J’en ai le cœur tout retourné mais il faut que je me fasse à l’évidence que par manque de place il faut que je me sépare de ma borne chérie surtout si j’investis dans une SEGA New Astro City/Blast City dans les prochains mois. C’est que cette borne représente plein de vieux et bons souvenirs, tout d’abord un rêve qui se réalisait, et puis plein d’anecdotes comme le fait que mon pote Ronan me la garda un certain temps en 2003 dans son ancien appartement perché en haut d’un immeuble sans ascenseur mais avec un étroit escalier en colimaçon.
La borne vue de différents angles démontrant son aspect extérieur impeccable
Bref la borne est à récupérer à mon domicile en Charente Maritime près de Royan, elle est équipée connectique Jamma, 2 panels 6 boutons, un monnayeur euro désactivé à cause de la présence d’un petit bouton en façade permettant de mettre des crédits sans pièce. L’écran peut tourner très facilement pour être en position horizontale comme verticale, il n’est pas de première fraîcheur mais fonctionne bien. L’aspect extérieur de la borne est vraiment nickel, et du coup en fait un bel objet de décoration pour gamer.
Le panel démonté donne accès à la vitre qui une fois retirée permet de tourner très facilement l'écran, et puis une vue intérieure un peu poussiéreuse
Je pense vendre le tout 150,00 euros. Il me semble que c’est un bon prix, mais je suis ouvert à tous les avis et commentaires qui m’aideraient à fixer le prix le plus proche de la réalité du marché. Je ne cherche pas à gagner le plus d’argent possible mais ce qui est sûr c’est que je l’ai acheté beaucoup plus cher, donc n’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez (changer le prix, rajouter la PCB de Street Fighter 2′, etc. ).
Photos d'écran avec le jeu SNOW BROS.
Voilà, vous savez tout, j’attends vos commentaires avisés et n’ayez pas peur d’en parler autour de vous même si j’ai créé une annonce sur ebay.fr et leboncoin.fr. Sur ce, je retourne ranger/aménager ma salle de jeu en espérant que ma borne saura trouver rapidement un nouveau propriétaire.
[mise à jour] la borne est vendue, c’est allé très vite donc s’il vous plait il n’est plus nécessaire de m’envoyer des e-mails pour me demander sa disponibilité. C’est qu’en une semaine j’ai reçu beaucoup de demandes et ça continue. Merci d’avance
Je suis parfois aussi faible qu’influençable, il suffit de connaître mon talon d’Achille (en fait je n’en ai pas qu’un). Bababaloo m’envoie un tweet pour partager sa dernière découverte concernant une coque pour iPhone 4 arborant officiellement les couleurs d’une Mega Drive (réf:CGD2-08106), article en pré-commande et promotion à 1800 yens. N’ayant jamais vraiment eu d’intérêt pour “customiser” mon iPhone 4 (actuellement un simple étui en cuir me suffit), je finis par retourner ma veste et m’auto-convaincre d’acheter l’article parce qu’aveuglé par ma SEGA-fan attitude.
Et puis en ajoutant l’article dans le panier de la boutique CDjapan, je réalise qu’il existe aussi une coque “Sega Saturn” (réf:CGD2-08107) et une autre “Dreamcast” (réf:CGD2-08108), toutes ces références (parmi une vingtaine d’autres) proposées en pré-commande avant le 6 Mai pour une disponibilité courant juin. Je n’ai pas eu d’autre choix que de commander les 3 modèles, même si je n’ai qu’un seul iPhone 4. C’est la société japonaise CaFeReo qui produit cette collection en édition limitée, distribuée sous la marque SOTOGAWA. Après quelques recherches sur le Net, ces coques de protection en polycarbonate aspirent à être de bonne qualité, CaFeReo étant connu pour concevoir des figurines et produits dérivés de bonne facture. Vous savez ce qu’il vous reste à faire avant demain.
