Bob Wakelin

By neocalimero, 22 mars 2010 13:32

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Cet article fût publié sur mon ancien blog, blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Bonne lecture Wink

Il y a quelques temps, par un pur concours de circonstance, en re-feuilletant un vieux “Génération 4” dans ma “bibliothèque/archives” de vieux magazines de jeux vidéo (lecteurs nés après 1990, passez votre chemin  ), je suis retombé sur la publicité française du jeu “New Zealand Story”. Là je me suis rappelé que j’adorais ce que faisait cet illustrateur (Gryzor, Cabal, Mikie, Elf, Ivanhoe, Rastan, Renegade, etc.) sans jamais avoir cherché à connaître son identité.

Bob Wakelin

Après quelques recherches sur le Net, j’apprends que le monsieur s’appelle Bob Wakelin (à droite sur la photo du haut), qu’il est illustrateur freelance et qu’il est “responsable” des plus belles jaquettes de jeux des éditeurs Imagine et Ocean (pour lequel il a créé le logo) ayant fait fantasmer nombres de joueurs trentenaires à la vision en magasin de boites Amstrad 464/6128, Atari, Amiga et/ou PC.

Bob Wakelin artworks

Laissez-moi vous replonger quelques minutes en enfance en vous proposant une galerie (au-dessus) non exhaustive de quelques œuvres de Bob Wakelin (ayant souvent boosté l’imaginaire du joueur avant de le confronter à la réalité pixellisée du jeu). Un catalogue de ses illustrations est consultable sur ce lien. Wink

LucasArts, scummVM & autres Point’n Clicks

By neocalimero, 21 mars 2010 20:21

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Cet article est un mélange de plusieurs billets publiés sur mon ancien blog, blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Bonne lecture Wink

Mon intérêt pour les jeux d’aventure LucasArts ne date pas d’hier, et j’en ai joué une bonne majorité à leur sortie commerciale (ce qui ne me rajeunit pas). Mon engouement récent pour récupérer ces titres mythiques dans leurs boîte d’origine n’a pas de rapport avec le récent remake “The Secret of Monkey Island™ EDITION SPECIALE” et des nouveaux épisodes “Tales of Monkey Island” qui sont pourtant d’excellentes initiatives pour faire découvrir aux nouvelles générations de joueurs des jeux exceptionnels.

LucasArts Games 01

Ne soyons pas avares en éloges, LucasArts (anciennement Lucasfilm Games) a révolutionné le jeu d’aventure (et plus précisémment le “point and click” ), innovant dans le gameplay et dans les technologies de ce genre de jeu (SCUMM, IMUSE, GrimE, etc… ) et insufflant une qualité d’écriture et de mise en scène digne du 7ème art. L’humour fut également le point commun récurrent pour la majorité des jeux d’aventure LucasArts, une qualité qui contribua certainement un peu plus à la popularité et au succès commercial de ces titres cultes.

LucasArts Games 02

Ci dessous je vous ai fait la liste des titres indispensables (cela n’engage que moi), occultant volontairement les épisodes 3 & 4 de la saga Monkey Island que j’ai toujours trouvé moins intéressants (et il y aurait beaucoup à dire sur le passage à la 3D d’ “Escape from Monkey Island” ):

  • Maniac Mansion (1987)
  • Zak McKracken and the Alien Mindbenders (1988)
  • Indiana Jones et la dernière croisade (1989)
  • Loom (1990)
  • The Secret of Monkey Island (1990)
  • Monkey Island 2: LeChuck’s Revenge (1991)
  • Indiana Jones and the Fate of Atlantis (1992)
  • Day of the Tentacle (1993)
  • Sam & Max Hit the Road (1993)
  • Full Throttle (1995)
  • The Dig (1995)
  • Grim Fandango (1998)

LucasArts Games 03

Pour votre culture vidéoludique, autant que pour le plaisir de jeu proposé par ces jeux, je vous conseille fortement de demander aux gamers trentenaires de votre entourage de les ressortir des vieux cartons, car les jeux LucasArts ne sont toujours pas officiellement abandonware (donc pas trouvables gratuitement sur internet contrairement à tous les jeux de la même époque d’autres éditeurs). Mais jamais rassasié, ayant fini “The Secret of Monkey Island™ EDITION SPECIALE” sur le Xbox Live et toujours à la recherche de quelques “Point’n Click” LucasArts” en boîte qu’il me manque pour clôturer ma collection, j’ai fini par installer scummVM sur mon iMac.

