Cet article est un mélange de plusieurs billets publiés sur mon ancien blog, blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Bonne lecture
Voilà un jeu que dont je suis fan depuis toujours mais dont je n’attendais aucun portage sur nos machines actuelles croyant le genre mort et enterré (LucasArts se faisant tellement discret ces dernières années, surtout qu’ils avaient refourgué le “point’n click” à Telltale Games pour la licence Sam & Max). Bref, l’annonce soudaine d’un portage me fit sauter de joie… puis me fit couler quelques sueurs froides dans le dos à la vue de la nouvelle charte graphique du remake HD. Mais après avoir acheté, joué et terminé “The Secret of Monkey Island™ EDITION SPECIALE” sur le Xbox Live, soyez rassurés, c’est du tout bon.
Même si la refonte graphique est franchement inégale (et je persiste à ne pas y adhérer) mais justifiée et cohérente avec le look des nouveaux épisodes Tales of Monkey Island, LucasArts a génialement remis au goût du jour (et fidèlement) le doublage de tous les dialogues et la bande son, mais plus que tout a permis par la simple pression de la touche select de la manette de basculer à tout moment du remake HD au jeu original en 16 couleurs (CGA, EGA, VGA, etc. ). Ce mode fonctionne à merveille, mais malheureusement l’édition classique est incompatible avec les doublages, la nouvelle bande son et les sous-titres français. Un petit point négatif vite oublié face à un jeu si riche, drôle, incroyablement bien écrit tant au niveau de l’originalité du scénario et des dialogues. Il est rare aujourd’hui, qu’un jeu vaille parfaitement son prix, à savoir 800 points Microsoft.
Je ne vais pas vous mentir, je n’ai pas arrêté d’alterner entre les modes classique et “remaké” car j’estime que graphiquement le jeu a bien vieilli et que les pixels d’origine et leur animation ajoutent un humour visuel supplémentaire (à contrario, LucasArts aurait pu plus travailler l’animation dans le jeu HD). Pour conclure, je vous ai mis ci-dessous les premiers succès que j’avais débloqué et rajouté les 5 derniers “secrets” qu’il me restait à obtenir (pour vous donner un petit coup de main). Depuis j’ai réussi à apprendre toutes les insultes à Guybrush Threepwood.
Info de dernière minute: voici les premières images du remake HD de Monkey Island 2: LeChuck’s Revenge SPECIAL EDITION via cet article de Gameblog.fr
Cet article est un mélange de plusieurs billets publiés sur mon ancien blog, blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Bonne lecture
Un rêve de gosse qui est devenu réalité il y a 1 an. C’est ça qui est bon, après avoir connu la frustration gamin, pouvoir remonter le temps et changer la donne (un peu comme Marty Mc Fly). Attention, je n’ai manqué de rien grâce avec mes parents (que j’adore) qui savaient me satisfaire sans que je sois “pourri gâté”. Mais comme beaucoup d’enfants je rêvais d’acquérir beaucoup de choses mais je gardais ces envies au plus profond de moi, sans même les demander à mes parents. Enfin si, je leur demandais de m’acheter les magazines pour rêver pendant des heures sur les Rock Lords, la NES, les figurines Star Wars… et ce Power Glove! que j’ai acheté à un p’tit gars de Gamekult qui en vendait un complet en boîte, accessoire cultissime de la NES, pseudo ancêtre de la wiimote.
Et puis il est enfin arrivé à la maison, et plus que tout il m’allait comme un gant (sans mauvais jeu de mot). Avec R.O.B, le Power Glove est très certainement l’accessoire ultime et indispensable pour tout collectionneur de jeux vidéo Nintendo. Comme je l’indiquais plus haut le Power Glove est un peu l’ancêtre de la wiimote, du fait de proposer sur une belle brochette de jeux NES un contrôle original (en bougeant des doigts, en levant le bras, en mimant la conduite d’une voiture, etc…. Toutes ces actions permettant de contrôler à l’écran Mario et ses potes de la ludothèque Nintendo en les faisant sauter, tirer, voler, conduire un véhicule, etc…
Le Power Glove fut distribué par Mattel en 1989 et fut un échec commercial du fait de la très faible ludothèque de jeux conçus spécialement pour l’accessoire, et de la réelle complexité d’utilisation du produit. Ci dessous quelques clichés du contenu de la boîte, et 2 scans explicatifs issus de l’épaisse et complète notice (entièrement en français) fournie avec l’accessoire.
