Category: Culture vidéoludique

La Xbox 360 a 5 ans!

By neocalimero, 2 décembre 2010 19:33

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La Xbox 360 n’est plus toute jeune puisqu’elle fut commercialisée en Europe le 2 décembre 2005. J’ai envie de dire… déjà? les années ont défilé plus vite que je ne l’imaginais, mais malgré quelques recours auprès du S.A.V. de Microsoft (réactif et très compétent), la Xbox 360 est sans conteste ma console de salon “Next Gen” préférée. Et ce n’était pas pourtant gagné d’avance car j’avais volontairement boudé la 1ère génération et sa ludothèque dont très peu de titres me donnaient envie de quitter mes Dreamcast et PlayStation 2. Du moins pas suffisamment de titres pour investir dans la 1ère Xbox.

Et puis en décembre 2005 j’ai fini par craquer, les jeux du lancement de la console étaient plus qu’aguicheurs. A Noël j’avais donc déballé sous mon sapin une Xbox 360 Premium + Kameo & Project Gotham Racing 3: une vraie claque visuelle même si j’utilisais un très bon téléviseur cathodique SONY (16:9 et écran plat 82cm). A ce jour c’est bien sur cette machine que je passe le plus de temps (même si je possède PlayStation 3 et Wii), j’adore la convivialité du Xbox Live, la qualité de ses services online et majorité des jeux exclusifs de la machine. Seul bémol, sur ma très grosse ludothèque, certains jeux sont encore sous blister faute de temps libre à leur consacrer. On ne se refait pas. Wink

Allez, juste pour le plaisir…





Earthworm Jim mania

By neocalimero, 2 décembre 2010 19:21

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Après avoir craqué dernièrement pour Pac-Man Championship Edition DX, je reste dans mon trip rétrogaming HD (pléonasme)… euh remastérisé je voulais dire, puisque le Xbox Live fait des soldes et qu’Earthworm Jim HD est disponible pour 400 malheureux points. L’avantage de cette version c’est bien évidemment les graphismes revus pour un écran HD (ceux d’origine étant optimisés seulement pour un écran cathodique), sinon ça aurait été une bouillie de pixels baveux, mais également 3 nouveaux niveaux exclusifs (dont l’impensable keyboard cat) ainsi qu’un mode multijoueurs.

Tout l’intérêt d’Earthworm Jim à sa sortie en 1994 sur Mega Drive et Super nintendo était de proposer une histoire et un univers barrés, mâtinés d’un humour (souvent visuel) omniprésent dû aux graphismes et à l’animation des sprites très cartoon. Les développeurs de Shiny Entertainment avaient réussi comme avec le jeu Aladdin à reproduire d’incroyables animations pour tous les sprites du jeu, chose exceptionnelle pour l’époque sur consoles 16 bits. Et pour ceux qui ne connaîtraient pas Jim le verre de terre, dites-vous que c’est un lombric qui rentre par hasard dans une combinaison de combat le transformant en guerrier spatial de la muerte. Vous allez le contrôler dans un jeu de plateforme entrecoupé de boss débiles, de poursuites dans l’espace, de saut à l’élastique, de ballade en bathyscaphe dont les vitres se fissurent, de rodéo sur Hamster, de lancer de vache, etc.

J’avais adoré le jeu à l’époque sur Mega Drive malgré sa difficulté, et je le retrouve avec plaisir sur ma Xbox 360, prenant toujours autant de plaisir à affronter le plus terrible boss de l’histoire du jeu vidéo (un poisson rouge pour lequel il faut juste faire tomber le bocal dans lequel il est) et tous les autres personnages du jeu (tous aussi drôles les uns que les autres). Tous ces souvenirs m’ont également fait tomber sur le Net sur des photos d’une statue d’Earthworm Jim commercialisée l’été dernier (peinte ou non au choix). J’ai très peu d’informations à son sujet, mais j’ai réussi à contacter son talentueux créateur Christopher Stratos qui m’a précisé posséder le dernier exemplaire (qu’il conserve bien évidemment).