Dernièrement je n’arrive pas à accorder beaucoup de temps à l’une de mes plus grandes passions qu’est le Jeu Vidéo, enfin je devrais préciser que je ne trouve pas le temps d’avoir une manette ou une console portable entre les mains puisqu’il m’arrive de lire le dernier IGmag ou l’Histoire de Nintendo Vol.3 (et même de l’écrire sur ce blog). Du coup mes achats se font un peu plus rares malgré une actualité bien fournie, et ce n’est pas plus mal vu tout les titres que j’ai à finir jouer. Cependant, il m’arrive de rechuter craquer autant pour du rétrogaming que du jeu “next gen”. Je sais, je suis faible…
Segata Sanshiro: le jeu, la statuette, le single!
En bon fan de SEGA je me suis commandé le célèbre jeu “Segata Sanshiro Shinken Yugi” (せがた三四郎真剣遊戯) sorti sur SEGA SATURN en 1998, la statuette/figurine de Segata Sanshiro, ainsi que le CD single (3 titres) “Sega Saturn, Shiro!” (セガサターン、シロ!) chanté par Segata Sanshiro himself. Une commande à thème puisqu’elle tourne autour de l’éternel ambassadeur de la SEGA SATURN: Segata Sanshiro!
L'édition collector de Deus Ex: Human Revolution
Et puis malgré les nombreux reports de la sortie du jeu “Deus Ex: Human Revolution” (pour l’instant prévu pour le 26 Août prochain), j’ai finalement pré-commandé l’édition collector pour Xbox 360 pour son contenu assez alléchant mais surtout parce que depuis qu’Eidos Montréal/Square Enix a bluffé tout le monde en balançant le magnifique premier trailer à la GDC en Mars 2010, l’attente est de plus en plus dure. Les cinématiques sont dignes d’un film, le scénario semble aussi riche et profond que le gameplay, la réalisation artistique (visuelle & musicale) est juste à tomber par terre, tout cela laissant enfin augurer une suite digne de l’excellent premier opus sorti en 2000. Vivement!
Le très attendu volume 3 de la collection L’Histoire de Nintendo est enfin arrivé à la maison. Comme pour le déballage des 2 volumes précédents je constate qu’en plus d’être un pavé d’informations copieusement illustré, l’ouvrage est un très bel objet avec sa couverture transparente. Et puis je réalise d’un coup que son auteur (Florent Gorges) confirme une fois de plus tout son talent d’écriture autant que d’investigation qui lui a pris un peu moins de 2 ans. Je ne vous ferai pas de critique de l’ouvrage car je l’ai juste commencé, et je pense que de nombreux autres sites et blogs ont déjà partagé leurs impressions sur la toile. Un excellent podcast dédié à la sortie du mook est également disponible sur ce lien.
L'Histoire de Nintendo Vol.3 : 1983-2003 Famicom/Nintendo Entertainment System (de Florent Gorges)
Cependant, dans le but de promouvoir cet extraordinaire ouvrage dédié à la NES/Famicom et de soutenir la nouvelle entreprise de Florent Gorges (pour rappel auteur de l’Histoire de Nintendo et créateur des éditions Omake Books), n’hésitez pas à aller sur ce lien découvrir une partie du contenu du mook (et pourquoi pas le commander avec les précédents volumes) ou de cliquer sur les images ci-dessous.
Je ne sais pas si Florent Gorges réalise qu’il est en train de se créer une renommée au minimum européenne (sinon internationale) auprès de la profession du jeu vidéo et des joueurs occidentaux qui rêvaient de pouvoir acheter ce genre de collection “encyclopédiesque” pour parfaire leur culture vidéoludique. Si vous voulez tout savoir sur Nintendo, de ses origines à la NES/Famicom en passant par les Game & Watch, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Et je conclurai en remerciant sincèrement Florent Gorges de m’avoir fait la surprise de me citer dans les remerciements divers de l’ouvrage, c’était vraiment inattendu. Flo, je t’attends pour boire un coup à la maison et inaugurer mon petit musée du jeu vidéo/gaming room.
