jeu Sol Feace (inclus dans ma commande) n’était plus disponible. Mais grosse satisfaction avec ces 5 nouveaux jeux, véritables classiques de la console, à commencer par 3×3 Eyes Seima Densetsu (RPG reprenant la trame principale du manga et des OAV), Dennin Aleste (shmup culte et indispensable) et Star Wars: Rebel Assault (jeu de tir à base de FMV dont le portage Mega CD est une calamité, mais que la nostalgie plus forte que tout m’a fait acheter).
Et puis Road Blaster Fx (dessin animé “intéractif” dont je dois être un des rares fans sur terre… bon c’est une de mes madeleines de Proust) et Keiou Yugekitai (excellent shmup humoristique que j’adorais tout comme l’épisode Saturn qui alternait avec des phases de plateforme). Une belle brochette de jeux qui viennent s’ajouter à ma collection Mega CD (voire la photo ci-dessous), en attendant de faire l’acquisition de la dernière quinzaine de titres du support qui m’intéressent vraiment, que ce soient des jeux que j’ai adoré à l’époque ou que j’ai longtemps désiré sans pouvoir les essayer.
Pour information, je recherche (entre autre) sur Mega CD les jeux Sonic the hedgehog CD, Silpheed, Ecco the dolphin, Secret of Monkey Island, Shining Force CD, Heimdall, Urusei Yatsura, les 2 épisodes Lunar, Time Gal, et Wondermega Collection. Avis aux vendeurs potentiels. En cadeau, cette petite vidéo/test du cultissime Road Avenger (Road Blaster Fx en japonais).
Cet article est un mélange de plusieurs billets publiés sur mon ancien blog, blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Bonne lecture
Voilà un jeu que dont je suis fan depuis toujours mais dont je n’attendais aucun portage sur nos machines actuelles croyant le genre mort et enterré (LucasArts se faisant tellement discret ces dernières années, surtout qu’ils avaient refourgué le “point’n click” à Telltale Games pour la licence Sam & Max). Bref, l’annonce soudaine d’un portage me fit sauter de joie… puis me fit couler quelques sueurs froides dans le dos à la vue de la nouvelle charte graphique du remake HD. Mais après avoir acheté, joué et terminé “The Secret of Monkey Island™ EDITION SPECIALE” sur le Xbox Live, soyez rassurés, c’est du tout bon.
Même si la refonte graphique est franchement inégale (et je persiste à ne pas y adhérer) mais justifiée et cohérente avec le look des nouveaux épisodes Tales of Monkey Island, LucasArts a génialement remis au goût du jour (et fidèlement) le doublage de tous les dialogues et la bande son, mais plus que tout a permis par la simple pression de la touche select de la manette de basculer à tout moment du remake HD au jeu original en 16 couleurs (CGA, EGA, VGA, etc. ). Ce mode fonctionne à merveille, mais malheureusement l’édition classique est incompatible avec les doublages, la nouvelle bande son et les sous-titres français. Un petit point négatif vite oublié face à un jeu si riche, drôle, incroyablement bien écrit tant au niveau de l’originalité du scénario et des dialogues. Il est rare aujourd’hui, qu’un jeu vaille parfaitement son prix, à savoir 800 points Microsoft.
Je ne vais pas vous mentir, je n’ai pas arrêté d’alterner entre les modes classique et “remaké” car j’estime que graphiquement le jeu a bien vieilli et que les pixels d’origine et leur animation ajoutent un humour visuel supplémentaire (à contrario, LucasArts aurait pu plus travailler l’animation dans le jeu HD). Pour conclure, je vous ai mis ci-dessous les premiers succès que j’avais débloqué et rajouté les 5 derniers “secrets” qu’il me restait à obtenir (pour vous donner un petit coup de main). Depuis j’ai réussi à apprendre toutes les insultes à Guybrush Threepwood.
Info de dernière minute: voici les premières images du remake HD de Monkey Island 2: LeChuck’s Revenge SPECIAL EDITION via cet article de Gameblog.fr
Cet article est un mélange de plusieurs billets publiés sur mon ancien blog, blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Bonne lecture
Un rêve de gosse qui est devenu réalité il y a 1 an. C’est ça qui est bon, après avoir connu la frustration gamin, pouvoir remonter le temps et changer la donne (un peu comme Marty Mc Fly). Attention, je n’ai manqué de rien grâce avec mes parents (que j’adore) qui savaient me satisfaire sans que je sois “pourri gâté”. Mais comme beaucoup d’enfants je rêvais d’acquérir beaucoup de choses mais je gardais ces envies au plus profond de moi, sans même les demander à mes parents. Enfin si, je leur demandais de m’acheter les magazines pour rêver pendant des heures sur les Rock Lords, la NES, les figurines Star Wars… et ce Power Glove! que j’ai acheté à un p’tit gars de Gamekult qui en vendait un complet en boîte, accessoire cultissime de la NES, pseudo ancêtre de la wiimote.