Si l’un d’entre vous à des infos sur cette statue (inspirée de la jaquette du 2ème épisode d’Earthworm Jim) ou sait où je peux me la procurer, je lui en serai éternellement reconnaissant. C’est qu’elle accompagnerait joliment mes statues de Sam & Max et Eddie Riggs de Brütal Legend. Je conclurai par un petit trailer d’Earthworm Jim HD que je vous conseille fortement, surtout pour 400 points Microsoft. Wink


Des pixels à Hollywood: conférence vidéo

By neocalimero, 27 novembre 2010 17:46

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Audric Gueidan a eu l’excellente initiative de poster sur le Net la vidéo de la conférence dédiée au lancement du livre “Des Pixels à Hollywood” (sous-titrée “Cinéma et jeu vidéo, une histoire économique et culturelle” ), ouvrage écrit par Alexis Blanchet et édité par les Editions Pix’n Love. Cette manifestation a eu lieu le 3 avril 2010 à la librairie Eyrolles (Paris Vème arrondissement), avec pour thème “Super Mario, les jeux vidéo, le cinéma et nous”. Cette vidéo d’un peu plus d’une heure est vraiment passionnante et Alexis Blanchet s’improvise très facilement conférencier, communiquant son amour pour ces univers qui se mêlent et donnant un aperçu de la richesse de son ouvrage (à l’origine thèse universitaire). In Love

N’hésitez donc pas à cliquer sur ce lien ou sur la photo du dessus pour visionner la vidéo de la conférence, une conférence vraiment passionnante et dans une ambiance décontractée. Asseyez vous confortablement après être allé chercher des petits gâteaux et un verre de lait, puis cliquez sur “Play”. Vous ne verrez plus le Jeu Vidéo de la même manière. Wink

Captation réalisée par LC.FiLM lcfilm.fr
(Filmé par Audric Gueidan et Mikael Chevallier, monté par Anthony Dausseur)

Guides Final Fantasy IX & X

By neocalimero, 22 novembre 2010 19:07

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En bon gamer et collectionneur, j’avoue prendre un certain plaisir à confectionner une petite bibliothèque de guides officiels (en français si possible) de jeux qui ont marqué mon passé de joueur. Beaucoup plus jeune, ce genre de guides étaient rares et les aides se trouvaient plus dans les rares magazines de jeux vidéo qui au fil des années proposaient gratuitement leurs petits livrets (comme le magazine Joypad) joints au mensuel. En grandissant, avec un argent de poche plus important, puis jeune adulte et autonome financièrement j’ai commencé à acheter certains guides pour quelques jeux emblématiques (majoritairement des RPG).

Et aujourd’hui je continue petit à petit quand l’occasion se présente à acquérir des guides de vieux jeux m’ayant marqué, je trouve que ce sont des ouvrages qui condensent tout ce que l’on doit savoir sur le jeu (et pas seulement une solution) avec moult photos et artworks. Un bon moyen de garder une trace du jeu dans l’histoire des jeux vidéo, et c’est ce que j’ai fait en dénichant les guides officiels de Final Fantasy IX et Final Fantasy X, deux jeux indispensables de la franchise que j’avais acheté à leur sortie (voir mes exemplaires d’époque en photo qui ont bien vécu).

Et dire que bien que je possède Final Fantasy VII, VIII et IX en PAL sur PlayStation, il a fallu que je les rachète en dématérialisé sur le PlayStation Store. Je suis une catastrophe. Pour les nostalgiques de cette époque (un peu) lointaine (quand même), je vous ai pris en photo quelques exemplaires des guides de jeux (Final Fantasy X, Ico, Shenmue, The Wind Waker, etc. ) qui accompagnaient le magazine Joypad. Wink

Game & Watch: Ball

By neocalimero, 22 novembre 2010 16:25

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En avril 2010, le Club Nintendo japonais proposait aux joueurs de l’archipel (et membres Platinum du club) la reproduction exacte du Game & Watch “Ball”, qui n’est autre que le premier Game & Watch créé par Nintendo et commercialisé le 28 avril 1980. Un jeu emblématique ancêtre des consoles portables et bien sûr du Game Boy créés par le même génial Gunpei Yokoi. Pour cette reproduction commémorative, Nintendo a rajouté un interrupteur on/off pour le son du Game & Watch (absent sur le modèle original) et a bien évidemment “tatoué” le logo Club Nintendo au dos de l’appareil.