Un grand merci à Florent Gorges, p'tit bonhomme bourré de talent et incroyablement humble
Je ne sais pas ce qui m’a pris, même si c’est certainement lié au nouveau blog de l’ami Dentifritz (anciennement prénommé Nintendo), mais je suis partis dans un délire de faire de nouveaux headers (bannières) pour mon blog. En fait, avec le blogueur Dentifritz je partage l’amour des scanlines, ces lignes propres aux écrans à tube cathodique qui magnifiaient les sprites et pixels des jeux de nos vieilles consoles. Vous savez, ce truc qui fait qu’une Mega Drive branchée sur un écran plat affiche des images baveuses (voire dégueulasses) mais pas sur une TV cathodique. Bref, Dentifritz a alors eu l’idée de créer une brosse “scanlines” pour Photoshop et d’en faire profiter les copains… et je crois que j’en ai abusé. Cliquez sur les 2 images ci-dessous et dites-moi ce que vous en pensez.
Hommage à l'ère 8-32 bits de SEGA: cliquez sur l'image pour la voir en 960 x 300 pixels
Hommage à Segata Sanshiro: cliquez sur l'image pour la voir en 960 x 300 pixels
Tout ça m’a du coup donné envie de changer ultérieurement l’apparence de la colonne de droite du blog, pour y inclure des visuels de mon crû illustrant les menus “Commentaires récents”, “Articles récents”, “Catégories d’articles”, etc. L’ensemble sera beaucoup plus cohérent et homogène esthétiquement parlant. Et puis je vais peut-être inclure une rubrique “Wallpaper” (fond d’écran) en proposant de grandes résolutions. A suivre…
N'oubliez pas d'aller faire un tour sur Scanlines16.com le nouveau blog de Dentifritz! (cliquez sur l'image)
Avant d’être un jeu vidéo, Hokuto no Ken (littéralement Le Poing de la constellation de la Grande Ourse) est une série de manga dessinée par Tetsuo Hara et scénarisée par Bronson qui s’étala sur 27 volumes publiés de 1983 à 1988. La grande popularité du manga engendra rapidement 2 séries TV animées (152 épisodes de 1984 à 1988), un film d’animation en 1986 et de nombreux produits dérivés dont des jeux vidéo.
Illustration pour le film Hokuto no Ken (1986)
C’est justement cette année-là (en 1986) qu’Hokuto no Ken connut 2 adaptations en jeu de rôle sur ordinateur japonais (NEC PC-8801 & Fujitsu Micro 7) ainsi que 2 “beat them all” différents sur les consoles 8bits Nintendo Famicom & SEGA MARK III (respectivement connues en occident sous le nom Nintendo Entertainment System & SEGA Master System). Par la suite la licence connaîtra de nombreuses adaptations par Nintendo sur ses consoles 8bits et 16bits (ainsi qu’un épisode sur SEGA Mega Drive), mais aujourd’hui c’est la mouture SEGA MARK III qui nous intéresse du fait qu’elle soit réactualisée dans le volume 11 de la collection SEGA AGES 2500 sobrement intitulé: Hokuto no Ken.
Boîte du jeu Hokuto no Ken sur SEGA MARK III et chapitres du jeu
En fait, une fois le jeu inséré dans votre PlayStation 2, sans aucune cinématique d’introduction (manquant cruellement) le joueur accède directement à un sobre menu proposant de choisir entre le jeu original de 1986 (SEGA MARK III) ou le remake conçu par le studio 3D AGES. Je vous conseille de procéder chronologiquement en sélectionnant la version de 1986, histoire d’être ultérieurement le plus objectif possible en jouant au remake. En lançant l’épisode SEGA MARK III, il faut bien évidemment se remettre dans le contexte d’une époque où graphiquement le meilleur du jeu vidéo sur console est dominé par la Nintendo Famicom depuis 1983, alors obsolète de 3 ans quand SEGA lance en 1986 sa console SEGA MARK III qui affiche des graphismes légèrement plus fins et plus colorés.