Pour finir une petite pub américaine assez efficace…
Billet publié le 12/04/10 et mis à jour le 01/05/11
Mon Loom version française PC CD-rom vient tout juste d’arriver du pays des saucisses et de la bière (et d’Angela Merkel pour ceux qui n’auraient pas encore compris). Il va rejoindre la version disquette Macintosh reçue la semaine dernière et mes autres Point’n Clicks LucasArts/Lucasfilm Games dont la famille est presque complète.
Recto et verso de la boîte du jeu
Mais presque un an après la publication du billet que vous êtes en train de lire, j’ai été contraint de le modifier suite aux commentaires pertinents de l’internaute prénommé “Yoko99″. En fait le vendeur allemand à qui j’ai acheté cette édition française de Loom m’avait affirmé qu’elle incluait une version “talkie” (entendez par là une version avec voix digitalisées anglaises) avec sous-titres français et des graphismes VGA 256 couleurs. Généralement confiant (certains diront naïf), j’ai foncé sur l’occasion et après réception du jeu je me suis empressé de rédiger le billet que vous lisez, mais sans vérifier les dires du vendeur puisque j’avais récemment joué à la version FM-Towns via ScummVM installé sur mon iMac. Je ne m’étais pas rendu compte que j’avais écrit que mon jeu fraîchement acquis incluait des voix digitalisées françaises alors que je souhaitais écrire “voix digitalisées anglaises”, heureusement l’internaute “Yoko99″ me fit remarquer mon erreur.
Contenu de la boîte du jeu
Du coup je décide de prendre le temps le week-end de lancer cette édition du jeu sur mon iMac et d’explorer le contenu du CD-rom pour partager mes impressions avec “Yoko99″, mais quelle ne fut ma surprise. De prime abord, le couvercle de la boîte affiche via un sticker que le jeu est compatible Windows 95, et que la notice du jeu Loom comme les textes à l’écran sont (censés être) en français. A l’intérieur on peut trouver une carte de garantie, une documentation publicitaire pour les jeux licenciés Star Wars ainsi que la notice d’utilisation et d’installation du jeu intègrant (comme dans la 1ère édition du jeu) le cahier de trames ainsi que les codes anti-piratage (qui ne nécessitent plus de filtre rouge pour les déchiffrer).
Arborescence du CD du jeu "Loom" qui renferme d'autres jeux LucasArts
Un autre boîtier renferme un CD-rom officiel labellisé Ubi Soft & LucasArts mais ne mentionne jamais le jeu Loom. Je me décide donc à explorer le contenu du CD via l’arborescence de mon ordinateur et découvre différents sous-dossiers “cachés” proposant l’intégralité des jeux “Secret of Monkey Island”, “Maniac Mansion”, “Battle of Britain” (Their Finest Hour), “Indiana Jones and the Last Crusade”, “Indiana Jones: Fate of Atlantis” et bien évidemment “Loom” (mais pas en version “talkie” ). Je lance “Loom” et découvre bien une version dont les textes sont en français, puis je fais de même avec Maniac Mansion, Monkey Island et Indiana Jones 3 et constate qu’ils sont tous dans la langue de Molière (même s’ils me demandent des codes anti-piratage bien sûr non fournis dans la boîte).
Capture d'écran (via ScummVM) de la version du jeu "Loom" incluse sur le CD-rom
C’est assez surprenant de réaliser qu’Ubisoft pour cette édition ait mis sur le même CD-rom autant de jeux complets pensant que l’acheteur ne pourrait jouer qu’à celui pour lequel Ubisoft fournissait les codes (en l’occurence “Loom” ). Donc pour ceux que ça intéresseraient, sachez que cette édition de “Loom” intègre en fait 6 jeux pour le prix d’un, à vous de trouver sur le Net les codes manquants (mais c’est chose facile) si vous souhaitez tous les essayer. N’hésitez pas à me faire part de vos impressions, et j’aimerais savoir si vous avez également fait ce genre de découvertes. On m’avait dit que cette version était assez rare à trouver mais je ne sais plus que croire, je ne désespère pas cependant de dénicher une version disquettes française ainsi que les derniers Point’n Clicks manquant à ma collection. A bons entendeurs…
Encore merci à Yoko99 sans qui je n’aurais pas pu faire cette étonnante découverte.
J’ai reçu aujourd’hui des Etats Unis un Point’n Click culte du studio Lucasfilm Games/LucasArts, sorti en 1990 sur de nombreux supports (dont Windows, Mac OS, Amiga, Atari, FM Towns, PC Engine). Ce jeu d’aventure jouable au clavier et à la souris à la manière des Monkey Island a la particularité originale de faire faire des actions au personnage que l’on incarne uniquement en jouant des notes sur une portée.
