Parce que ma collection de jeux vidéo est en perpétuelle évolution j’ai refait dernièrement un petit point sur les Point’n Click LucasArts/Lucafilm Games en ma possession. En fait il ne me manque vraiment que 4 titres, sachant que je ne recherche que des premières éditions (boîte carton) françaises: Maniac Mansion, The Secret of Monkey Island, Monkey Island 2: Le Chuck’s Revenge et Indiana Jones and the Fate of Atlantis.
Et puis, toujours pour parfaire ma collection, dans la catégorie des jeux que je ne recherche pas aussi urgemment que ceux cités plus haut, j’aimerais bien trouver un Loom complet en français (version IBM 3,5′ ) car je possède actuellement une version US Macintosh (mais bon, il parait que c’est super dur à trouver) ainsi que les épisodes 3 et 4 de la saga Monkey Island même si ce sont ceux qui m’intéressent le moins (surtout pour le passage à la 3D d’Escape from Monkey Island).
Vous savez donc quoi faire si vous possédez l’un de ces jeux, n’allez surtout pas le jeter à la poubelle ou le mettre en vente sur le web… Ne commettez pas l’impensable, vous ferez un heureux (d’où l’idée d’un Téléthon pour jeux utilisant le SCUMM: SCUMMathon). Et un gamer heureux, c’est un bon point pour votre Karma, qui sait, vous ne souhaiteriez pas être réincarnés en N-Gage ou en Gizmondo?
La commande de mon piano Yamaha U3 étant toujours en cours, histoire de patienter jusqu’à la tant attendue livraison, je me suis acheté pour pas cher sur une boutique anglaise les partitions de l’excellent album double CD “Elton John: Greatest Hits 1970-2002“. Un ouvrage rempli de magnifiques mélodies, de “Crocodile Rock” à “Sorry Seems To Be The Hardest Word”, en passant par “I Want Love”. Du boulot en perspective.
Et puis ce hors série du magazine Joypad, entièrement consacré à l’histoire de la PlayStation, et chaudement recommandé par Florent Gorges sur le blog de Pix’n Love. Même si à l’époque de la sortie de la console j’étais beaucoup plus amoureux de la Sega Saturn japonaise, j’ai pu m’éclater chronologiquement sur toutes les bombes de la machine de Sony: Ridge Racer, Bio Hazard, Tobal, Metal Gear Solid, Castlevania: Symphony of the Night, etc. Un très bon hors série assez complet qui n’apprendra pas grand chose aux vieux briscards comme moi qui ont vécu de près les années PlayStation, mais indispensable aux jeunes joueurs qui sont passés à côté, désirant parfaire leur culture vidéoludique.
Quelques lectures pour terminer cet été qui n’en est pas vraiment un avec la météo capricieuse, et encore moins quand on travaille et que les autres sont en vacances. Bref je suis un peu à la bourre pour ce billet qui présente le dernier numéro d’IG Mag (n°9 acheté dès sa sortie courant juillet) faisant la part belle aux jeux d’infiltration (MGS, Splinter Cell, etc. ), mais proposant également d’excellents dossiers sur la PC Engine, Duke Nukem, Psygnosis, Telltale Games et plein d’autres joyeusetés. Comme toujours du très bon contenu pour tenir 2 mois jusqu’à la sortie du prochain numéro.
Et puis les éditions Pix’n Love ne chôment pas, même pendant les vacances avec la sortie avancée du n°3 des Grands Noms du Jeu Vidéo consacré à Gunpei Yokoi (et sous-titré: vie et philosophie du Dieu des jouets Nintendo). Un ouvrage impressionnant d’anecdotes, de contenu et d’exhaustivité pour qui s’intéresse à l’histoire du Jeu Vidéo et à Nintendo (en quelques jours j’ai déjà lu 1/3 du livre), un destin hors norme et une histoire qui s’est terminée tragiquement mais qui ne peut laisser insensible tout amoureux du Jeu Vidéo et du Rétrogaming. Vivement le volume n°2 consacré à Michel Ancel.