Premiers écrans de jeu laissant le choix entre les 2 versions d’Hokuto no Ken, puis écran titre de la version SEGA MARK III
C’est Yuji Naka (à qui l’on doit sur SEGA MARK III les jeux Spy vs. Spy, Phantasy Star ou de très bonnes adaptations d’Out Run et Space Harrier) qui programmera le jeu Hokuto no Ken sur la même machine. Le jeu sera commercialisé le 20 juillet 1986, soit presque 1 an après la sortie de la console (octobre 1985 au Japon). Il se veut assez fidèle à la première partie de l’histoire de la série TV, vous faisant prendre le contrôle de Kenshiro dans un “beat them all” classique vu de côté. Il est possible de se déplacer vers la gauche ou la droite, de s’agenouiller, de sauter et de frapper avec les pieds ou les poings. Il faut finir chaque niveau avant la fin du compte à rebours placé en haut en haut à droite de l’écran, juste à côté de votre barre de vie qui vous fait également perdre une vie quand elle est vidée par les coups de vos adversaires.
Durant 6 chapitres Kenshiro doit avancer vers la droite de l’écran, éliminer tous ses adversaires déboulant de tous les côtés entrecoupés de mini Boss. Ces derniers une fois terrassés, on accède au Boss de fin de chapitre dans un niveau fermé proposant des sprites plus détaillés (et imposants que dans le niveau précédent) pour Kenshiro comme pour son adversaire. L’aspect graphique du jeu est assez réussi pour l’époque, surtout pour les personnages du jeu.
Les décors ont beau être assez dépouillés, ils sont parfois gratifiés de plusieurs scrollings différentiels du plus bel effet mais ce sont surtout les niveaux de Boss de fin de chapitre qui profitent le plus de détails et de couleurs chatoyantes (beaucoup plus beaux que sur Famicom). Les mélodies comme les sons ne sont pas en reste et sont honnêtes compte tenu de la technologie de la machine et de l’époque, mais on reprochera aux programmeurs de ne pas s’être inspiré de la musique de la série TV.
La forme du jeu maintenant évoquée, abordons le fond. Même en se mettant dans la peau d’un joueur lambda de 1986 il faut avouer que le gameplay limité de Kenshiro n’est pas aidé par les problèmes de collision de sprites, pour frapper (et toucher) un adversaire d’un coup de poing il faut quasiment que l’ennemi soit sur vous et vous touche. Cependant, une fois ce problème analysé, j’ai su en tenir compte en adaptant ma façon de jouer et en anticipant la proximité de mon personnage avec les ennemis. C’était dans mon intérêt vu la profusion d’adversaires qui déboulent de tous les côtés. Cette phase de jeu menant au boss de fin de chapitre n’en demeure pas moins répétitive et représente 90% du niveau. Mais tout l’intérêt du jeu se situe dans l’affrontement des sous-Boss et surtout des Boss qui ne peuvent être battus qu’en découvrant des poings faibles bien particuliers, ils ne pourront être battus en les frappant aveuglément sans aucune stratégie.
Extrait du JOY JOY NEWS d'Août 1986, prospectus promotionnel évoquant les nouveaux jeux sur SEGA MARK III (dont Hokuto no Ken)
Pour quelqu’un de psychologiquement prêt à jouer à un jeu 8bits de 1986, Hokuto no Ken possède un certain charme, de surcroît décuplé si le joueur est fan du manga ou de la série TV éponymes. Comme je le disais précédemment, l’affrontement des Boss et sous-Boss est l’intérêt principal du jeu et malgré les phases répétitives où Kenshiro rencontre sur son chemin des ennemis basiques, il faut savoir que le jeu se finit en 20 minutes si vous connaissez les points faibles des Boss. Bien évidemment, pour terminer le jeu en aussi peu de temps il faut contrôler Kenshiro avec dextérité et avoir fait de nombreuses parties pour découvrir le talon d’Achille de chaque Boss.