Et puis il est enfin arrivé à la maison, et plus que tout il m’allait comme un gant (sans mauvais jeu de mot). Avec R.O.B, le Power Glove est très certainement l’accessoire ultime et indispensable pour tout collectionneur de jeux vidéo Nintendo. Comme je l’indiquais plus haut le Power Glove est un peu l’ancêtre de la wiimote, du fait de proposer sur une belle brochette de jeux NES un contrôle original (en bougeant des doigts, en levant le bras, en mimant la conduite d’une voiture, etc…. Toutes ces actions permettant de contrôler à l’écran Mario et ses potes de la ludothèque Nintendo en les faisant sauter, tirer, voler, conduire un véhicule, etc…
Le Power Glove fut distribué par Mattel en 1989 et fut un échec commercial du fait de la très faible ludothèque de jeux conçus spécialement pour l’accessoire, et de la réelle complexité d’utilisation du produit. Ci dessous quelques clichés du contenu de la boîte, et 2 scans explicatifs issus de l’épaisse et complète notice (entièrement en français) fournie avec l’accessoire.
Pour finir une petite pub américaine assez efficace…
Billet publié le 12/04/10 et mis à jour le 01/05/11
Mon Loom version française PC CD-rom vient tout juste d’arriver du pays des saucisses et de la bière (et d’Angela Merkel pour ceux qui n’auraient pas encore compris). Il va rejoindre la version disquette Macintosh reçue la semaine dernière et mes autres Point’n Clicks LucasArts/Lucasfilm Games dont la famille est presque complète.
Recto et verso de la boîte du jeu
Mais presque un an après la publication du billet que vous êtes en train de lire, j’ai été contraint de le modifier suite aux commentaires pertinents de l’internaute prénommé “Yoko99″. En fait le vendeur allemand à qui j’ai acheté cette édition française de Loom m’avait affirmé qu’elle incluait une version “talkie” (entendez par là une version avec voix digitalisées anglaises) avec sous-titres français et des graphismes VGA 256 couleurs. Généralement confiant (certains diront naïf), j’ai foncé sur l’occasion et après réception du jeu je me suis empressé de rédiger le billet que vous lisez, mais sans vérifier les dires du vendeur puisque j’avais récemment joué à la version FM-Towns via ScummVM installé sur mon iMac. Je ne m’étais pas rendu compte que j’avais écrit que mon jeu fraîchement acquis incluait des voix digitalisées françaises alors que je souhaitais écrire “voix digitalisées anglaises”, heureusement l’internaute “Yoko99″ me fit remarquer mon erreur.
Contenu de la boîte du jeu
Du coup je décide de prendre le temps le week-end de lancer cette édition du jeu sur mon iMac et d’explorer le contenu du CD-rom pour partager mes impressions avec “Yoko99″, mais quelle ne fut ma surprise. De prime abord, le couvercle de la boîte affiche via un sticker que le jeu est compatible Windows 95, et que la notice du jeu Loom comme les textes à l’écran sont (censés être) en français. A l’intérieur on peut trouver une carte de garantie, une documentation publicitaire pour les jeux licenciés Star Wars ainsi que la notice d’utilisation et d’installation du jeu intègrant (comme dans la 1ère édition du jeu) le cahier de trames ainsi que les codes anti-piratage (qui ne nécessitent plus de filtre rouge pour les déchiffrer).
Arborescence du CD du jeu "Loom" qui renferme d'autres jeux LucasArts
Un autre boîtier renferme un CD-rom officiel labellisé Ubi Soft & LucasArts mais ne mentionne jamais le jeu Loom. Je me décide donc à explorer le contenu du CD via l’arborescence de mon ordinateur et découvre différents sous-dossiers “cachés” proposant l’intégralité des jeux “Secret of Monkey Island”, “Maniac Mansion”, “Battle of Britain” (Their Finest Hour), “Indiana Jones and the Last Crusade”, “Indiana Jones: Fate of Atlantis” et bien évidemment “Loom” (mais pas en version “talkie” ). Je lance “Loom” et découvre bien une version dont les textes sont en français, puis je fais de même avec Maniac Mansion, Monkey Island et Indiana Jones 3 et constate qu’ils sont tous dans la langue de Molière (même s’ils me demandent des codes anti-piratage bien sûr non fournis dans la boîte).
