Category: Rétrogaming

Game & Watch: Ball

By neocalimero, 22 novembre 2010 16:25

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En avril 2010, le Club Nintendo japonais proposait aux joueurs de l’archipel (et membres Platinum du club) la reproduction exacte du Game & Watch “Ball”, qui n’est autre que le premier Game & Watch créé par Nintendo et commercialisé le 28 avril 1980. Un jeu emblématique ancêtre des consoles portables et bien sûr du Game Boy créés par le même génial Gunpei Yokoi. Pour cette reproduction commémorative, Nintendo a rajouté un interrupteur on/off pour le son du Game & Watch (absent sur le modèle original) et a bien évidemment “tatoué” le logo Club Nintendo au dos de l’appareil.

Avec la réception de ce colis, je viens de faire un bond de 30 ans en arrière (oui oui, j’étais né et j’avais 5 ans), me remémorant la période de Noël dans le rayon jouet d’hypermarchés exposant Game & Watch, Table Top et autres figurines Star Wars, Ulysse 31, X-OR, Albator, etc. Une belle madeleine de Proust que ce Game & Watch “Ball”, enfin, pour moi en tout cas, à vous de me dire si c’est réciproque.

Pour ceux qui l’ignoreraient ou l’auraient oublié, le but de ce petit jeu LCD est simple mais addictif: faire jongler un personnage sans manquer les balles. Un concept basique mais universel, compréhensible en 2 secondes, et à la difficulté croissante mettant à rude épreuve réflexes et dextérité. En fait tout ce que l’on recherche dans un jeu, même aujourd’hui quand les Xbox 360 et PlayStation 3 s’affrontent à coups de 3D et haute définition 1080p.

Je conclurai en vous conseillant l’excellent L’Histoire de Nintendo vol.2 (dédié aux Game & Watch) ainsi que Gunpei Yokoi: vie et philosophie du Dieu des jouets Nintendo #3 (papa du jeu LCD révolutionnaire). Wink

SEGA AGES 2500: début d’une collection

By neocalimero, 13 novembre 2010 14:13

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SEGA AGES 2500 est une série de jeux sortis sur PlayStation 2 au Japon entre 2003 et 2008 et comptant 33 volumes. La particularité de cette collection créée par SEGA est de re-commercialiser des titres mythiques sortis précédemment sur les consoles (ou en arcade) du fabricant, mais en les réactualisant (généralement) à la sauce 3D. Mais le plus intéressant outre le fait que les graphismes comme les musiques soient refaits, est le contenu additionnel gonflé d’anecdotes des équipes de développement, interviews vidéos, publicités d’époque, illustrations, soundtest, records de joueurs, etc… et bien évidemment le jeu en version d’origine (voire toutes les versions existantes). In Love

Ma passion pour SEGA n’est plus un secret et je me suis mis en tête de collectionner tous les volumes de la série SEGA AGES 2500, d’autant plus que je possède une PlayStation 2 japonaise pour les titres justement exclusifs au pays du soleil levant. Je viens de me commander pour une bouchée de pain le volume 1 (Phantasy Star Generation: 1) et le volume 11 (Hokuto no ken/Black Belt), deux jeux initialement sortis sur Master System. Pour l’anecdote, le nom de cette collection est bourré de références, premièrement “AGES” est un palindrome de “SEGA”. Ensuite 2500 fait référence au prix au Japon des jeux de la collection, soit 2500 yens (22 euros), imaginez donc les bénéfices faits par les boutiques d’import sur le Net ou ebay. Et puis “3D Ages” est le nom du studio qui développa pour SEGA une partie des jeux de la série SEGA AGES 2500, les 15 premiers volumes en fait.

De mémoire et sur la totalité des volumes de cette collection, seule une poignée ne fut jamais commercialisée en France sur les consoles SEGA localisées chez nous. SEGA AGES 2500 est donc très intéressant pour les nostalgiques du jeu vidéo des années 80/90, mais encore faut-il posséder une PlayStation 2 japonaise pour faire tourner tout ça. Donc si vous avez par le passé joué des heures durant à Fantasy Zone, Virtua Racing, Space Harrier, Monaco GP, Black Belt, Phantasy Star ou encore Panzer Dragoon, SEGA AGES 2500 est fait pour vous. Wink