Contenu de la boîte du SEGA AGES 2500 Vol.11: Hokuto no Ken
Passons désormais au remake (conçu par le studio 3D AGES) du jeu sorti sur SEGA MARK III en 1986, mais rappelons également qu’au Japon la collection SEGA AGES 2500 est volontairement une gamme “low price” (petit prix) positionnée en prix de vente à 2500 yens (environ 20 euros). En sollicitant 3D AGES pour le développement des remakes de cette collection, il est évident que SEGA n’avait pas l’intention de leur allouer un budget digne d’un Shenmue ou tout autre blockbuster (surtout sans pouvoir prévoir à l’avance le nombre de volumes à sortir). Je persiste à croire que l’argent ne fait pas tout, surtout sans talent ni bonnes idées, et j’avoue que le résultat en dents de scie des remakes des 10 volumes précédents me laissait dans l’expectative.
Captures d'écran de la page d'accueil du remake conçu par 3D AGES
Comme je l’expliquais plus haut, un menu permet de choisir entre le jeu original et le remake, ce dernier choisi, après un premier loading on accède à une page d’accueil sobre proposant “New Game”, “Load Game” et “Options” (”Battle Mode” n’apparaissant qu’après avoir fini le jeu). Malheureusement, après avoir appuyé sur START pour lancer une nouvelle partie, aucune cinématique à l’horizon, juste des pages de textes expliquant sur un fond sonore le contexte de l’histoire, les motivations de notre héros Kenshiro puis le titre du chapitre/niveau. La partie commence enfin et l’on rentre immédiatement dans le vif du sujet avec un “beat them all” vu de côté (à l’image du jeu original), cependant 3D AGES a opté pour une technique proche de la “3D Cell Shading” (assez réussie) pour modéliser les personnages. Les décors mêlant 2D et 3D sont fidèles à l’ambiance visuelle de la série, même s’ils sont un peu dépouillés (mais je vous rappelle que Kenshiro évolue dans un monde apocalyptique terne et crasseux), et l’ambiance sonore est juste excellente car elle reprend les musiques originales de la série TV (autant que les bruitages).
Mais il y a un “mais”. On peut se dire que 3D AGES en développant ce remake a voulu rendre hommage au jeu original en reproduisant son gameplay rigide et la collision des sprites approximative. Mais en regardant l’ensemble général du remake on constate surtout que 3D AGES a soit fait preuve de paresse, soit de manque de talent ou de bonnes idées pour réactualiser cet épisode. Et même dans l’état actuel du jeu, il aurait été appréciable (pour compenser la déception du joueur) de rajouter des bonus du genre numérisation de la notice et de la boîte d’origine, interview des développeurs (Yuji Naka est quand même à l’origine de Sonic sur Mega Drive et fut à la tête de la Sonic Team jusqu’en 2006), croquis préparatoires, publicités, etc. Mais les bonus sont juste inexistants, seul le “Battle Mode” apparait sur la page d’accueil quand vous avez fini le jeu, mode permettant de choisir un boss comme adversaire ainsi qu’un décors. Mais cela n’a aucun intérêt car après avoir fini le jeu, votre sauvegarde vous permet de sélectionner votre chapitre, et comme le jeu se finit en 40 minutes, inutile de vous préciser que les niveaux sont courts.