LucasArts Games 04

Comme la capture d’écran de mon ordinateur (juste en dessous) vous le démontre, j’ai pu installer et lancer sans aucun souci les jeux mentionnés sur l’image (même les 2 épisodes des “Chevaliers de Baphomet” ), avec la possibilité d’activer ou non voix et/ou doublages français, mode plein écran, bref tous les paramètres audio et graphique habituels de ce genre d’émulateur. Une petite merveille pour le “retrogamer” fan de “Point’n Click, facile d’installation et dont la version 0.13.1 de scummVM est disponible sur cette page pour PC & Mac.

scummvm

Petit rappel cependant, scummVM n’est qu’un émulateur (livré sans jeu), mais je ne m’inquiète pas pour vous pour trouver sur la toile (via différents moyens pas toujours approuvés par hadopi ) les titres qui vous intéressent car la majorité sont devenus abandonware (à l’exception des jeux LucasArts… les salauds) et téléchargeables légalement sur des sites tels que Lost Treasures FR/ Abandonware France. Si tout comme moi vous possédez certains de ces jeux en CDrom PC, vous pouvez également copier la totalité du contenu du CD dans un dossier renommé en Full Throttle (par exemple) et l’exploiter directement avec scummVM.

Bonnes recherches et bon jeu Wink


Valse avec Bachir

comments Commentaires fermés
By neocalimero, 21 mars 2010 12:09

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J’avais complètement zappé ce film l’année dernière, et il faut bien avouer qu’il était même passé inaperçu (j’imagine le faible nombre de copies pour les salles françaises). Mais c’est lorsque Monica Belluci remit le “César du meilleur film étranger” à Ari Folman, que j’ai réalisé à quel point il me fallait le voir, ne me doutant pas une seconde que j’allais prendre un 38 tonnes en pleine face à la vision du Blu-Ray offert par ma femme…

Valse avec Bachir

Traiter d’un sujet aussi brûlant que le massacre de Sabra et Chatila (ayant failli être reconnu comme crime contre l’humanité) n’est pas chose facile. Surtout quand son réalisateur Ari Folman désire en faire un film autobiographique, documentaire, mais toujours cinématographique grâce au choix de l’animation comme moyen de narration. Appelé en pleine nuit par son meilleur ami, Ari Folman (réalisateur et personnage principal) l’écoute raconter un cauchemar récurrent le hantant depuis qu’il a fait la guerre du Liban. A sa grande surprise, Ari réalise qu’il avait avait 19 ans quand il participa également à cette guerre, mais que ces 25 dernières années il n’en avait étrangement gardé aucun souvenir, comme si sa mémoire avait été effacée “sélectivement”. A partir de là, Ari désirant plus que tout comprendre le pourquoi de cette amnésie va retrouver quelques-uns de ses anciens frères d’arme pour partager leurs souvenirs et raviver sa mémoire, le confrontant à la triste réalité du massacre de Sabra et Chatila.