J’écoute depuis tout jeune du hard rock et cela ne m’empêche pas d’avoir des goûts éclectiques et d’apprécier des tas d’autres genres musicaux. Mais j’avoue que le Métal c’est une histoire d’amour qui dure, les 2 albums que j’ai reçu aujourd’hui ne me contrediront pas. Et le jour où j’ai découvert que l’acteur Jack Black revendiquait haut et fort la même passion pour cette “musique du diable”, j’ai fait quelques recherches plus approfondies. Tenacious D est un groupe créé par Jack Black et Kyle Gass au milieu des années 90 alors qu’ils faisaient partie de la même troupe de théâtre “The Actors Gang” fondée par l’acteur Tim Robbins. Leur style musical transpire les riffs hard rock des années 70/80 avec une auto dérision très dixième degré racontant la toute puissance de Tenacious D et les aventures des 2 trublions limite loosers du groupe (dont leurs aventures et prouesses sexuelles). Tout cela justifie parfaitement le sticker “Explicit Lyrics” collé sur les pochettes d’albums, car les chansons de Tenacious D peuvent être très graveleuses.
Bref, le public français connait le groupe essentiellement grâce à la sortie du fil éponyme qui narre la genèse de Tenacious D (ou le morceau “The Metal” dans Guitar Hero III), Jack Black étant déjà connu pour ses rôles principaux dans King Kong, l’Amour Extra Large, Rock Academy ou encore Tonnerre sous les Tropiques. Mais au mileu des années 90 Jack Black pas encore superstar fait de plus en plus de petites apparitions au cinéma (Waterworld, Disjoncté, Mars Attacks, Le Fan, Ennemi d’état) et finit par convaincre HBO de produire une mini série TV très sobrement appelée: Tenacious D. Le succès ne sera pas au rendez-vous mais ne traumatisera pas Jack Black et Kyle Gass qui sortiront en 2001 leur premier album toujours éponyme (Tenacious D pour ceux qui ne suivraient pas). Ce dernier reprendra majorité de chansons issues de la série TV entrecoupées de mini sketchs et connaîtra temporairement aux Etats Unis les joies de la censure puisque l’album sera temporairement retiré des bacs à cause de sa pochette “satanique”. Je crois même que la back cover de la réédition de l’album effacera les 2 bébés de l’image.
Le deuxième album “Tenacious D: The Pick of Destiny” fera office de bande originale pour le film du même nom qui sortit en 2006, et connaîtra plusieurs éditions dont la collector en photo (juste au-dessus) proposant une réplique du Médiator de la Destinée, des cartes de tarot utilisées dans le film, un poster et un album digipack dont la couverture est en 3D. Un contenu qui fait honneur au talent de Jack Black et Kyle Gass, dont l’humour potache et décalé fut souvent incompris par la critique “professionnelle dite spécialisée”. Tellement que pour la sortie française du film, seules 10 salles le diffusèrent dans l’indifférence générale et je n’ose parler de la distribution du DVD. Mais tout cela ne m’empêche pas d’être méga fan de Jack Black, Kyle Gass et bien sûr Tenacious D.
Je finirai ce petit billet par la petite photo du dessus qui illustre la back cover non censurée de leur 1er album (avec les bébés au sol dans le pentacle) et une photo bucolique de la notice, sans oublier la magnifique reproduction du “Pick of Destiny” (médiator de la destinée) incluse dans l’édition collector du 2ème album de Tenacious D. J’avais pu lire sur le Web que Kyle Gass, quelques temps après la fin de la tournée de concerts pour “The Pick of Destiny”, souhaitait mettre un terme à l’aventure Tenacious D, mais Jack Black travaillerait sur un nouvel album et aurait déjà joué de nouveaux morceaux avec son compère lors de différentes manifestations. Vivement la suite…
Voila, c’est fait, j’ai passé commande dans le magasin d’instruments de musique près de chez moi. J’écumais depuis quelques temps toutes les annonces de particuliers de mon département mais avec toujours l’appréhension d’avoir une chance sur deux de me faire avoir à plus ou moins long terme. Je suis finalement naturellement revenu vers les professionnels de vente d’instruments de musique (qui me proposent de surcroît 5 ans de garantie), pour opter pour ce magnifique piano droit Yamaha modèle U3.
Un instrument de musique (mais aussi un superbe objet) qui me faisait de l’œil depuis pas mal d’années, désirant (en tant que cinéphile mélomane) interpréter et plus seulement écouter mes compositeurs préférés: Ennio Morricone, Basil Poledouris, Alan Silvestri, Hans Zimmer, Jerry Goldsmith, John Williams, Gabriel Yared, John Powell, Joe Hisaishi, etc. Mais mes goûts musicaux ne se limitant pas qu’au cinéma, j’ai hâte de suer sang et eau à travailler sur des partitions d’Elton John, Ray Charles ou même… Nobuo Uematsu, Yasuhiko Fukuda, Yuzo Koshiro, Taro Iwashiro, Tomohito Nishiura ou encore Noriyuki Iwadare, les jeux vidéo n’étant pas en reste. Bref, un rêve de plus qui se réalise, et que serait la vie sans l’accomplissement de certains de ses rêves?