Captures d'écran du remake conçu par 3D AGES
Les seuls petits “plus” ingame par rapport au jeu original sont l’ajout d’une jauge de furie ainsi que l’apparition de plusieurs technique de “coups spéciaux” (situés en bas de l’écran) sélectionnables avec les gâchettes L1 et R1. A part cela, on peut également remarquer qu’à un moment le joueur contrôlera Rei et Toki à la place de Kenshiro. C’est une réelle déception, même si le jeu ne coûte que 2500 yens, il y avait matière à proposer un remake basique comme le jeu original mais plus fourni dans la forme (visuellement en tout cas), dans le gameplay et dans le contenu additionnel. Les personnages sont animés comme des pantins, les coups portés laissent apparaître à l’écran des tâches de sang mais jamais d’explosions de corps comme dans la série. Le seul point positif du jeu est son ambiance sonore ainsi que sa relative fidélité chronologique par rapport à l’histoire originale m’ayant poussé à aller jusqu’à la fin du jeu (pour lequel j’espérais un miracle).
Ce SEGA AGES 2500 Vol.11 est “marketé” pour les fans de la série ou les nostalgiques de la version SEGA MARK III, mais au final le jeu est vide de tout contenu censé satisfaire la clientèle qui est visée, et qui aurait pu compenser les faiblesses du remake. Il faut noter que la notice (au passage dénuée de toute illustration et ne faisant que 11 pages) est accompagnée d’une fiche “technique” perforée destinée au classeur qui était offert avec SEGA AGES 2500 Vol.01 (Phantasy Star generations:1). Mais ce Hokuto no Ken est aux antipodes de la profusion de contenus inclus dans les Volumes 25 (Gunstar Heroes: Treasure Box), 29 (Monster World: Complete Collection) ou encore 32 (Phantasy Star: Complete Collection). Un jeu à trouver à tout petit prix ou juste pour le collectionneur désireux d’obtenir le fullset SEGA AGES 2500.
N’oubliez pas d’aller faire un tour sur ma page dédiée à la collection SEGA AGES 2500
Voici un récapitulatif des informations principale de ce SEGA AGES 2500 Vol.11
Mardi dernier (oui je sais, nous somme vendredi et je suis à la bourre), grâce au tweet de YomeNetSan j’ai appris l’existence (tenue secrète jusqu’alors) d’une bible Nintendo éditée par Pix’n Love et entièrement consacrée à la Famicom/NES. En me rendant sur le site je découvre également une édition limitée à 300 exemplaires proposant une reproduction de boîte NES avec un vrai fourreau en plastique noir sérigraphié accueillant une bible de 432 pages scindée en 2 ouvrages complémentaires. Ma commande a été passée à 10h21, mais il faut croire que peu de temps après cette édition collector était épuisée, déchaînant les passions des joueurs n’ayant pu commander le Saint Graal. Marc Pétronille désolé explique très bien d’ailleurs sur le blog de Pix’n Love à quel point leur équipe a été dépassée par les évènements et que jamais ils ne s’étaient attendu à un tel succès.
J’ai donc eu beaucoup de chance de pouvoir pré-commander cette édition spéciale ultra collector et déjà épuisée avant même son édition et commercialisation. Encore merci à YomeNetSan. Et puis parce que je suis fidèle à Florent Gorges qui m’a réconcilié avec la presse vidéoludique (grâce au mook Pix’n Love) j’ai pré-commandé chez Omake Books cette fois le volume 3 de l’Histoire de Nintendo qui propose une couverture différente du même ouvrage distribué et édité chez Pix’n Love Editions. Cette Histoire de Nintendo Vol.3 arbore en couverture une familière NES chez Omake Books et une Famicom chez Pix’n Love, choisissez votre camp.
Parce qu’on est en plein dans le rétrogaming, je voulais vous signaler que suite à mon dernier arrivage de jeux PlayStation 2, je viens de créer sur le blog une nouvelle section entièrement dédiée à la série SEGA AGES 2500 qui devrait rapidement s’étoffer. Pour y accéder directement cliquez sur la bannière ci-dessous. Bonne lecture
Aaaaah… une petite semaine de vacances qui débute bien puisque j’ai reçu hier un colis très attendu en provenance du Japon, la collection complète des jeux PlayStation 2 SEGA AGES 2500 comprenant 33 volumes. En fait j’ai reçu 34 jeux puisque le titre “Advanced Daisenryaku: Doitsu Dengeki Sakusen” (vol.22) est en double exemplaire du fait qu’il connut 2 éditions légèrement différentes ( modification de la couleur du CD, tranche de la jaquette et CERO différent sur la jaquette principale). En bonus un guide conçu pour la sortie du vol.16 dédié à Virtua Fighter 2.