Pour faire plus simple, quand dans un Point’n Click traditionnel vous vouliez faire l’action “ouvrir” (examiner, prendre, etc. ) un objet il fallait cliquer sur le bouton correspondant, et bien dans Loom si vous voulez faire la même action il vous faut cliquer sur des notes de musique étalée sur une portée. Votre expérience au cours du jeu vous fera acquérir de nouvelles notes et la discussion avec d’autres personnages (résolution de quêtes ou simple exploration des niveaux) vous fera apprendre de nouvelles mélodies pour endormir/réveiller quelqu’un, ouvrir, soigner, peindre en vert, transformer l’or en paille, etc.
Mais au-delà de ce gameplay inattendu, Lucasfilm Games a su créer un jeu d’aventure poétique et onirique narrant le périple de Bobbin Threadbare, jeune homme appartenant à la guilde des Tisserands (Loom = métier à tisser). Il part à la recherche des autres membres de sa guilde s’étant transformés en cygnes puis envolés, glanant sur sa route des informations en faisant de drôles de rencontres, y compris d’autres guildes. Ces dernières sont d’ailleurs indispensables dans ce monde imaginaire car elles sont à l’origine de tout, et l’on devine rapidement que la quête principale de Bobbin Threadbare est capitale pour la survie de leur monde. La musique du jeu n’est autre que le Lac des Cygnes de Tchaikovsky, la musique étant importante et omniprésente dans le concept de Loom. Tellement que la boîte de la première édition renferme en plus des disquettes de jeu et de la notice, une cassette audio de 30 minutes racontant l’histoire de la naissance de Bobbin Threadbare et du monde de Loom.
On y trouve également un “book of patterns” (livre des trames) renfermant les descriptifs des trames musicales principales accompagnés d’emplacements vides pour que le joueur note lui-même au crayon de papier les mélodies qu’il découvrira durant le jeu. La couverture intérieure de jeu dissimule les codes “anti-piratage” de l’époque, déchiffrables avec le filtre rouge fourni accompagnant le jeu (voir photos dessus et dessous).
Dans les jours qui suivent je devrais recevoir d’Allemagne un Loom comme neuf en version française boîte PC CD-rom, et vais pouvoir le faire tourner avec l’émulateur scummVM pour profiter de dialogues et de musiques en qualité CD (ça changera de la version originale 16 couleurs et musique midi). En attendant je vous invite à découvrir ce jeu magique mais très (trop) court via la petite vidéo ci-dessous.
Première fournée d’une livraison de jeux japonais indispensables pour toute collection Mega CD qui se respecte. On commence les hostilités avec Dragon’s Lair, version moins belle au niveau de la compression vidéo (hardware oblige) que sur 3DO & CDi mais tout de même réussie. Ensuite Rise of the Dragon, un jeu d’aventure graphique cyberpunk que je rêvais de faire à sa sortie sur PC en 1990 (et joué récemment sous l’émulateur Dosbox) et que je voulais pour ma collection. Puis Burai: Hachigyoku no Yuushi Densetsu, portage Mega CD du RPG sorti sur NEC PC Engine et magnifiquement “chara-designé” par Shingo Araki (dieu que je vénère ce dessinateur).
Restons dans le RPG avec Cosmic Fantasy Stories, jeu qui m’intriguait depuis un certain temps car j’avais il y a longtemps adoré (et terminé) 2 épisodes de cette saga sur PC Engine et je ne sais si celui-ci est un portage, une compilation ou un jeu original. Et dans les classiques du Mega CD Prince of Persia, une valeur sûre quelque soit la machine qui l’accueille, ainsi que Thunder Storm Fx (un dessin animé intéractif à la Dragon’s Lair) qui vous met aux commandes d’un hélicoptère et Yumemi Yakata no Monogatari, jeu d’aventure (à la Myst ou 7th Guest) conçu à base de cinématiques et images de synthèse “innovantes” pour l’époque.
Achat du bimensuel ig-Mag qui fait la part belle à BlazBlue (en couverture) ainsi qu’au studio ARC System Works créateur du jeu et également de la franchise Guilty Gear. Mais c’est aussi presque 300 pages d’interviews (Toshimichi Mori, Warren Spector, Yoshiki Okamoto, Jason Manley, etc. ), de tests et de dossiers (actualité, rétrogaming, économie et trucs geek), bref du tout bon et certainement le seul magazine papier jeux vidéo indispensable (avec Pix’n Love) à l’heure où toute l’info est gratuitement disponible sur internet.