L’aménagement de mon garage en salle de jeu débute enfin puisque je me suis fait livrer tous les matériaux nécessaires, ce projet maintes fois repoussé est lancé sur les rails (je ne pensais jamais trouver le temps). Du coup, j’en ai profité pour commencer l’encadrement de belles pièces dédicacées qui décoreront mon sanctuaire dédié au Jeu Vidéo et au Cinéma. Cette pièce inespérée me permettra enfin de ranger correctement et mettre en valeur mes collections Sega Saturn, Neo Geo AES, Xbox 360, PC Engine, Mega Drive/Mega CD, Sega Dreamcast, PlayStation 3, Xbox, Nintendo 64, Sony PSP, Intellivision, Nintendo Game Cube, PC-FX, Nintendo Wii, PlayStation 2, Sega Master System, Nintendo Virtual Boy… heu, je m’arrête là car ça pourrait continuer encore quelques lignes.
Bref, vivement que la pièce soit finie pour que j’attaque l’ameublement, la décoration et le rangement (partie la plus jouissive du geek que je suis). Sinon voici le 1er cadre destiné aux HuCards not for sale en ma possession, il ne me reste plus qu’à prendre une décision finale (car j’hésite encore) pour les étiquettes que je souhaite ajouter sous chacune d’entre elles avec nom en français et/ou japonais, descriptif et/ou année (voire nombre d’exemplaires dans le monde), logo PC Engine… Je veux vraiment faire ça bien donc toutes les idées sont bonnes à prendre, n’hésitez pas à me faire part de votre avis dans les commentaires.
J’ai également pris une photo de plus près pour vous montrer la finition, je pense que ça peut intéresser Bababaloo qui attendait ce billet avec impatience pour constater le résultat final. Pour information, pas besoin de faire un cadre sur mesure, je suis tombé sur celui-ci (35 x 35 cm) en boutique et l’ai trouvé de suite idéal avec ce jaune bien pétant parfaitement en harmonie avec l’image que l’on se fait d’Hudson Soft et la PC Engine. Sinon, dans la foulée ma lithographie de “Tales of Monkey Island” fraîchement arrivée à la maison a profité de l’occasion pour s’embellir via ce cadre en jonc noir fait sur mesure (43 x 57 cm). C’est sobre mais toujours classieux et fait bien ressortir l’illustration et la signature de Steve Purcell (voir photo ci-dessous).
Et puis on dit jamais deux sans trois, pour ce poster aux dimensions un peu hors normes dédicacé par les acteurs de Lost (photo ci-dessous) j’ai dû prendre à nouveau l’option sur mesures (35 x 50 cm) en choisissant du jonc noir. C’est vraiment magnifique, donnant presque l’impression que les dédicaces sont faites sur la vitre. Un poster de circonstance puisque la salle de jeu abritera également ma vidéothèque (Laserdisc, DVD & Blu-ray).
Voila, c’est la première fournée. La prochaine risque de concerner deux posters de Brütal Legend et Psychonauts dédicacés par Tim Schafer et les affiches originales de 1983 (Space Ace & Dragon’s Lair) dédicacées par Don Bluth et Gary Goldman (et issues de la collection personnelle du papa de Fievel et Anastasia). J’ai hate…
Je viens de recevoir une magnifique lithographie promotionnelle reprenant l’illustration utilisée (entre autre) pour la version européenne DVD-rom de Tales of Monkey Island, lithographie dédicacée au crayon par la main de son auteur Steve Purcell. Ce dernier est principalement connu pour avoir créé les personnages de comics déjantés Sam et Max popularisés en France en 1993 grâce à la sortie du jeu “Sam & Max hit the road”. Mais avant cela il a travaillé comme animateur et illustrateur (des boîtes de jeu) sur les 2 premiers épisodes des Monkey Island, Maniac Mansion, Herc’s Adventure, et bien d’autres.