Tous les volumes SEGA AGES 2500 en un seul colis
Ce fullset SEGA AGES 2500 remporté sur Yahoo Japan Auction va s’ajouter aux exemplaires déjà en ma possession encore dans leur emballage neuf d’origine. Ma persévérance a payé car ça faisait des mois que j’écumais Yahoo Japan Auction à la recherche de lots intéressants de titres de cette collection, mais certains jeux restaient très rares et je ne parle même pas des prix unitaires prohibitifs trouvables sur ebay. Soyez certains que je partagerai prochainement cet arrivage via moult photos et informations détaillées.
Ce week-end, en continuant d’aménager/ranger avec le nouveau mobilier ikea ma pièce faisant office de bureau j’ai été confronté aux centaines de magazines que je conserve précieusement depuis ma jeunesse: Tilt, Mad Movies, Joypad, Player One, etc… et puis Anime Land. J’ai commencé à le lire au lycée vers le numéro 5 si ma mémoire est bonne alors que c’était encore un fanzine noir et blanc, il n’existait à ce moment aucun magazine professionnel français dédié à l’animation japonaise et aux mangas. Il se destinait donc aux passionnés (geeks avant l’heure) qui passaient pour des otakus français indirectement dénoncés par Jean Jacques Beineix un soir d’Envoyé Spécial sur Antenne 2 (rappelez-vous ce documentaire), tout ça bien avant que ne déferle dans notre beau pays une inespérée vague de traductions d’animes et de mangas qui ne cessera de grandir pour finalement faire partie intégrante de nos produits culturels.
Numéros d'Anime Land qu'il me manque (je n'ai pas de visuel du numéro 13 mais je me souviens que Gunbuster/Top o Nerae est en couverture)
Bref, Anime Land était une vraie mine d’informations pour le fan d’anime et de manga et j’ai acheté tous ses numéros jusqu’au 130 ou 132 je ne sais plus trop, pour finalement m’y désintéresser à cause des changements progressifs de ligne éditoriale et de marketing du magazine. Et puis aujourd’hui avec Internet, il est beaucoup plus facile de s’informer sur l’actualité qu’en 1993. Mais je ne reproche pas à Anime Land d’avoir évolué, c’est juste qu’il ne me correspondait plus. Cependant j’ai littéralement dévoré la centaine de premiers numéros du magazine et je remercie Anime Land pour ces longues heures de lecture. Du coup je me suis mis dans l’idée de récupérer les quelques numéros qui me manquent (et qui ont dû malencontreusement partir à la poubelle ou être prêtés par des potes à l’époque), histoire de replonger à nouveau quelques instants dans la nostalgie de mon adolescence. Donc si vous souhaitez vous débarrasser de ces numéros, n’hésitez pas à me contacter.
Je crois que l’image du dessous parle d’elle-même. J’avais pourtant pesé le pour et le contre, et je n’étais vraiment pas emballé par les jeux du lancement. Mais il faut croire que le joueur que je suis a manqué de volonté et n’a pas su résister aux phéromones de cette nouvelle console portable, ou que le marketing made in Nintendo était trop bien pensé (voire les deux).
Y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis (et habituellement je reste sur mes positions donc... )
Dans tous les cas, voici mes code QR & code ami (1934-0646-3380) si vous souhaitez m’intégrer dans vos contacts 3DS. De prime abord, les mini jeux intégrés à la console sont franchement fun, poussent au scoring et incitent le joueur à tout essayer (et à recommencer) pour débloquer des tas de choses. Vivement les prochaines mises à jour logicielles et le 3DSware.