valse avec bachir - img03

A la manière d’une enquête policière, alternant vrais/faux souvenirs, magnifiques séquences oniriques et violence graphique, Ari Folman réussit à nous captiver tout en sachant que le dénouement ne peut être que brutal et nous fait partager les fantômes qui le hantent certainement tous les jours dans la vraie vie. Ce film est une psychothérapie pour lui, mais d’utilité publique pour les générations futures, jamais dans le but de dénoncer qui est le plus responsable parmi les acteurs principaux de ce massacre, mais plus de comprendre les dommages psychologiques collatéraux de jeunes militaires enrôlés qui savaient, et se demandent aujourd’hui “si seulement…”

valse avec bachir - img02

Sans vouloir m’étendre sur ma vie privée, de décembre 1998 à mai 1999 j’étais sur des théâtres d’opérations pour l’OTAN pendant la guerre du Kosovo, et pendant la vision progressive de ce film, sont remontés en moi des souvenirs endormis faits d’images et d’odeurs que je m’étais juré de ne jamais oublier mais qui attendaient d’être réveillés. Mon background personnel joue très certainement sur mon objectivité vis à vis de ce film, mais je remercie Ari Folman pour cette pseudo thérapie non pas pour oublier mais pour se rappeler. Car il est des évènements, tout comme les camps d’Auschwitz-Birkenau (qui font débat actuellement pour leur rénovation) qui au-delà de l’horreur et du mal que l’homme peut infliger aux siens, doivent éternellement perdurer dans la mémoire collective afin de ne pas reproduire l’impensable.

valse avec bachir - img01

Bref, un film dur (attention certaines scènes peuvent choquer des adultes) mais magistralement mis en scène, film d’utilité publique auquel le support Blu-Ray rend honneur. A noter d’excellents bonus (mais trop courts) dont le journal télévisé d’Antenne 2 (aujourd’hui France 2) au lendemain du massacre de Sabra et Chatila. A voir.

Cette critique a déjà été publiée le 20 avril 2009 sur mon ancien blog sur lequel j’ai été assez productif en écrivant 826 articles. Comme rien ne se perd, régulièrement je reprendrai certains de mes vieux billets pour leur donner une seconde chance sur glouton barjot, parfois en les améliorant ou en les ré-actualisant. Bonne lecture Wink

Copinage: www.jaeglife.com

By neocalimero, 21 mars 2010 11:33

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Bon, même si j’en veux à mort à ce type qui m’a refourgué une statue de Link grandeur nature qui m’oblige à manger debout dans ma cuisine, faute de place (non non, je déconne Jaeg Wink ), ce gamer bordelais vient de se lancer à corps perdu dans l’aventure blog avec tout ce que ça implique comme diminution de temps de vie sociale. Mais comme Jaeg est un mec cool, il parlera avec passion de jeux vidéo, de voyage et de plein d’autres choses via ses billets d’humeur. Donc n’hésitez pas à aller faire un tour sur Jaeg’s life: some kind of gamer.

jaeg blog

Final Fantasy XIII: Le Guide Officiel (édition collector)

By neocalimero, 20 mars 2010 23:46

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Tout d’abord un grand merci à l’équipe du Micromania de Rochefort qui malgré la rupture définitive du Guide Collector Final Fantasy XIII, a réussi à m’en trouver un exemplaire à 25,99 euros. Oui vous avez bien entendu, 25,99 euros et pas 85,99 euros comme on peut le constater généralement sur ebay ou amazon. C’est donc une victoire personnelle de ne pas avoir cautionné tous ces enf..rés de voleurs spéculateurs, qui dans le meilleur et le plus naïf des mondes (le mien!) resteraient avec leurs stocks de Guide Collector Final Fantasy XIII à 85,99 euros sur les bras. Mais soyons réalistes, quelques gamers passionnés au bout du rouleau finiront par craquer et payer le prix fort.