Avec la réception de ce colis, je viens de faire un bond de 30 ans en arrière (oui oui, j’étais né et j’avais 5 ans), me remémorant la période de Noël dans le rayon jouet d’hypermarchés exposant Game & Watch, Table Top et autres figurines Star Wars, Ulysse 31, X-OR, Albator, etc. Une belle madeleine de Proust que ce Game & Watch “Ball”, enfin, pour moi en tout cas, à vous de me dire si c’est réciproque.

Pour ceux qui l’ignoreraient ou l’auraient oublié, le but de ce petit jeu LCD est simple mais addictif: faire jongler un personnage sans manquer les balles. Un concept basique mais universel, compréhensible en 2 secondes, et à la difficulté croissante mettant à rude épreuve réflexes et dextérité. En fait tout ce que l’on recherche dans un jeu, même aujourd’hui quand les Xbox 360 et PlayStation 3 s’affrontent à coups de 3D et haute définition 1080p.

Je conclurai en vous conseillant l’excellent L’Histoire de Nintendo vol.2 (dédié aux Game & Watch) ainsi que Gunpei Yokoi: vie et philosophie du Dieu des jouets Nintendo #3 (papa du jeu LCD révolutionnaire). Wink

Future séance décoration

By neocalimero, 18 novembre 2010 14:55

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Le week end approche à grands pas, et une première séance d’installation de cadres dans ma salle de jeu est planifiée. Il ne reste plus qu’à choisir judicieusement les emplacements pour les cadres dédicacés (exception faite des HuCards puisqu’il manque encore les légendes) avant de percer les murs et commettre l’irréparable. Au programme de cette première session, du Don Bluth & Gary Goldman, du Tim Schafer, du Steve Purcell, du Hideo Kojima & Yoji Shinkawa.

SEGA AGES 2500: début d’une collection

By neocalimero, 13 novembre 2010 14:13

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SEGA AGES 2500 est une série de jeux sortis sur PlayStation 2 au Japon entre 2003 et 2008 et comptant 33 volumes. La particularité de cette collection créée par SEGA est de re-commercialiser des titres mythiques sortis précédemment sur les consoles (ou en arcade) du fabricant, mais en les réactualisant (généralement) à la sauce 3D. Mais le plus intéressant outre le fait que les graphismes comme les musiques soient refaits, est le contenu additionnel gonflé d’anecdotes des équipes de développement, interviews vidéos, publicités d’époque, illustrations, soundtest, records de joueurs, etc… et bien évidemment le jeu en version d’origine (voire toutes les versions existantes). In Love

Ma passion pour SEGA n’est plus un secret et je me suis mis en tête de collectionner tous les volumes de la série SEGA AGES 2500, d’autant plus que je possède une PlayStation 2 japonaise pour les titres justement exclusifs au pays du soleil levant. Je viens de me commander pour une bouchée de pain le volume 1 (Phantasy Star Generation: 1) et le volume 11 (Hokuto no ken/Black Belt), deux jeux initialement sortis sur Master System. Pour l’anecdote, le nom de cette collection est bourré de références, premièrement “AGES” est un palindrome de “SEGA”. Ensuite 2500 fait référence au prix au Japon des jeux de la collection, soit 2500 yens (22 euros), imaginez donc les bénéfices faits par les boutiques d’import sur le Net ou ebay. Et puis “3D Ages” est le nom du studio qui développa pour SEGA une partie des jeux de la série SEGA AGES 2500, les 15 premiers volumes en fait.