Tengai Makyô: la collection s’agrandit

By neocalimero, 12 novembre 2010 8:07

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Je viens de recevoir un petit colis du Japon qui me permet de clôturer (ou presque) ma ludothèque dédiée à la saga Tengai Makyô/Far East of Eden. Il ne me manquait plus que la compilation PSP “Tengai Makyô Collection” (rassemblant les 3 RPGs de la PC Engine et le jeu de combat “Kabuki Ittou Ryoudan” ) ainsi que “Oriental Blue Aoi no Tengai”, seul épisode conçu et disponible exclusivement pour la Game Boy Advance. La collection “first print” (édition originale) se termine en beauté, enfin presque puisqu’il me reste à acquérir les éditions “budget” (petit prix), ainsi qu’une édition en boîte métallique de “Fuun Kabukiden” et le jeu Same Game nommé “Character Data: Tengai Makyo” pour le Satellaview de la Super Famicom. Mais pour cela, il faut d’abord que je tombe sur ces pièces rares, puis que je les trouve à prix raisonnable. Wink

Et puis pour finir, le colis incluait également le dernier ouvrage (et son CDrom lisible sur PC Engine) qui me manquait sur la vingtaine de pièces en ma possession, livre proposant anecdotes, interviews, conseils de jeu et artworks pour le titre “Tengai Makyô Fuun Kabukiden”. Ma collection englobe romans, guides de jeu et artbooks, et pour l’instant tout en écumant Internet et Yahoo Auction je n’arrive pas à trouver de nouveaux ouvrages. Je doute cependant avoir en ma possession tous les ouvrages sur la saga sortis à ce jour. Wink

Grin Liste des jeux de la saga en ma possession: Show ▼

Michel Ancel : biographie d’un createur de jeux video francais

By neocalimero, 5 novembre 2010 11:24

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C’est bientôt la fin de mes vacances, des vacances ultra cool mais récupératrices car les dernières remontaient quand même à juin 2010. Elles auront été ponctuées de visionnage de films (Gainsbourg vie héroïque, Nightmare on Elm Street reboot, Trick ‘r Treat, The Other Guys) et saisons de série TV (Dexter, The Big Bang Theory, The Wire, The Walking Dead), de jeux vidéo re terminés (Castlevania: the Dracula X Chronicles, MOther 3, Costume Quest, Fable III, Professeur Layton & Le Destin Perdu) et de lectures en tout genre (Maus, Death Note, Pix’n Love, Trente-Trois L’Age Du Christ). J’ai d’ailleurs déjà fini de lire la passionnante biographie de Michel Ancel (papa de Rayman, Beyond Good & Evil, et même de The Intruder! Grin ) éditée par Pix’n Love, en fait il ne me reste que deux ou trois interviews annexes pour refermer l’ouvrage. Une fois de plus, les éditions Pix’n Love nous proposent un bouquin riche en anecdotes sur un des auteurs/artistes (français de surcroît) importants dans l’incroyable histoire du Jeu Vidéo, au même titre que Frédérick Raynal ou Shigeru Miyamoto.

Je fais confiance aux éditions Pix’n Love pour que d’autres talents méconnus du grand public et pourtant indissociables à la playhistoire du jeu vidéo enrichissent cette collection de biographies justement intitulée “Les Grands Noms Du Jeu Vidéo”. Ces personnes ont su apporter de la créativité, du génie, mais surtout une passion communicative à ce merveilleux média sans jamais vraiment être sous le feu des projecteurs, raconter leur histoire c’est raconter l’histoire du Jeu Vidéo. Bref un ouvrage indispensable qui s’ajoute à ma collection et que je vous conseille d’acheter au plus vite en ligne ou dans l’espace culturel/librairie le plus proche de chez vous. Wink

Dédicace de Koji Igarashi

By neocalimero, 29 octobre 2010 13:21

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Je viens de recevoir une version américaine du jeu PlayStation Portable “Castlevania : The Dracula X Chronicles”, jeu que j’avais déjà acheté en version PAL à sa sortie en 2008. La raison de cet achat d’apparence en double, est que cet exemplaire est dédicacé par Koji Igarashi, producteur du jeu ayant également participé à tous les épisodes de la franchise depuis Symphony of The Night. Un monsieur extrêmement talentueux qui a apporté énormément à la licence, exception faite des épisodes 3D “Curse of Darkness” (PlayStation 2/Xbox) et “Castlevania Judgment” (Wii).