Ayons une pensée pour eux… Wink

Guide Final Fantasy XIII

Plus égoïstement je suis super content d’avoir mon exemplaire, qui va bien m’aider pour découvrir les subtilités et autres mystères dispersés dans ce 13ème Final Fantasy. Car soyons honnêtes, aujourd’hui je sais que je ne pourrai consacrer 150 heures de jeu pour un seul et même RPG (aaah… Final Fantasy VII), j’ai trop de titres à faire et/ou finir qui s’empilent sur mes étagères. Donc ce guide est providentiel, en plus d’être magnifique. Grin

God of War III

By neocalimero, 19 mars 2010 21:01

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Je ne vais pas vous refaire les tests de sites spécialisés dont c’est le métier, ils le feront mieux que moi, je n’en ai pas ce talent et de plus ce serait de la redite. Mais ça fait un bail que je n’avais pas pris une telle claque et un tel plaisir à jouer à un nouveau titre console. Paradoxalement, je n’attendais pas vraiment ce God of War III, les trailers de 2009 me laissant imaginer un épisode plus joli que les précédents (mais sans plus) et pas foncièrement plus original et épique (voire moins). Il aura fallu que je tombe sur une vidéo présentant les 10 premières minutes pour me décrocher la mâchoire et revenir sur ma position.

God of War III collector

La première heure de jeu, gamepad en mains je n’ai cessé d’enchaîner les “roooh putain” tellement la mise en scène (+ le soundtrack + la réalisation technique) m’envoyait des directs au ventre et au visage. Certes cet épisode n’a pas la prétention d’innover voire de révolutionner le médium Jeu Vidéo comme les médias l’ont annoncé avec David Cage et son très controversé Heavy Rain. Mais le studio Sony Santa Monica, créateur de la franchise God of War et de cet opus PS3 nous fait ce qu’il sait faire de mieux: du God of War! un jeu vidéo abouti techniquement et ludiquement, mais surtout, synthétisant les fantasmes de tout fan de Robert E. Howard/John Milius ou J. R. R. Tolkien/Peter Jackson… mais en encore plus démesuré! car les adjectifs “épique”, “violent” & “jouissif” prennent tout leur sens lorsque l’on contrôle le personnage de Kratos.

God-of-War-3 artwork

Il suffit de voir sur la photo du dessous Kratos (la petit tache blanche et rouge) évoluer sur ce(tte) géant(e) de pierre qui escalade en temps réel le Mont Olympe pendant qu’une créature géante faite d’eau et contrôlée par Poséidon attaque le Titan de pierre sur lequel court Kratos, alors que dans le fond de l’écran d’autres Titans tombent dans le vide en subissant les attaques d’autres dieux… euh, tout ça sur une musique magistrale et tout le décors bouge dans tous les sens indépendamment des mouvements de caméra sans jamais nuire au gameplay. Il est impossible pour moi de décrire le niveau de puissance ressenti par le joueur (moi en l’occurrence) à cet instant précis.

God-of-War-3 screenshot

Du coup je suis impatient de terminer le jeu pour conclure cette trilogie et re-finir les 2 premiers épisodes que je me suis commandé sur ce site via le “God of War Collection” (compilation HD des précédents opus). Grin

Concert: Renan Luce

By neocalimero, 19 mars 2010 16:04

ban-a écouter d'urgence

Renan Luce passant près de chez moi à Saint Georges de Didonne pour sa tournée “Le clan des miros”, j’avais l’obligation de m’y rendre pour enfin apprécier l’artiste sur scène et pas seulement dans mes écouteurs d’iPod. Donc hier soir, direction Salle Colette Besson armé d’un appareil photo, d’un feutre noir, de l’édition limitée de “repenti” (dont le format DVD/livre disque fut un poil encombrant) et de la jaquette du CD “Le clan des miros”, anticipant la moindre opportunité de mes les faire dédicacer. Wink

ticket concert renan luce

Autant le dire de suite, mon projet de dédicace fut un véritable fiasco mais n’eut aucune incidence sur la réussite de la soirée. La première partie fut assurée par Benoît Dorémus (voir la photo du dessous), un p’tit gars que je ne connaissais pas qui nous a joué 5 ou 6 chansons seul avec sa guitare. J’ai trouvé ses textes sympathiques mais trop légers à mon goût (T’as la loose, Je sors avec une étudiante, etc. ) à l’exception de la chanson “Deux pieds dedans” qui a su me toucher et m’interpeler car bien construite et traitant de la fugue des adolescents.