De mémoire et sur la totalité des volumes de cette collection, seule une poignée ne fut jamais commercialisée en France sur les consoles SEGA localisées chez nous. SEGA AGES 2500 est donc très intéressant pour les nostalgiques du jeu vidéo des années 80/90, mais encore faut-il posséder une PlayStation 2 japonaise pour faire tourner tout ça. Donc si vous avez par le passé joué des heures durant à Fantasy Zone, Virtua Racing, Space Harrier, Monaco GP, Black Belt, Phantasy Star ou encore Panzer Dragoon, SEGA AGES 2500 est fait pour vous. Wink

Tengai Makyô: la collection s’agrandit

By neocalimero, 12 novembre 2010 8:07

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Je viens de recevoir un petit colis du Japon qui me permet de clôturer (ou presque) ma ludothèque dédiée à la saga Tengai Makyô/Far East of Eden. Il ne me manquait plus que la compilation PSP “Tengai Makyô Collection” (rassemblant les 3 RPGs de la PC Engine et le jeu de combat “Kabuki Ittou Ryoudan” ) ainsi que “Oriental Blue Aoi no Tengai”, seul épisode conçu et disponible exclusivement pour la Game Boy Advance. La collection “first print” (édition originale) se termine en beauté, enfin presque puisqu’il me reste à acquérir les éditions “budget” (petit prix), ainsi qu’une édition en boîte métallique de “Fuun Kabukiden” et le jeu Same Game nommé “Character Data: Tengai Makyo” pour le Satellaview de la Super Famicom. Mais pour cela, il faut d’abord que je tombe sur ces pièces rares, puis que je les trouve à prix raisonnable. Wink

Et puis pour finir, le colis incluait également le dernier ouvrage (et son CDrom lisible sur PC Engine) qui me manquait sur la vingtaine de pièces en ma possession, livre proposant anecdotes, interviews, conseils de jeu et artworks pour le titre “Tengai Makyô Fuun Kabukiden”. Ma collection englobe romans, guides de jeu et artbooks, et pour l’instant tout en écumant Internet et Yahoo Auction je n’arrive pas à trouver de nouveaux ouvrages. Je doute cependant avoir en ma possession tous les ouvrages sur la saga sortis à ce jour. Wink

Grin Liste des jeux de la saga en ma possession: Show ▼

Michel Ancel : biographie d’un createur de jeux video francais

By neocalimero, 5 novembre 2010 11:24

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C’est bientôt la fin de mes vacances, des vacances ultra cool mais récupératrices car les dernières remontaient quand même à juin 2010. Elles auront été ponctuées de visionnage de films (Gainsbourg vie héroïque, Nightmare on Elm Street reboot, Trick ‘r Treat, The Other Guys) et saisons de série TV (Dexter, The Big Bang Theory, The Wire, The Walking Dead), de jeux vidéo re terminés (Castlevania: the Dracula X Chronicles, MOther 3, Costume Quest, Fable III, Professeur Layton & Le Destin Perdu) et de lectures en tout genre (Maus, Death Note, Pix’n Love, Trente-Trois L’Age Du Christ). J’ai d’ailleurs déjà fini de lire la passionnante biographie de Michel Ancel (papa de Rayman, Beyond Good & Evil, et même de The Intruder! Grin ) éditée par Pix’n Love, en fait il ne me reste que deux ou trois interviews annexes pour refermer l’ouvrage. Une fois de plus, les éditions Pix’n Love nous proposent un bouquin riche en anecdotes sur un des auteurs/artistes (français de surcroît) importants dans l’incroyable histoire du Jeu Vidéo, au même titre que Frédérick Raynal ou Shigeru Miyamoto.