Il travailla sur un projet de nouveau jeu “Sam & Max” que LucasArts annula en 2004, ce qui lui permis de récupérer les droits de la licence et finalement de travailler plus tard en collaboration avec Telltale Games sur la série 3D “Season One: Sam & Max save the world”. Le succès étant au rendez-vous la série connait aujourd’hui une 3ème saison, et Steve Purcell entre deux ou trois collaborations sur certains films de Pixar a trouvé le temps de réaliser une magnifique illustration pour le premier épisode de “Tales of Monkey Island” (un retour aux sources en quelque sorte).
Une chose est sûre, j’adore son travail d’illustrateur depuis toujours et je l’intègre dans mon trio (LucasArts/Lucasfilm Games) préféré aux côtés de Ron Gilbert et Tim Schafer. Allez hop, une lithographie de plus à faire encadrer… C’est pas tout mais j’ai Monkey Island 2: Edition Spéciale à terminer sur Xbox 360. A plus
Je viens de recevoir un accessoire vraiment culte pour tout gamer qui se respecte, à savoir un SHOOTING WATCH, objet intimement lié au personnage Takahashi Meijin/16 shot (auquel les éditions Pix’n Love ont récemment dédié un ouvrage biographique). Ce Takahashi Meijin (dont voici son blog) fut au Japon dans les années 80 l’ambassadeur d’une série de jeux édités par Hudson Soft sortis sur la console Famicom de Nintendo. Rapidement il se fit remarquer aduler par les joueurs pour son exceptionnelle capacité à appuyer en moyenne 16 fois par seconde sur le bouton de la manette de la console, générant d’incroyables high scores à une époque où l’auto-fire n’était pas vraiment d’actualité. Dans le but de proposer à tous les fans de la célébrité de faire mieux que lui (et aléatoirement de faire du business), Hudson Soft créa le SHOOTING WATCH. L’engouement des joueurs pour ce génial bidule engendra d’autres déclinaisons dont une application payante pour iPhone et une excellente et très complète version homebrew (donc gratuite) pour Nintendo DS.
Le SHOOTING WATCH est un petit appareil ayant principalement pour vocation de vous permettre de vous entraîner à faire mieux que le légendaire Takahashi Meijin, à savoir appuyer 16 fois sur un bouton par seconde (ou 160 fois en 10 secondes) avec un doigt (tout accessoire étant prohibé: stylo, chaussette, etc. ). Le challenge est élevé mais pas impossible (sauf peut-être pour moi qui ai fait un score de 85 la première fois et qui réalise à quel point je suis mauvais). Mais le pire, c’est que l’usage de ce petit appareil est réellement addictif… mais déconseillé pour les phalanges fragiles.
Fonction des boutons:
SELECT: permet de naviguer entre les différents modes (SHOOTING, TIME, STOP, etc. )
START: permet de valider/rentrer dans un des modes sélectionnables
A et B: boutons qui ont la même fonction, à savoir appuyer le plus vite possible dessus pour réaliser un high score
Les différents modes:
SHOOTING: c’est le mode le plus intéressant dans lequel vous allez devoir appuyer pendant 10 secondes le plus de fois (et le plus vite) possible sur le bouton A ou B (au choix) pour faire aussi bien, voire mieux que Takahashi Meijin. Pour information, votre meilleur score est sauvegardé dans le Shooting Watch et s’affiche automatiquement quand vous sélectionnez le mode SHOOTING.
TIME: c’est une simple horloge qu’il vous faut régler en appuyant simultanément sur les boutons SELECT et START. Ensuite, passez des secondes aux minutes (puis aux heures) en appuyant sur le bouton B et faites défiler les nombres en appuyant sur le bouton A. Pour information, quand vous êtes sur le nombre des secondes, en appuyant sur le bouton A vous les réinitialisez à zéro. Quand le réglage de l’heure vous convient, appuyez sur le bouton START.
STOP: c’est un simple chronomètre que vous déclenchez et/ou mettez en pause en appuyant sur A, le bouton B servant à remettre le chronomètre à zéro.
?: les 2 points d’interrogation présents sous l’écran sont des “extra modes” qui ne seront accessibles/débloqués qu’en faisant un high score et/ou une manipulation particulière.
Ci dessus une petite démonstration vidéo du SHOOTING WATCH
par l’équipe des éditions Pix’n Love
Comment débloquer les 2 modes secrets:
Mode secret n°1: il vous faut choisir le mode SHOOTING et faire un score de 62 (pas plus, pas moins). Cela débloquera un générateur aléatoire de nombre faisant défiler de manière continue 3 séries de chiffres que vous stopperez individuellement en appuyant sur le bouton A. Je viens d’apprendre que ce serait utile pour un jeu de plateau japonais appelé Saikoro, je ferai donc quelques recherches et mettrai cet article à jour ultérieurement.