Mais pour revenir à “Castlevania : The Dracula X Chronicles”, c’est le remake de l’excellent “Akumajō Dracula X: Chi no Rondo” (Castlevania: Rondo of Blood) sorti exclusivement au Japon en 1993 sur PC Engine Super CDrom². La mouture 2008 abandonne les graphismes 2D pour des personnages et décors modélisés en 3D, mais tout en préservant un gameplay 2D. Même si c’est très subjectif, je ne suis pas fan de ce rendu 3D de surcroît très terne par rapport aux couleurs vives de la version originale, ne permettant pas de toujours bien dissocier les projectiles ennemis par dessus les décors du jeu.

Mais selon moi, le véritable intérêt de ce titre PlayStation Portable est ailleurs: durant le jeu il est possible de débloquer indéfiniment la version 1993 (Akumajō Dracula X: Chi no Rondo) qui est sans équivoque ma préférée, mais également l’indispensable épisode “Symphony of the Night” (”Akumajō Dracula X: Gekka no Yasōkyoku” littéralement “Le château démoniaque de Dracula X: Nocturne au clair de lune” ) sorti sur PlayStation en 1997.

On se retrouve donc avec une compilation juste indispensable et culte pour tout gamer qui se respecte, trois jeux pour le prix d’un mais surtout trois jeux aboutis, extrêmement riches et qui n’accusent pas une seconde leur âge. “Rondo of Blood” a su innover en intégrant beaucoup de nouveautés dans le gameplay, 2 personnages jouables et la possibilité de finir le jeu grâce à de nombreux embranchements (presque tous les niveaux ont leur nemesis avec boss différents). Puis “Symphony of The Night” a bonifié ces innovations en ajoutant une dimension RPG via la présence de points d’expérience, d’équipement du personnage jouable et d’utilisation d’items.

Mais l’auteur de ma dédicace, Koji Igarashi est aujourd’hui indissociable à Michiru Yamane qui est également étroitement liée à la franchise Castlevania depuis l’épisode “Akumajō Dracula X: Chi no Rondo” pour lequel elle composa le soundtrack. Et il faut l’avouer, la musique de Michiru Yamane contribue grandement au succès (et à la qualité générale) des épisodes Castlevania sur lesquels elle a travaillé (PC Engine, PlayStation, Game Boy Advance, DS… ).

“Castlevania : The Dracula X Chronicles” est donc une compilation indispensable sur PSP, malgré une difficulté assez élevée et un gameplay oldschool qui ne vous autorise aucune erreur. Pour l’occasion, je viens de me re-terminer “Symphony Of The Night” à 200,6 % sur cet UMD et suis à la moitié de l’épisode “Rondo of Blood”. Une durée de vie conséquente pour un jeu que vous devriez trouver à petit prix en neuf ou en occasion. Wink

Propagande Pix’n Love

By neocalimero, 28 octobre 2010 17:19

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Camarades joueurs, fiers défenseurs du patrimoine vidéoludique et des ouvrages de qualité qui luttent quotidiennement pour que le Virtual Boy, la Gamate et la Gizmondo ne tombent pas dans l’oubli, exigez que la librairie près de chez vous distribue les ouvrages édités par Pix’n Love. C’est votre devoir de citoyen gamer. Tout ça pour vous dire que l’espace culturel du E. Leclerc de Rochefort vient de rentrer tous les numéros disponibles du Mook Pix’n Love, en attendant le reste de la collection tels que les volumes de L’Histoire de Nintendo, Les Grands Noms Du Jeu Vidéo, La Bible PC Engine, Des Pixels à Hollywood, etc. Les joueurs Rochefortais savent ce qu’il leur reste à faire. Grin

En attendant, ma femme a pris une petite photo (de pas super bonne qualité je vous l’avoue) qui illustre ce billet, et je vous informe que le volume 2 de la série “Les Grands Noms Du Jeu Vidéo” dédié à Michel Ancel (entre autres papa de Rayman) est enfin disponible… et je viens juste de me le commander. Sur ce, longue vie à Pix’n Love! en espérant que le E. Leclerc de Royan suive le même chemin. Wink

Complètement SEGAGAGA

By neocalimero, 25 octobre 2010 16:20

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Avant d’être un jeu, SEGAGAGA est une histoire improbable, une déclaration d’amour aux fans d’un éditeur de jeux vidéo emblématique des années 80/90 et à la dernière machine de ce même constructeur de console, la Dreamcast qui vit ses derniers instants. C’est aussi les pérégrinations d’un développeur travaillant chez SEGA prénommé Tez Okano, pas vraiment pris au sérieux lors de la présentation de son projet de RPG/Simulation et contraint de le réaliser en cachette pendant 2 ans au nez et à la barbe des dirigeants de l’entreprise qui l’emploie.