Je fais confiance aux éditions Pix’n Love pour que d’autres talents méconnus du grand public et pourtant indissociables à la playhistoire du jeu vidéo enrichissent cette collection de biographies justement intitulée “Les Grands Noms Du Jeu Vidéo”. Ces personnes ont su apporter de la créativité, du génie, mais surtout une passion communicative à ce merveilleux média sans jamais vraiment être sous le feu des projecteurs, raconter leur histoire c’est raconter l’histoire du Jeu Vidéo. Bref un ouvrage indispensable qui s’ajoute à ma collection et que je vous conseille d’acheter au plus vite en ligne ou dans l’espace culturel/librairie le plus proche de chez vous. Wink

Dédicace de Koji Igarashi

By neocalimero, 29 octobre 2010 13:21

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Je viens de recevoir une version américaine du jeu PlayStation Portable “Castlevania : The Dracula X Chronicles”, jeu que j’avais déjà acheté en version PAL à sa sortie en 2008. La raison de cet achat d’apparence en double, est que cet exemplaire est dédicacé par Koji Igarashi, producteur du jeu ayant également participé à tous les épisodes de la franchise depuis Symphony of The Night. Un monsieur extrêmement talentueux qui a apporté énormément à la licence, exception faite des épisodes 3D “Curse of Darkness” (PlayStation 2/Xbox) et “Castlevania Judgment” (Wii).

Mais pour revenir à “Castlevania : The Dracula X Chronicles”, c’est le remake de l’excellent “Akumajō Dracula X: Chi no Rondo” (Castlevania: Rondo of Blood) sorti exclusivement au Japon en 1993 sur PC Engine Super CDrom². La mouture 2008 abandonne les graphismes 2D pour des personnages et décors modélisés en 3D, mais tout en préservant un gameplay 2D. Même si c’est très subjectif, je ne suis pas fan de ce rendu 3D de surcroît très terne par rapport aux couleurs vives de la version originale, ne permettant pas de toujours bien dissocier les projectiles ennemis par dessus les décors du jeu.

Mais selon moi, le véritable intérêt de ce titre PlayStation Portable est ailleurs: durant le jeu il est possible de débloquer indéfiniment la version 1993 (Akumajō Dracula X: Chi no Rondo) qui est sans équivoque ma préférée, mais également l’indispensable épisode “Symphony of the Night” (”Akumajō Dracula X: Gekka no Yasōkyoku” littéralement “Le château démoniaque de Dracula X: Nocturne au clair de lune” ) sorti sur PlayStation en 1997.

On se retrouve donc avec une compilation juste indispensable et culte pour tout gamer qui se respecte, trois jeux pour le prix d’un mais surtout trois jeux aboutis, extrêmement riches et qui n’accusent pas une seconde leur âge. “Rondo of Blood” a su innover en intégrant beaucoup de nouveautés dans le gameplay, 2 personnages jouables et la possibilité de finir le jeu grâce à de nombreux embranchements (presque tous les niveaux ont leur nemesis avec boss différents). Puis “Symphony of The Night” a bonifié ces innovations en ajoutant une dimension RPG via la présence de points d’expérience, d’équipement du personnage jouable et d’utilisation d’items.

Mais l’auteur de ma dédicace, Koji Igarashi est aujourd’hui indissociable à Michiru Yamane qui est également étroitement liée à la franchise Castlevania depuis l’épisode “Akumajō Dracula X: Chi no Rondo” pour lequel elle composa le soundtrack. Et il faut l’avouer, la musique de Michiru Yamane contribue grandement au succès (et à la qualité générale) des épisodes Castlevania sur lesquels elle a travaillé (PC Engine, PlayStation, Game Boy Advance, DS… ).

“Castlevania : The Dracula X Chronicles” est donc une compilation indispensable sur PSP, malgré une difficulté assez élevée et un gameplay oldschool qui ne vous autorise aucune erreur. Pour l’occasion, je viens de me re-terminer “Symphony Of The Night” à 200,6 % sur cet UMD et suis à la moitié de l’épisode “Rondo of Blood”. Une durée de vie conséquente pour un jeu que vous devriez trouver à petit prix en neuf ou en occasion. Wink

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