Capture d'écran (via ScummVM) de la version du jeu "Loom" incluse sur le CD-rom
C’est assez surprenant de réaliser qu’Ubisoft pour cette édition ait mis sur le même CD-rom autant de jeux complets pensant que l’acheteur ne pourrait jouer qu’à celui pour lequel Ubisoft fournissait les codes (en l’occurence “Loom” ). Donc pour ceux que ça intéresseraient, sachez que cette édition de “Loom” intègre en fait 6 jeux pour le prix d’un, à vous de trouver sur le Net les codes manquants (mais c’est chose facile) si vous souhaitez tous les essayer. N’hésitez pas à me faire part de vos impressions, et j’aimerais savoir si vous avez également fait ce genre de découvertes. On m’avait dit que cette version était assez rare à trouver mais je ne sais plus que croire, je ne désespère pas cependant de dénicher une version disquettes française ainsi que les derniers Point’n Clicks manquant à ma collection. A bons entendeurs…
Encore merci à Yoko99 sans qui je n’aurais pas pu faire cette étonnante découverte.
J’ai reçu aujourd’hui des Etats Unis un Point’n Click culte du studio Lucasfilm Games/LucasArts, sorti en 1990 sur de nombreux supports (dont Windows, Mac OS, Amiga, Atari, FM Towns, PC Engine). Ce jeu d’aventure jouable au clavier et à la souris à la manière des Monkey Island a la particularité originale de faire faire des actions au personnage que l’on incarne uniquement en jouant des notes sur une portée.
Pour faire plus simple, quand dans un Point’n Click traditionnel vous vouliez faire l’action “ouvrir” (examiner, prendre, etc. ) un objet il fallait cliquer sur le bouton correspondant, et bien dans Loom si vous voulez faire la même action il vous faut cliquer sur des notes de musique étalée sur une portée. Votre expérience au cours du jeu vous fera acquérir de nouvelles notes et la discussion avec d’autres personnages (résolution de quêtes ou simple exploration des niveaux) vous fera apprendre de nouvelles mélodies pour endormir/réveiller quelqu’un, ouvrir, soigner, peindre en vert, transformer l’or en paille, etc.
Mais au-delà de ce gameplay inattendu, Lucasfilm Games a su créer un jeu d’aventure poétique et onirique narrant le périple de Bobbin Threadbare, jeune homme appartenant à la guilde des Tisserands (Loom = métier à tisser). Il part à la recherche des autres membres de sa guilde s’étant transformés en cygnes puis envolés, glanant sur sa route des informations en faisant de drôles de rencontres, y compris d’autres guildes. Ces dernières sont d’ailleurs indispensables dans ce monde imaginaire car elles sont à l’origine de tout, et l’on devine rapidement que la quête principale de Bobbin Threadbare est capitale pour la survie de leur monde. La musique du jeu n’est autre que le Lac des Cygnes de Tchaikovsky, la musique étant importante et omniprésente dans le concept de Loom. Tellement que la boîte de la première édition renferme en plus des disquettes de jeu et de la notice, une cassette audio de 30 minutes racontant l’histoire de la naissance de Bobbin Threadbare et du monde de Loom.
On y trouve également un “book of patterns” (livre des trames) renfermant les descriptifs des trames musicales principales accompagnés d’emplacements vides pour que le joueur note lui-même au crayon de papier les mélodies qu’il découvrira durant le jeu. La couverture intérieure de jeu dissimule les codes “anti-piratage” de l’époque, déchiffrables avec le filtre rouge fourni accompagnant le jeu (voir photos dessus et dessous).
Dans les jours qui suivent je devrais recevoir d’Allemagne un Loom comme neuf en version française boîte PC CD-rom, et vais pouvoir le faire tourner avec l’émulateur scummVM pour profiter de dialogues et de musiques en qualité CD (ça changera de la version originale 16 couleurs et musique midi). En attendant je vous invite à découvrir ce jeu magique mais très (trop) court via la petite vidéo ci-dessous.
Première fournée d’une livraison de jeux japonais indispensables pour toute collection Mega CD qui se respecte. On commence les hostilités avec Dragon’s Lair, version moins belle au niveau de la compression vidéo (hardware oblige) que sur 3DO & CDi mais tout de même réussie. Ensuite Rise of the Dragon, un jeu d’aventure graphique cyberpunk que je rêvais de faire à sa sortie sur PC en 1990 (et joué récemment sous l’émulateur Dosbox) et que je voulais pour ma collection. Puis Burai: Hachigyoku no Yuushi Densetsu, portage Mega CD du RPG sorti sur NEC PC Engine et magnifiquement “chara-designé” par Shingo Araki (dieu que je vénère ce dessinateur).
Restons dans le RPG avec Cosmic Fantasy Stories, jeu qui m’intriguait depuis un certain temps car j’avais il y a longtemps adoré (et terminé) 2 épisodes de cette saga sur PC Engine et je ne sais si celui-ci est un portage, une compilation ou un jeu original. Et dans les classiques du Mega CD Prince of Persia, une valeur sûre quelque soit la machine qui l’accueille, ainsi que Thunder Storm Fx (un dessin animé intéractif à la Dragon’s Lair) qui vous met aux commandes d’un hélicoptère et Yumemi Yakata no Monogatari, jeu d’aventure (à la Myst ou 7th Guest) conçu à base de cinématiques et images de synthèse “innovantes” pour l’époque.