Mode secret n°2: pour débloquer ce mode, il va falloir vous entraîner et vous armer de patience, puisque dans le mode SHOOTING vous devrez faire un score minimal de 161, donc supérieur au score de Takahashi Meijin qui est de 160 (soit 16 shots/sec qui lui valut son surnom). La récompense sera de débloquer un autre un générateur aléatoire de nombre mais avec 4 séries de chiffres.
Non je ne suis pas mort. C’est juste que j’ai enchaîné mes vacances avec la reprise du boulot qui ne m’a pas vraiment laissé de temps libre… et en plus, j’ai encore du mal à m’acclimater à la reprise des horaires de ma profession (ce qui ne m’empêche pas d’être ponctuel). Y’a pas à dire, les vacances c’est juste obligatoire, surtout pour décompresser. Bref depuis mon départ en vacances, le mot d’ordre fut juste: farniente.
Entre deux séances de piscine et bronzette, j’ai pu me rendre 2 fois au ciné, jouer sur consoles portables, continuer le visionnage de la saison 2 de The Big Bang Theory et regarder en famille quelques blurays sur mon notebook. En fait, juste quelques habitudes d’un geek loin de son home sweet home technologique mais malgré tout heureux de se prélasser en famille. Bien entendu ça ne m’a pas empêché de trouver près de mon lieu de repos le CD de la bande originale de Metal Gear Peace Walker ainsi qu’un gros badge à l’effigie de cet incroyable jeu.
Mais de retour à la maison (et le sevrage terminé), découverte (entre autre) dans la boîte aux lettres du Mad Movies d’été, du dernier Pix’n Love et de quelques avis de passage du facteur. Après une petite visite au bureau de poste de ma commune, j’ai pu récupérer un colis renfermant des romans (Kodansha novels) reprenant les licences Tengai Makyô Ziria, Zero & Apocalypse IV (de quoi exercer mon japonais pour… hum très longtemps).
Mais la pièce maîtresse de ce colis est sans équivoque la boîte à outils offerte à l’époque de la sortie du Pachi Slot Tengai Makyô Manji Maru. A quand les préservatifs Far East of Eden? du coup, à force d’écumer le Net, et surtout les sites d’enchères japonais, il ne me reste plus beaucoup d’articles à récupérer pour “clôturer” ma petite collection sur la série… enfin, une collection n’est jamais vraiment terminée.
A mon retour de vacances j’ai également remporté l’enchère pour une illustration de Tales of Monkey Island dédicacée par Steve Purcell, je ne vous cache pas mon impatience de la recevoir d’autant plus que je vais aujourd’hui prendre les derniers renseignements pour encadrer mes HuCards not for sale et quelques autres posters/affiches dédicacées (Tim Schafer, Don Bluth, etc. ).
Je ne vais pas vous mentir, je suis parti en vacances au soleil plus vite que mon ombre, délaissant mes amis du web dans un départ plus que précipité. C’est que la veille du jour J, rien n’était complêtement prêt pour ce qui est des préparatifs, m’obligeant à me coucher tard et prendre la voiture très tôt pour de folles heures de route.
Ma plus grosse des satisfactions est de profiter d’un temps caniculaire depuis mon arrivée dans le sud de la France, car c’était ma plus grosse hantise: passer 2 semaines de vacances avec un temps qui fait penser à tout sauf des vacances. Mais même une veille de départ, le geek que je suis ne change pas ses habitudes, la preuve en images ci-dessous…
Quelques colis de dernière minute (j’avais peur de ne pas les recevoir avant de partir en vacances) et achats en boutique incluant la “Black Phantom edition” de l’excellent (et ardû) Demon”s Souls sur PlayStation 3, ainsi qu’un colis du Japon renfermant tout plein de guides de jeux de la licence Tengai Makyô et autres joyeusetés. Bref, de quoi m’occuper dès mon retour à la maison et retrouver mes consoles de salon troquées pour 2 semaines contre mes Nintendo DS & Sony PSP go qui tournent à plein régime.
Voilà, je ne sais si j’arriverai à poster quelques autres billets sur mon blog pendant ma virée dans le sud de la France (car la connexion internet que j’utilise est capricieuse), mais je tenais à vous souhaiter de bonnes vacances si vous partez également. Bon jeu et reposez vous bien. A bientôt