Concert Renan Luce 18-03-10a

Et puis la tant attendue tête d’affiche a déboulé sur la scène avec ses musiciens, Renan Luce affichant un capital sympathie exponentiel jusqu’à la fin du concert. Et malgré son 1,60 mètre bien tassé (OK j’exagère… mais pas tant que ça) il ne cessera de déborder d’énergie en sautant partout avec sa guitare sur les morceaux les plus rythmés, enchaînant une bonne vingtaine de morceaux dispersés sur ses 2 albums (dont 4 rappels et la reprise inattendue “Laisse tomber les filles” ). Renan Luce sait jouer avec le public entre les chansons, public qui le lui rendra bien en lui faisant la surprise de porter un chapeau en papier journal sur “Les gens sont fous” et de lui envoyer des ballons de baudruche (gonflés discrètement pendant le concert) pendant “On n’est pas à une bêtise près”.

Concert Renan Luce 18-03-10b

Une excellente soirée, une bonne humeur communicative, des musiciens maîtrisant leurs morceaux (et leur chorégraphie… comprendront ceux qui y étaient), et la certitude que Renan Luce est un artiste qui va vraiment compter ces prochaines années pour devenir un des grands auteurs compositeurs populaires (ça n’a rien de péjoratif) de la chanson française. Et puis, un artiste qui a recours aux services de Boulet pour illustrer l’édition limitée de son premier album ne peut être qu’un homme de goût. Wink

Concert Renan Luce 18-03-10c

Vivement le prochain album, en attendant je retourne regarder les vidéos prises dans la soirée. Grin

Quelques liens utiles:


Mother 3: handbook

By neocalimero, 18 mars 2010 18:27

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Suite à cet article qui évoquait mon récent intérêt pour le génial Mother 3 inédit dans nos contrées, j’ai commandé le “Mother 3 handbook”, magnifique (et complet) guide non officiel d’un jeu… traduit par des fans ultra professionnels. Tout est dit, et je ne vous cache pas avec quelles passion & impatience j’ai ouvert l’enveloppe trouvée aujourd’hui dans ma boîte aux lettres.

Mother 3 handbook01

Premier constat, comme Nintendo le disait sur son blog, la réalisation de ce guide est juste bluffante quand on sait qu’il est fait de A à Z par des fans, sans jamais ré-utiliser d’élément portant le copyright Nintendo ou HAL Laboratory/Brownie Brown (développeurs du jeu). Couverture amovible dont l’intérieur se transforme en poster (du bestiaire du jeu), 240 pages de papier glacé couleur, plus de 500 illustrations créées par les auteurs du guide, photos, conseils/stratégies, tableaux récapitulatifs des items, etc. Un guide extraordinaire entièrement en anglais disséquant ce jeu commercialisé uniquement au Japon (et en japonais)!

Mother 3 handbook02

Et puis, j’ai pu trouver avec le guide un autocollant, un badge et un dessin original personnalisé envoyé à chaque client de Fangamer. Le truc vraiment sympa même si j’avoue une toute petite déception, celle de ne pas avoir eu le “Courage Keychain” (porte clé “Badge du Courage” ) qui fut offert avec le guide jusqu’en 2009. Mais je ne vais pas chipoter, car j’étais au courant avant de passer commande. Allez hop, je retourne à ma sauvegarde. Wink

Mother 3 handbook03

Coup de gueule

By neocalimero, 13 mars 2010 17:24

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Aujourd’hui impossible de ne pas partager avec vous une colère que je pensais avoir enfoui profondément en écrivant ce petit billet. Cela concerne à nouveau les p’tits malins sévissant sur les sites de vente tels qu’Ebay & Amazon qui pré-commandent en masse les éditions limitées de certains jeux pour ensuite spéculer en les revendant le double (voire le triple) après avoir provoqué et précipité la rupture de stock. L’affaire est d’actualité puisque c’est exactement ce qu’il est en train de se passer avec l’édition Pandora’s Box de God Of War III. J’ai donc comme beaucoup de fans tenté de trouver cette édition auprès des magasins GAME et FNAC, mais sans succès car la rupture est survenue en 24 heures. Ma première idée fut d’aller jeter un oeil vers Ebay pour constater cela:

Annonces ebay GOWIII

Là, ma colère monte et chose que je n’ai pas l’habitude de faire j’écris une petite bafouille virulente mais jamais vulgaire que j’envoie à une dizaine de revendeurs pour leur faire part de mon mécontentement (tout en sachant que ça ne changerait rien mais ça m’a fait du bien) et que le jeu ne valait pas plus de 200,00 euros tous frais compris (ebay, paypal, livraison). Passé quelques réponses nourries d’insultes auxquelles je ne voyais pas l’utilité de répondre, l’un des ebayeurs m’envoie une adresse MSN. Et puis je me dis tiens, pourquoi pas lui répondre (curieux que je suis) histoire d’approfondir la personnalité de ce genre de personne, d’échanger des avis (un vrai boulot d’investigation et d’espion digne des “Infiltrés” de Scorsese). Voici la conversation MSN dans son intégralité et je précise que je n’ai rien censuré, ça vaut son pesant de cacahouètes et vous vous ferez votre propre avis.

Show ▼

Une discussion instructive et une tranche de vie que j’avais envie de partager avec vous en totale transparence, que vous me donniez raison ou non. Ma seule certitude dans l’histoire, est de repartir les mains vides sans cette magnifique édition de God of War III. Cry

god of war 3 collector

Magical Talulutokun

By neocalimero, 12 mars 2010 14:51

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Aujourd’hui j’avais envie de vous parler d’un bon vieux jeu Mega Drive pour lequel j’ai une affection toute particulière (partagée avec le blogueur Nintendo). Ce jeu s’intitule Magical Talulutokun, il a été commercialisé exclusivement sur le territoire japonais en 1992, et découvert par des joueurs français grâce à des magazines de l’époque comme Joypad qui lui consacrèrent test et grosse solution de jeu (sous le titre Magical Guy).

Magical Talulutokun

Mais avant tout, ce jeu Mega Drive fait suite à un manga créé par Egawa Tatsuya (édité par tonkam chez nous sous le nom “Talulu le magicien” ), à une série TV produite par la Toei Animation ainsi qu’un film si je ne me trompe pas. Cette série humoristique narrait les aventures d’un jeune écolier prénommé Honmaru à qui rien ne réussit et qui va accidentellement faire apparaître Talulu un petit magicien. Ce dernier va l’aider à reprendre confiance en lui pour casser la gueule au caïd de la cour de récré et vivre des aventures souvent inspirées de l’esprit humoristique scatologique de la série Dr Slump. Wink

talulu test joypad

Le Joypad n°10 de juillet 1992 et son test de Magical Talulutokun

ainsi qu’une partie du “Méga dossier” qui lui était consacré (et m’a fait acheter le jeu)

Talulu soluce joypad

Mais revenons au jeu Mega Drive, un jeu de plateforme comme on en voyait souvent débouler à cette époque mais au gameplay réussi et aux graphismes léchés et incroyablement fidèles à la série. Tout le mérite de cette excellente réalisation revient au studio GAME FREAK à qui l’on doit la licence Pokemon sur Gameboy & DS, mais aussi les très bons Pulseman (Mega Drive) et Jerry Boy/Jelly Boy (Super Famicom). Le seul point noir de cette cartouche est sa très courte durée de vie et le faible nombre de niveaux, le jeu étant peut-être destiné à un public japonais très jeune. Mais malgré cela, le style kawai (qui ne plaira pas à tout le monde), les couleurs pastels de certains niveaux, et les magnifiques sprites des personnages et boss du jeu ne peuvent que vous emballer, le jeu idéal à découvrir si vous avez une heure à tuer. Grin


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