Et puis aussi le très attendu (par moi en tout cas) “Des pixels à Hollywood” d’Alexis Blanchet (docteur en Études cinématographiques de l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense) aux Editions Pix’n Love. Un ouvrage exceptionnel de 450 pages retraçant “l’histoire commune du cinéma et des jeux vidéo, à la fois concurrents et partenaires dans leur conquête du public”. Sa lecture s’annonce passionnante, autant que l’écoute de l’intarissable Alexis Blanchet qui a participé à un podcast de Gameblog justement consacré au Cinéma et au Jeu Vidéo.
Chroniqué sur les sites tronlegacy.fr et GAMOPAT, ce quiz est un excellent moyen de tester votre culture vidéoludique (et votre anglais) en retrouvant dans l’image du dessous 56 noms de jeux vidéo célèbres. Une sacrée récompense est à la clé des “élus” qui feront un sans faute. Pour information, j’ai mis une bonne heure pour tout trouver et lister toutes mes bonnes réponses en guise de sauvegarde (on ne sait jamais).
J’ai vraiment galéré pour vous faire une capture de cette TRES grosse (et très haute) image en pixel art, et n’hésitez pas à cliquer sur l’image pour accéder directement au quiz. Ce petit jeu fait partie d’une campagne publicitaire virale sur le Net au profit du très attendu Tron Legacy (que j’attends avec impatience). Bon jeu
Téléchargeable sur cette page, il y a 2 semaines l’équipe de Gameblog (Rahan, Julo & Julien C. ) nous proposait cet intéressant podcast traitant de “la narration et du jeu vidéo” en invitant Eric Viennot (co-fondateur de Lexis Numérique et créateur d’In Memoriam) et David Cage (co-fondateur de Quantic Dream et créateur d’Heavy Rain). Un podcast que je vous conseille sincèrement d’écouter (si ce n’est déjà fait) car des questions pertinentes y sont posées et les réponses des 2 invités ne laissent pas l’auditeur indifférent (surtout s’il est joueur).
Mais je souhaitais également, en écrivant cet article partager avec vous mon avis noyé dans les plus de 300 commentaires du topic dédié sur le forum de Gameblog. Libre à vous de vous faire votre propre opinion après l’écoute du podcast, je ne détiens pas la vérité mais je voulais vous donner mon avis (en le recopiant ci-dessous) car je ne suis pas resté insensible aux propos de David Cage sur le Jeu Vidéo en général. Bonne écoute et bonne lecture.
Podcast vraiment intéressant, même si à chaque fois que j’entends David Cage s’exprimer j’ai l’impression qu’il ne connaît pas le mot humilité. Je trouve tout à fait louable qu’il essaye de proposer quelquechose de différent dans l’univers du Jeu Vidéo. Mais l’entendre après chaque question soupirer d’un air blasé en dénigrant les jeux “boom boom pan pan”, mais aussi les jeux dont le gameplay “se limite” à 1 bouton pour tirer et 1 bouton pour sauter, ça me met hors de moi. C’est regarder de haut une très grosse catégorie de joueurs (dont je fais partie) qui apprécient par exemple un God of War III qui ne révolutionne rien mais qui est une vraie bombe H de sensation de puissance manette en mains, d’aventure épique…
J’ai beau avoir apprécié (et fini) les jeux d’Ueda (Ico, SOTC), Flower, Braid, Silent Hill 2, des jeux catégorisés de manière justifiée comme des jeux d’auteurs, je prends toujours du plaisir avec des jeux “traditionnels” qui n’ont pas pour vocation de révolutionner le médium Jeu Vidéo mais sont cependant aboutis dans leur gameplay et leur réalisation technique. Pas comme Heavy Rain que j’ai acheté et fini en édition collector, qui apporte une approche narrative cinématographique (élastique, pour ne pas froisser l’auteur), des sensations intéressantes mais propose une maniabilité imprécise et des bugs intempestifs, le comble pour un jeu (censé avoir passé des contrôles avant sa commercialisation).
Si techniquement (bugs, maniabilité, etc. ) Heavy Rain était irréprochable, le débat sur le jeu se limiterai à j’aime ou j’aime pas en argumentant. Dans ce cas là, D. Cage pourrait se permettre (comme Tomonobu Itagaki ou d’autres créateurs terribles ayant la vanne facile) des réflexions gratuites car il serait aussi irréprochable que son jeu, mais ce n’est pas le cas.
Voila, je ne sais si vous avez eu le courage de me lire jusqu’au bout, et si vous l’avez fait, merci pour votre courage. Je rajouterai juste un petit truc, même si l’on sait que l’équipe de Gameblog est vraiment fanboy d’Heavy Rain et de David Cage, je trouve qu’ils s’en sortent bien dans ce podcast, même si leur interview reste politiquement correcte je tenais à saluer leur professionnalisme.