SEGAGAGA c’est aussi une campagne de publicité d’un peu moins de 250,00 euros dont 150 furent utilisés par Tez Okano pour s’acheter un masque de catcheur pour aller faire la promotion du jeu, d’Akihabara aux autres stands de conventions/festivals de jeux vidéo. Un marketing à l’image de toutes les anecdotes atypiques faisant de SEGAGAGA un jeu unique en son genre, et pour cela je vous conseille de lire l’excellent dossier de 10 pages qui lui est consacré dans le numéro 11 de Pix’n Love.

Mais pour revenir au contenu du colis que je viens de recevoir, il faut savoir qu’en 2001 SEGAGAGA ne fut commercialisé en nombre limité que sur Internet (Dreamcast Direct qui devint Sega Direct) dans l’édition que vous pouvez découvrir sur les photos. Dans une grande boîte étaient inclus un T-Shirt orné du logo du jeu, un agenda incluant des informations sur le jeu, une boîte en bois intégrant 6 badges commémoratifs à l’histoire de SEGA, et le jeu dans un boîtier au format DVD. Quitte à marquer le coup et pensant que les ventes seraient anecdotiques, Tez Okano souhaitait dans un baroud d’honneur proposer un maximum de contenu pour les joueurs achetant le jeu.

Finalement, cette édition fut rapidement épuisée et SEGA ré-éditera et commercialisera le jeu dans un boîtier Dreamcast classique (voir photo ci-dessous). Il aura un honnête succès commercial mais surtout un énorme succès d’estime international auprès de la presse spécialisée et des hardcore gamers. Et puis, un jeu qui vous met dans la peau d’un fan de SEGA devant sauver l’entreprise génitrice de Sonic et autres Shinobi ne peut être qu’un bon jeu. Imaginez que SEGA ne possède plus que 3% de parts de marché quand le reste est monopolisé par la démoniaque société DOGMA (parodie de SONY), du coup la dernière solution de SEGA c’est de sonner à votre porte pour vous donner le poste de PDG. S’ensuit des phases de RPG et de gestion vous faisant voyager à travers un univers peuplé de toutes les licences phares de SEGA (Alex Kid, Golden Axe, Phantasy Star, Panzer Dragoon, etc. ).

L’humour est omniprésent (et même très décalé), alternant entre parodies de jeux PlayStation, vidéos barrées (dont certaines à bases de marionnettes filmées devant les véritables locaux de SEGA) et autres joyeusetés à débloquer (et collectionner) en finissant à plusieurs reprises le jeu. Un vrai trip pour fan de SEGA, en espérant qu’un jour l’éditeur en propose une traduction anglaise (et pourquoi pas française) sur un portail de téléchargement SONY ou MICROSOFT. Wink

Mother 3: Deluxe Box

By neocalimero, 25 octobre 2010 15:06

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Ces derniers jours les colis débarquent chez moi en trombe, arrivant du Japon plus vite que je ne l’aurai pensé. Après la version collector de SEGAGAGA, voici la “Deluxe Box Mother 3″, édition limitée du jeu “Mother 3″ (sur Game Boy Advance) et d’une Game Boy Micro à l’effigie du jeu. Je vous avoue avoir été légèrement fébrile en ouvrant mon colis et en découvrant son contenu, car ça faisait quelques années que je recherchais cette édition.

Mother est une licence de RPG pas toute jeune qui n’a malheureusement jamais été localisée en Europe et dont seul l’épisode 2 (Super Famicom) connut une traduction pour le marché américain sous le nom “Earthbound”. Cette série m’a toujours intrigué, car très positivement critiquée par la presse spécialisée, mais forcément exclusive aux joueurs lisant le japonais. Et puis un jour, je vois sur Gamekult l’annonce de la sortie du 3ème épisode, et pour l’occasion d’une édition spéciale de Game Boy Micro. Cette console m’a du coup toujours tapé dans l’oeil depuis cet instant, et il aura fallu qu’un blogueur prénommé Nintendo évoque une excellente traduction par des fans (en anglais) de l’épisode 3 pour pour que je succombe au désir de jouer à ce jeu et sur cette Game Boy Micro en édition limitée.