Cruel dilemme en écrivant cet article pour choisir la bannière à thème appropriée. Pourquoi ça? parce que je viens de recevoir God of War Collection, compilation re-masterisée en haute définition des 2 premiers épisodes de la franchise (originellement sortis sur Playstation 2, mais aujourd’hui stockés sur un blu-ray pour la Playstation 3). Alors, rétrogaming ou gaming? un peu des deux en fait, mais dans tous les cas deux jeux vraiment indispensables pour joueurs en manque d’action (et d’un peu de réflexion, mais alors juste un peu).
Et cette compilation arrive à point nommé puisque j’ai fini il y a quelques jours God of War III et je ne m’en suis pas encore remis (bon dieu mais quelle claque!). Comme je le disais dernièrement sur un forum après écoute d’une interview de David Cage (non je ne me cite pas par mégalomanie, mais par paresse de re-argumenter ), “God of War III ne révolutionne rien mais est une vraie bombe H de sensation de puissance manette en mains, d’aventure épique“, loin de certaines déclarations prétentieuses et dénigrantes du créateur d’Heavy Rain.
Le fait de n’avoir pu trouver de Pandora’s Box n’est qu’un lointain (mauvais) souvenir, car je souhaitais principalement en faire l’acquisition pour ce God of War Collection en version française (pis aussi les 3 OST, la boîte, l’album Heavy Metal… rien d’important en fait) que j’ai pu trouver grâce à Linanounette qui m’a proposé l’adresse du site VideoGamePlus.ca sur ce lien. Une super opportunité pour environ 26 euros frais de port inclus, et des textes et voix bien françaises (et pas québécoises).
Après avoir inséré la galette dans la Playstation 3 et lancé le jeu, un menu propose de choisir entre les 2 épisodes ainsi que des contenus bonus de GOW II (mais visibles uniquement dans l’option vidéo du menu XMB… ne me demandez pas ce que ça veut dire). Soyez rassurés, tous les bonus/trésors à débloquer dans chaque épisode sont toujours présents, et en commençant une partie avec Kratos dans les deux jeux le constat est rapide: c’est toujours ultra nerveux et ça a bien vieilli même si le 2ème épisode (plus récent) est beaucoup plus beau. Sur la photo du dessous, de gauche à droite vous pouvez découvrir Kratos dans le 1er puis 2ème épisode, ça reste bien détaillé pour des jeux Playstation 2.
Bien qu’ayant déjà fini ces jeux sur la Playstation 2 à leurs sortie officielle, je vais me faire un plaisir certain à les terminer à nouveau en HD entre 2 parties de Final Fantasy XIII (PS3) et de Sonic & SEGA All Star Racing (qui m’éclate vraiment sur Xbox 360).
A la lecture de ce billet sur le blog de Nintendo (le blogueur hein, pas l’éditeur) qui venait de faire l’acquisition d’une Mega Drive portable “H&B Sm-4000 SD”, j’ai eu une envie frénétique de pouvoir également transporter tous mes jeux Mega Drive dans une petite console portable. Le modèle que Nintendo possédait me faisait de l’oeil mais avait pour point négatif de ne pas gérer les sauvegardes. Pour les RPG c’est extrêmement gênant, y compris pour un jeu lambda quand on est contraint d’éteindre inopinément la console pour reprendre sa partie 5mn plus tard (dans les transports en commun par exemple).
Et puis en écumant le forum de vente de Gamekult je suis tombé par hasard sur quelqu’un qui vendait à un très bon prix une GP2X Wiz avec des accessoires supplémentaires (Etui en cuir officiel, chargeur secteur USB et carte SD). J’avais déjà lu des critiques très positives sur cette machine comme dans ce billet de Bababaloo, et des possibilités d’émulation de vieille consoles/bornes d’arcade pour tout fan de rétrogaming (Mega Drive, Super Nintendo, Neo Geo, etc. ). Mais en plus de proposer des homebrews et autres jeux flash, un détail a fini par me convaincre d’investir dans cette GP2X Wiz: l’émulation des jeux Point’n Click PC et donc pour mon plus grand bonheur de tous les titres LucasArts dont je parlais ici il y a quelques jours.
Il ne me reste plus qu’à mettre à jour le firmware de la machine et télécharger les émulateurs m’intéressant pour ensuite copier sur ma carte SD les jeux de ma sélection (le plus dur étant de choisir parmi les fullsets de roms MD/SNES/Neo Geo/etc. en ma possession). Je suis quand même vachement impatient d’installer des Point’n Click vu que la GP2X Wiz est équipée d’un écran tactile, et puis un émulateur Amiga pour jouer à Shadow of the Beast, et puis…