De prime abord, les graphismes de la série Mother, et donc de l’épisode 3 laissent supposer que c’est un jeu très enfantin mais il n’en est rien. Cette série créée par Shigesato Itoi est bourrée d’humour mais est également contrastée par une mise en scène riche en émotion (la mort de protagonistes est courante) et en thèmes alarmistes sur un avenir misant trop sur la technologie et le consumérisme. Un discours surprenant pour un RPG distribué par Nintendo. On peut encore espérer qu’un jour Big N daigne exporter tous les épisodes de la série en dehors du Japon. Mais pour l’anecdote, packaging et traduction du premier épisode sur Famicom étaient opérationnels pour une commercialisation sur le marché américain, mais la Super Nintendo étant déjà sortie aux USA ainsi que le jeu Earthbound (Mother 2), Nintendo préféra ne pas prendre le risque que l’épisode NES passe inaperçu.

Tout ça pour vous dire que Mother 3 est un RPG indispensable pour tout fan de ce genre de jeu, que la traduction est irréprochable contrairement à la version officielle de Earthbound (Mother 2) sur Super Nintendo qui pris des libertés pour ne pas “heurter” la sensibilité des joueurs (modifications graphiques, changement de dialogues). Donc n’hésitez pas à jouer à cet épisode sur émulateur ou sur carte EZ-Flash, et pour connaître la procédure cliquez sur ce lien.

Pour tous les intéressés ou curieux, foncez sur le site anglophone Starmen.net qui recence tout ce que vous voulez savoir sur la franchise Mother. Bonne lecture Wink

Joysticks: the movie

By neocalimero, 14 octobre 2010 21:06

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J’ai très récemment remporté une enchère sur ebay, pour laquelle je fus le seul enchérisseur… au monde, puisque j’étais sur ebay USA. Personne d’autre ne fut intéressé, une aubaine pour moi car ça m’a coûté quelques malheureux dollars, mais en même temps je comprends le désintérêt des américains.

L’objet remporté est l’affiche originale (et d’époque) du film “Joysticks” (1983) dédicacée par son réalisateur Greydon Clark qui il faut l’avouer, est au cinéma américain ce qu’était Max Pécas au cinéma français. Un réalisateur culte qui, pour “Joysticks”, associe subtilement jeux vidéo et humour grivois. Un grand moment de cinéma, mais pas autant que “Uninvited” (Le Clandestin) génialement chroniqué sur Nanarland.com. En cadeau, voici le générique d’ouverture du film.


L’affiche délicieusement vintage est carrément idéale pour être encadrée et décorer ma salle de jeu. Un objet vraiment collector, surtout qu’il est dédicacé par son réalisateur, mais une affiche aux magnifiques graphismes très eighties (et très arcade). Pour l’anecdote, un chroniqueur du site Destructoid disait de ce film “Joysticks est un film qui fait passer The Wizard, Street Fighter: The Movie et House of the Dead pour la trilogie du Parrain”. Tout un programme. Grin

En attendant je vous offre la bande annonce de ce monument cinématographique. Bon visionnage.


Prochaines acquisitions… [edit]

By neocalimero, 13 octobre 2010 16:18

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Bon ça y est, mon anniversaire approchant je me suis fait plaisir en commandant quelque-chose dont je souhaitais faire l’acquisition depuis pas mal de temps: la MOTHER 3 DELUXE BOX. C’est un pack en édition limitée contenant une Game Boy Micro, le jeu MOTHER 3 et quelques accessoires/goodies, le tout aux couleurs et effigies du jeu.

Habituellement je ne craque pas pour les ré-éditions de consoles “copyrightées” par des licences de jeux vidéo (Halo, Monster Hunter & co), tout simplement parce que je possède déjà une console et que je suis déjà encombré avec ma collection (même si je trouve certaines éditions magnifiques). Mais là, cette petite Game Boy Micro m’a toujours tapé dans l’oeil, et le RPG qui lui est associé est tellement formidable qu’elle devenait vraiment indispensable pour jouer à la “fan translation” du jeu et exploiter le superbe guide. Wink

Petite mise à jour de l’article, puisque ce n’était pas prévu mais j’ai dégoté hier soir l’édition collector neuve du mythique  jeu Dreamcast: SEGAGAGA (SGGG pour les puristes). Je suis plus qu’impatient de recevoir tout ça et de vous proposer un article de circonstance blindé de photos. In Love

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